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Flash info du 28 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Muslim Girl refuse le prix Revlon pour soutenir la Palestine contre l’oppresseur.
La révolte contre l’oppression ne passe pas obligatoirement par les armes, elle revêt différentes formes. Le boycott en fait partie et cela nous amène indubitablement à parler du boycott initié par le mouvement BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) qui est une réponse citoyenne et non violente à la politique criminelle israélienne.
Qu’il soit économique, politique ou culturel, le boycott est une arme redoutable contre laquelle l’état hébreu est impuissant malgré sa puissance militaire.
Il peut être utilisé par tous à n’importe quel moment dans n’importe quelle circonstance, La célèbre blogueuse, Muslim Girl suivie par plus de 135.000 fans sur Facebook et 21.000 sur Twitter l’a expérimenté lorsqu’elle a refusé le prix Changemaker Award proposé par Revlon.
La jeune femme n’a pas hésité à refuser ce prix tant convoité pour la simple et bonne raison que la marque a choisi pour représenter sa gamme de cosmétique, Gal Gadot, l’actrice israélienne qui a joué dans « Wonder Woman » et dans la saga « Fast and Furious ».
Une provocation que la célèbre blogueuse n’a pas voulu cautionner en acceptant le prix Revlon.
Figure de proue de l’armée israélienne avant de rejoindre Hollywood, Gal Gadot a suscité la polémique au moment de la sortie du film « Wonder Women ». Ses publications à la gloire de Tsahal durant la guerre contre Gaza en 2014 sont sorties et ont aussitôt été dénoncées par plusieurs pays arabes dont le Liban qui a appelé à boycotter le film.
« J’envoie mon amour et mes prières à mes citoyens israéliens. Particulièrement à tous les garçons et les filles qui risquent leurs vies pour protéger mon pays contre les actes terrifiants du Hamas, qui se cachent comme des lâches derrière des femmes et des enfants… » avait-elle alors écrit sur le réseau social Facebook.
Rappelons que 1.113 Palestiniens dont 230 enfants sont morts durant les raids menés par l’armée israélienne.
Selon la blogueuse, l’égérie de Revlon approuve « l’oppression des femmes et des filles » en soutenant l’armée israélienne. Muslim Girl qui devait recevoir ce prix pour son action en faveur des femmes s’est justifiée auprès de ses fans :
« Si ce prix signifie beaucoup pour moi et si j’aurais adoré être là pour célébrer cela avec vous, je ne peux accepter ce prix de Revlon qui a Gal Gadot comme ambassadrice », car a-t-elle écrit, le soutien affirmé de Gal Gadot « aux actions menées par l’armée israélienne en Palestine vont à l’encontre de la morale et des valeurs de MuslimGirl.com . »
La jeune femme a conclu en dénonçant le sort réservé à la jeune Ahed Tamimi : « Je ne peux, en toute conscience, accepter ce prix de la part marque et célébrer le statut d’ambassadrice de Gal après l’emprisonnement par l’armée israélienne d’une jeune fille de 16 ans le mois dernier du nom d’Ahed Tamimi, une militante qui est actuellement encore derrière les barreaux ».

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

Pascal Praud empêche Beligh Nabli de parler du soldat israélien Amir de Voice. VIDEO. #AffaireMennel.
Pascal Praud s’est illustré ces derniers mois par sa complaisance avec les islamophobes et leurs fantasmes.
En pleine affaire Mennel ou plutôt la énième propagande de masse islamophobe contre l’Islam et les musulmans, Pascal Praud nous a fait la grâce de laisser Ivan Rioufol insulter tranquillement l’Islam et les musulmans sans réagir.
Mais quand le chercheur de l’IRIS Beligh Nabli a essayé de répondre sur le même plan idéologique à l’islamophobe Rioufol en rappelant que l’implication politique du soldat franco-israélien Amir plébiscité sur The Voice et à Eurovision valait largement celle de la jeune Mennel, ce fut immédiatement l’interdiction de s’exprimer.
En effet, alors que Beligh Nabli mettait précisément le doigt sur ce deux poids deux mesures permanent et ce régime d’exception réservé aux musulmans en France quelque soit le domaine, le présentateur et ses invités se sont acharnés à le faire taire …
C’est vrai que nos politiques et nos médias sont habitués à ne donner la parole qu’aux “beurs” ou aux “blacks” de service toujours prêts à endosser le rôle d’éternel de présumé coupable.
Face à un membre de la minorité tout simplement logique et cartésien dans son raisonnement la réponse du gotha journalistique français a été simple : la censure.
reportage a voir sur islam et info.fr.
Ivan Rioufol insulte l’Islam et les musulmans ! VIDÉO.
Une fois de plus le journaliste Ivan Rioufol s’est livré à une charge contre l’Islam et les musulmans.
Alors que le débat portait une énième fois sur la dernière polémique islamophobe en vogue du moment, l’affaire Mennel, le chroniqueur en a profité pour jeter l’opprobre sur toute une religion, l’Islam, et tous ses fidèles, les musulmans.
“L’Islam n’est pas seulement une religion! C’est un corpus politique ! C’est une idéologie totalitaire !“, a asséné Ivan Rioufol.
“L’Islam est une religion et un code politique ! Et ce code politique est totalitaire ! Oui en effet je le répète !”, a t il insisté.
“Un voile aujourd’hui, c’est un signe politique, c’est un signe de séparatisme !”.
En assimilant l’Islam au totalitarisme et implicitement par ricochet les musulmans à des troupes nazis, c’est bien une insulte directe qui est envoyée à tous les musulmans.
En effet, dans la vulgate politique occidentale contemporaine assimiler une personne ou une pensée au nazisme c’est non seulement la décrire comme le pire des maux apparus sur terre mais exiger implicitement ce que l’occident a fait à l’Allemagne nazi : une guerre totale.
Ces propos pourrait être relativisés si Ivan Rioufol n’était pas l’auteur d’un livre “La guerre civile qui vient” dans lequel il désigne à demi mot la minorité musulmane comme ennemi de l’intérieur. On ne parlera pas non plus de ses références aux thèses d’extrême droite de “grand remplacement” …
Cette attaque islamophobe est d’autant plus grave qu’elle se produit avec la complicité des grands médias qui favorisent la haine en invitant systématiquement des islamophobes revendiqués.
Évidemment aucun politique ne s’est ému de cette sortie qui il est vrai n’est que la énième déclaration islamophobe guerrière de la … semaine en France.
Se décrire en danger vital en fantasmant l’hostilité d’une minorité c’est sournoisement demander son éradication … et les islamophobes le savent.
reportage a voir sur islam et info.fr.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Pour avoir profané une statue de la Vierge Marie, ils sont condamnés à apprendre le Coran.
Une belle leçon de vie et de religion, cela résume parfaitement la sentence que la magistrate libanaise, Jocelyne Matta, a prononcé contre deux jeunes musulmans coupables d’avoir profané une statue de la Vierge Marie.
Âgés de 17 et 18 ans, deux élèves de confession musulmane ont pénétré dans l’église de leur école, dans le village chrétien d’Akkar, au Liban. Armés de leur caméra, ils ont arraché une statue de Marie pour « l’embrasser sur les lèvres, adoptant à son encontre des comportements obscènes », selon un des avocats présents au jugement cité par L’Orient Le Jour. Les deux jeunes garçons ont partagé la vidéo sur leurs comptes Whatsapp, ce qui leur a valu une arrestation et une comparution au parquet.
Une première judiciaire au Liban.
La juge d’instruction a surpris l’assistance par le verdict qu’elle a émis lors de l’audience du 8 février. Au cours du tribunal, elle a sorti un Coran qu’elle garde pour le serment des témoins et ouvre le Livre saint à la sourate Al-Imran relatant l’importance de Marie dans la croyance musulmane qui la reconnait comme l’une des créatures les plus pures que Dieu a créées.
Après avoir lu quelques versets, elle a sommé les deux jeunes musulmans à approfondir ces passages, à les lire, à les apprendre et à les lui répéter. La « peine » a ainsi été purgée au Palais de Justice de Tripoli, dans le bureau de la juge où les deux élèves ont exprimé leurs regrets après avoir répété les versets en question.
Jocelyne Matta est elle-même chrétienne. Appuyée par l’article 111 du code de procédure pénale qui lui octroie le droit de remplacer l’incarcération par d’autres mesures jugées pertinentes et adéquates, la juge ne souhaitait pas que les prévenus associent son jugement à des dimensions religieuses. Avec sa méthode didactique, elle a montré aux jeunes musulmans que leur acte profanait tout autant l’islam que le christianisme.
La décision, bien accueillie par les personnalités religieuses et politiques, a été qualifiée par le Premier ministre Saad Hariri de « summum de la justice et un moyen de transmettre les concepts que musulmans et chrétiens ont en commun ». L’évêque de Tripoli a également félicité la juge pour avoir privilégié « la conscientisation des jeunes, dont le comportement démontre souvent l’ignorance ».

Sur oumma.com, voici les titres.

L’histoire émouvante de Mohammed, musulman aveugle, et son ami le chrétien Samir, un nain incapable de marcher.
Vieille de 119 ans, cette photo jaunie a immortalisé une scène poignante : celle de la fraternité humaine à Damas.Dans la Syrie de 1899, deux hommes inséparables et lourdement handicapés, l’un musulman, l’autre chrétien, comptaient l’un sur l’autre pour se frayer un chemin dans les rues animées de la capitale syrienne.
Juché sur les épaules de Mohammed, son ami musulman aveugle, le chrétien Samir, un nain incapable de marcher, le guidait à travers la ville, en le prévenant des obstacles qui se dressaient sur sa route. Ces deux compagnons d’infortune, orphelins et sans famille, logeaient dans la même chambre. Pour vivre, Samir racontait des contes des Mille et une nuits dans un café de Damas. Une fois son travail fini, Mohammed, un vendeur ambulant, l’écoutait chaque soir avec plaisir.
Le décès de Samir fut un drame pour Mohammed. Inconsolable, il s’isola dans sa chambre, et pendant plusieurs jours, il pleura la perte de son ami de toujours. Mort de chagrin, le musulman Mohammed alla rejoindre son frère chrétien auprès de Dieu.
reportage a voir sur oumma.com.
La structure de représentation des musulmans de France doit émerger d’eux-mêmes au niveau départemental.
Le président de la République a décidé d’aider les musulmans de France à mieux restructurer l’organisation du culte musulman. Cette initiative que nous attendions depuis fort longtemps nous réjouit.
Lors de la mise en place du CFCM en 2003, les musulmans avaient placé tous leurs espoirs et toutes leurs ambitions sur cette instance qui devait les représenter, les défendre et ouvrir la voie à des nouvelles initiatives notamment en ce qui concerne la formation des imams. Malheureusement, après 15 années d’existence, tout le monde se pose des questions sur le rôle de cette instance qui ne peut se prévaloir d’aucune grande réalisation.
Le temps est venu de dresser le bilan d’une décennie mouvementée et de tirer des leçons de cet échec qui a fini par désespérer les musulmans de France et les éloigner progressivement de cette structure. En effet, depuis 2003, les responsables du CFCM et des CRCMs ont laissé s’installer au sein de la communauté musulmane, et en particulier les jeunes, le sentiment selon lequel, ils ne seraient que des gestionnaires intéressés du culte musulman et les ambassadeurs d’intérêts étrangers.
Aujourd’hui, nous pensons que la structure de représentation des musulmans de France, doit émerger d’eux-mêmes, d’en bas, au niveau départemental. Quoi de mieux que le département où les différentes associations cultuelles et culturelles qui se connaissent pourraient travailler ensemble, réfléchir ensemble et avancer ensemble autour de projets communs dans une structure représentative des musulmans du département et échapper ainsi à toute emprise des pays d’origine.
Parallèlement à cette représentation au niveau départemental, la création d’un Conseil théologique des imams leur donnera l’occasion de s’exprimer publiquement et de manière indépendante pour apporter la voix qui manque tant, aux instances représentatives actuelles.
Ces structures départementales pourraient alors désigner par cooptation leurs membres dans les institutions régionales et nationales, et favoriser ainsi une alternance pour sortir de l’immobilisme. Cela permettra surtout de faire émerger une représentation fondée non pas sur l’origine nationale mais sur la compétence des individus qui la composent et la qualité des projets qu’ils entendent porter.
C’est pourquoi, nous soutiendrons toute initiative émergeant de la base pour assurer une représentation équitable et viable au niveau national.
Un député tunisien déchire le drapeau israélien.
Le député du Front Populaire Ammar Amroussia a déchiré mardi en pleine plénière une photocopie du drapeau d’Israël sous les applaudissements de certains députés présents.
“Ce qui s’est passé vendredi est un scandale de grande ampleur” a-t-il commencé avant de s’en prendre au président de l’Assemblée Mohamed Ennaceur: “Nous avons pris l’initiative de présenter une proposition de loi, mais il semble que la coalition au pouvoir et le président de l’Assemblée -et je prend ma responsabilité- n’en veulent pas”.
“Si le prix à payer pour rester au pouvoir est de normaliser vos relations avec l’entité sioniste; restez-y, vous serez des traîtres!” s’est emporté Ammar Amroussia.
Exprimant son étonnement quant à l’absence de communication de l’Assemblée sur l’organisation d’une réunion de la commission des droits et libertés consacrée à la proposition de loi sur “la criminalisation des relations avec l’entité sioniste”, Ammar Amroussia prend une feuille de papier sur laquelle est imprimé (en noir et blanc) le drapeau israélien qu’il déchire en petits morceaux: “Voilà ce que je fais du drapeau de l’entité sioniste, ici devant vous, dans cette Assemblée de la honte!” a-t-il poursuivi avant d’être réprimandé par le président de la séance, Abdelfattah Mourou.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Grève du CNAPESTE : Les enseignants résistent à la pression.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali qui s’est réuni, hier, avec le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPESTE) au siège du ministère a appelé les enseignants grévistes à mettre fin à leur mouvement de grève et à faire prévaloir le dialogue pour l’intérêt des élèves et du pays. Le ministre a estimé, en marge de l’audience accordée aux représentants du CNAPESTE que la situation engendrée par la grève continue, qui dure depuis plusieurs semaines, mène à » la discorde (fitna) qui n’est dans l’intérêt d’aucune partie « . » La situation d’aujourd’hui qui va audelà des lignes rouges est devenue incontrôlable par ces parties « , a-t-il soutenu, appelant, dans ce sens, au » respect des décisions de la justice « . Après avoir affirmé que la Constitution garantit à l’enfant le droit à l’éducation, Zemali a rappelé que la loi algérienne a mis en place plusieurs mécanismes de dialogue et de concertation, soulignant que son département ministériel est chargé de veiller à l’application de la loi et d’accompagner ces syndicats, les travailleurs et les partenaires sociaux, afin de leur permettre de s’enquérir et de se conformer aux textes de lois. Pour sa part, le coordinateur du CNAPEST, Salim Oulha a affirmé que le syndicat ne reculera pas tant qu’il n’y aura pas de réponses à leurs demandes formulées. En marge de la réunion avec le ministre du travail, le représentant du CNAPEST a déclaré que les mesures d’isolement sont illégales et ne feront qu’accroître la situation. Il a souligné qu’il a demandé au ministre du Travail d’être un médiateur entre le syndicat et le ministère de l’Éducation, ajoutant que les solutions de dissuasion ne feraient qu’accroître la situation. A noter, Mourad Zemali, s’est réuni avec le CNAPESTE en grève depuis le 30 janvier dernier, en vue de trouver une solution consensuelle aux revendications soulevées.
Hamel à propos des défis sécuritaires communs entre l’Algérie et les Etats-Unis : Nécessité d’une action unifiée et globale.
Le Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel, a fait savoir à Alger que les défis sécuritaires communs entre l’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique exigent une action unifiée et globale pour faire face à toutes les formes de criminalité, sur les plans régional et international. Lors de l’audience accordée au siège de la DGSN à la Coordinatrice adjointe principale au Département américain, Mme Alina Romanowski qui était accompagnée du Conseiller politique de l’Afrique du nord, M. Yaniv Parzilay, M. Hamel a souligné que les « défis sécuritaires communs exigent une action unifiée et globale pour lutter contre le crime sous toutes ses formes sur les plans régional et international, à travers le développement des domaines de coopération et l’échange d’expériences », a précisé le communiqué de la DGSN. De son côté, Mme Alina Romanowski a salué le professionnalisme de la police algérienne et son rôle prépondérant sur les plans régional et international, soulignant l’importance de renforcer la coopération entre les polices des deux pays en adéquation avec les développements en matière de lutte contre la criminalité », a ajouté le communiqué. Lors de cette rencontre, les deux responsables ont mis l’accent sur « les relations privilégiées » existant entre les deux pays et les moyens de les consolider. Par ailleurs, la cinquième session du Dialogue stratégique entre l’Algérie et les Etats-Unis sur les questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme se tiendra au mois de juin prochain à Alger, a indiqué dimanche à Alger le ministère des Affaires étrangères (MAE) dans un communiqué. Cette décision a été prise à l’occasion des entretiens qui ont eu lieu au siège du MAE entre le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et le Coordonnateuradjoint de la lutte contre le terrorisme au Département d’Etat américain, Mme Alina Romanowski, qui effectue une visite de travail en Algérie, a précisé la même source. Les entretiens entre les deux responsables ont également permis « un large échange de vues sur l’état de la coopération bilatérale en matière de lutte contre le terrorisme ainsi que sur la situation sécuritaire dans la région, notamment la question du retour des combattants terroristes étrangers et les menaces qu’ils font peser sur la sécurité régionale et internationale ».
Fracassante démission d’Ali Laskri du présidium du FFS : Violent séisme au FFS.
Surprenante démission de Ali Laskri des rangs du plus vieux parti de l’opposition. C’est dire que la saignée se poursuit au sein du FFS. Ce parti, crée dans la douleur, vient de connaitre une nouvelle défection au sein de l’instance présidentielle, créé à l’occasion du cinquième congrès tenue en 2013. Après l’exclusion de Rachid Hallet et le retrait, en douce, de Saïda Ichalamen, Ali Laskri annonce sa démission de l’instance et appelle à l’organisation d’un congrès extraordinaire. » Je vous informe de mon retrait, en démissionnant en ma qualité de membre de l’instance présidentielle et coordinateur, à compter de ce jour et de remettre mon mandat aux militants qui m’ont élu lors du 5e congrès « , écrit-il dans un message adressé aux militants du FFS. Plusieurs fois premier secrétaire du parti, député et membre influent dans le parti jusqu’à récemment, Ali Laskri ne précise pas les raisons l’ayant amené à prendre cette décision Selon le texte, il a promis de les rendre publiques devant les membres du conseil national qui tiendra sa session ordinaire le 16 et 17 février prochains. Dans son message, il appelle à l’organisation d’un congrès extraordinaire conformément aux statuts du parti. » Mon retrait de cette instance implique automatiquement l’organisation d’un congrès extraordinaire sur le plan statutaire. Un tel congrès sera dans l’intérêt salvateur du parti, à travers l’élection d’une nouvelle instance présidentielle, ce qui va amener une nouvelle dynamique d’espoir de tout un peuple « , indique- t-il. Composée initialement de cinq membres, l’instance n’en comptera désormais que deux : Aziz Baloul et Mohand Amokrane Chérifi. Le FFS en crise ? Tout porte à le croire au vu des derniers rebondissements, que vient de connaitre le plus vieux parti de l’opposition démocratique en Algérie. En effet, un membre et pas des moindres de l’instance présidentielle, qui est par ailleurs député, en l’occurrence M. Ali Laskri a décidé de démissionner en « ma qualité de membre de l’instance présidentielle et coordinateur » et ce à compter du vendredi 10 février 2018. Dans sa lettre de démission, M. Ali Laskri dira que « conformément à l’article 48 des statuts qui annonce que si le nombre des membres de l’IP est réduit à moins de (03), un congrès extraordinaire est convoqué pour élire une nouvelle instance présidentielle ».
Les médecins résidents réussissent leur pari de manifester en plein coeur de la capitale : Tension maximale !
Dans une unième démonstration de force, les médecins résidents ont brisé l’interdiction de manifester dans la capitale hier. Suite à l’appel du collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA), les résidents ont répondu à l’appel. Ils étaient environ deux mille résidents qui étaient présents dans les rues d’Alger en scandant des slogans comme » respect, dignité, solidarité « , ou encore » on n’a pas les moyens, dites le aux citoyens « . Au début de la manifestation, la foule compacte essaye d’atteindre l’APN, mais c’est sans compter sur la passivité des forces de l’ordre qui ont carrément bouclé tous les accès. La marche est encerclée par une armée de policiers. Le dispositif sécuritaire est imposant et les médecins sont carrément pris dans un étau. À la rue Asselah Hocine, située en bas de la Grande Poste, d’autres médecins résidents improvisent un rassemblement, bien encadré par les policiers antiémeute. Par ailleurs, les policiers ont tenté d’empêcher les médecins de se rassembler, mais des manifestants ont réussi à échapper aux contrôles pour tenir leur rassemblement qui semble tolérer. D’autre part, des parlementaires, présents au rassemblement ont apporté leur soutien aux médecins résidents, en prônant le dialogue entre les différentes parties afin d’aboutir à une solution à cette grève déclarée « illégale » par la justice. Ce rassemblement intervient en parallèle au dialogue prôné par le ministère de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière avec les représentants des médecins résidents. Les médecins résidents ont exprimé leur ras-le-bol face au refus des hautes autorités d’accéder à leurs principales revendications. Pour les manifestants, tout ce qu’avait proposé le ministère était des droits garantis par la loi. De son côté, docteur Mohamed Taileb a indique que « l’ensemble des résidents, après concertation de toutes les facultés d’Algérie, a voté pour une action d’envergure ». Si ce Collectif a opté pour cette manifestation, c’est parce qu’il n’y a, selon la même source, aucune avancée dans les discussions que les représentants des médecins résidents mènent depuis plusieurs jours avec les membres de la commission intersectorielle installé afin de prendre en charge leurs revendications. Le CAMRA rappelle, à cet effet, qu’ « après plus de trois mois de grève, l’agression de la corporation médicale par les forces de l’ordre le 3 janvier 2018, le boycott de la première session du DEMS 2018, après plusieurs réunions stériles avec la commission intersectorielle, la tutelle continue d’ignorer le mouvement avec l’interruption des négociations et les menaces de suspendre ces dernières jusqu’au gel de la grève ». Le Comité dénonce, d’autre part, « les mesures injustes et illégales des ponctions sur salaire par certains établissements ». Il faut noter, en dernier lieu, que les deux parties butent essentiellement sur la revendication relative au service civil. Jusqu’à maintenant, la tutelle n’arrive pas à proposer une alternative à la formule actuelle qui puisse satisfaire les médecins résidents. Il faut que le ministre d el a santé réagisse le plus tôt possible afin d’éviter un nouveau dérapage.
RND de Ain-Temouchent : Le nouveau responsable rencontre les cadres du parti.
Monsieur Saidi Said, nouveau président du bureau de wilaya du Parti politique du Rassemblement National Démocratique (RND) d’Ain- Temouchent a présidé, dans la matinée d’avant-hier, une rencontre avec les membres bureau de wilaya et les secrétaires des bureaux communaux du Parti implantés à travers la wilaya, et ce au siège de cette association à caractère politique, situé à la cité » Sidi Said » à Ain-Temouchent. Le nouveau secrétaire qui remplace monsieur Askar Ali député RND, a occupé auparavant les fonctions électives de Sénateur RND , a rappelé , les orientations et les décisions issues du dernier conseil national du Parti RND, liées entre-autres au renforcement des rangs de la base militante du Parti , notamment par des jeunes et la gente féminine , tout en demandant aux nouveaux élus des assemblées locales issues des scrutin du 23 novembre 2017, de se rapprocher de plus en plus des citoyens pour prendre en charge leurs préoccupations dans tous les domaines, et ce en conformité des lois de la République . De même, un plan d’action lié à la redynamisation des activités des bureaux communaux du Parti RND à travers le territoire de la wilaya sera élaboré. Au cours de cette rencontre qui rentre dans le cadre d’une prise de contact, il a été également mis l’accent sur la participation du Parti RND dans les commémorations de la journée nationale du chahid coïncidant avec celle du 18 février 2018 , et celle du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures devant être célébrés le 24 février 2018 . Soulignons également dans ce cadre , que Monsieur Saidi Said , secrétaire du bureau de wilaya RND rentrant, et Askar Ali , sortant, sont membres du conseil national du Parti Politique du Rassemblement National Démocratique (RND).
Alphabétisation : Grâce à un tandem de choc.
La présidente de l’Association Algérienne d’Alphabétisation Iqraa, Mme Aicha Barki a fait savoir que le taux général de l’analphabétisme en Algérie a connu une baisse sensible ces dernières années pour atteindre 10 % en 2017, alors qu’il était de l’ordre de 42 % avant 2006, lors d’une journée d’information organisée hier au forum d’El Moudjahid. Cette rencontre est dédiée à la présentation d’un nouveau projet en cours qui porte le nom : » Alphabétisation, Formation, Intégration des femmes « . La conférencière a tenu à préciser que ce projet est en suspend pour manque de moyens matériels. Elle a également saisi cette occasion pour demander une aide financière afin d’achever son projet. Par ailleurs, Mme Barki a réitéré sa volonté de travailler plus pour réaliser et équiper d’autres centres d’alphabétisation au niveau national grâce à une convention signée en 2006 entre l’association Iqraa et Ooredoo. » Ce centre d’alphabétisation qui est dédié aux femmes, qui veulent se former dans différents domaines a été inauguré dans le cadre de la convention qui lie l’association Iqraa à Ooredoo depuis 2006, et il est un notre après 15 centres au niveau national grâce aux efforts que continue de fournir notre association pour lutter davantage contre le phénomène de l’analphabétisme dans notre pays « , a souligné Mme Barki. Il y lieu de signaler que le centre en question est situé en plein centre ville de la commune de Cheraga à Alger. , le centre en question est composé de quatre salles réservées à l’apprentissage pour femmes adultes et aux femmes au foyer. Enfin la conférencière a insisté sur le déficit financier rencontré pour l’achèvement de son projet en précisant que » toute aide sera la bien venue « .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Le procès d’Ahed Tamimi sera aussi celui de la colonisation.
La jeune adolescente qui avait été filmée en train de défier un soldat israélien à Nabi Saleh, son visage natal en Cisjordanie, devra encore patienter derrière les barreaux. A 17 ans, Ahed Tamimi risque sept ans de prison. Les autorités israéliennes veulent en faire un symbole en la condamnant. La jeune fille est devenue, côté palestinien, un symbole de la résistance à l’Etat hébreu.
Alors que la justice israélienne avait décidé qu’Ahed Tamimi resterait en prison en attendant son procès. Celui-ci s’est ouvert ce mardi matin. Les journalistes et les nombreux diplomates présents dans une salle comble ont rapidement été priés de quitter l’audience, qui s’est tenue à huis clos. Seuls les membres de la famille de la jeune fille — la plupart avaient été arrêtés à la suite de l’incarcération d’Ahed — ont alors été autorisés à suivre les débats.
Le juge israélien s’est appuyé sur l’âge de la prévenue : selon lui, un débat public n’est pas dans l’intérêt d’Ahed Tamimi. Les avocats de l’adolescente souhaitaient pourtant une audience publique. Ils accusent le juge d’avoir voulu éviter que les caméras du monde entier soient tournées vers la salle d’audience.
Dans ce dossier, c’est plus qu’une jeune fille qui passe devant les juges : l’avocate d’Ahed Tamimi veut que ce procès soit celui de l’occupation des territoires palestiniens par l’Etat hébreu. Pour ce faire, elle compte mettre en avant le droit international et les différentes résolutions de l’ONU qui incriminent Israël. Ce qui délégitimerait le tribunal militaire censé juger Ahed Tamimi. Mais la jeune fille restera finalement un mois supplémentaire en prison, les débats ont été renvoyés à mars prochain.
Muzbnb, Oummaloc… Les Airbnb pour musulmans se développent.
A l’image de Airbnb, les plateformes Muzbnb et Oummaloc ont été lancées : en janvier dernier pour la première et il y a quelques mois pour la deuxième.
Les deux plateformes proposent des services équivalents, mais y ont rajouté une touche « muslim ». En effet, il est possible d’être hébergé selon les règles de l’Islam, à savoir dans des appartements ou maisons sans alcool, sans porc, ni drogues. Des habitations sont même dotées de tapis de prière, ou sont situées à proximité de mosquées.
Des éléments importants pour les voyageurs musulmans, qui souhaitent des logements correspondant le plus possible à leurs attentes et à leur mode de vie.
Hadi Shakur, entrepreneur américain, conscient de cette demande latente a donc présenté le 11 janvier dernier sa future plateforme (mise en service en avril prochain) appelée Muzbnb.
« Il est parfois compliqué de voyager quand on est musulman. Soyons honnêtes, dans le climat actuel, les musulmans sont confrontés à une série de stéréotypes et même de harcèlement. (…) Outre la menace de l’islamophobie, nous avons, en tant que musulmans, des éléments à prendre en compte lorsque nous voyageons, comme savoir où prier et où trouver de la nourriture halal », explique son concepteur.
Des filtres de recherche spécifiques pour les locations ont donc été prévues, incluant la proximité avec des lieux de culte musulman, mais aussi la présence ou non d’ouvrages religieux ou encore le niveau de sécurité pour des femmes voyageant seules.
« Notre but est simple : nous voulons encourager le voyage, l’aventure et la création d’une communauté internationale où les musulmans se sentent à l’aise et acceptés pendant leur séjour », indique Hadi Shakur au site The Memo.
Pour Oummaloc, dont le site n’est pas non plus encore fonctionnel, l’idée est la même :
« La communauté musulmane partage des valeurs, des principes mais aussi un mode de vie. En réservant un hébergement à travers la plateforme, les voyageurs seront plus sereins à l’idée d’avoir un hôte qui les comprend et qui connait leurs attentes (prières, pudeur, nourriture hallal, pas d’alcool, etc…). De plus, la plateforme propose certains critères de sélection répondant aux attentes des musulmans, tels que la proposition de logements exclusivement réservés aux hommes ou aux femmes », explique Oummaloc dans un communiqué.
Pour se rémunérer, les deux sites prévoit une commission entre 13 % et 15 % sur chaque réservation. Un bon filon sachant la communauté potentielle de 1 milliard de personnes à laquelle s’adresse les plateformes. Le tourisme islamique est également en plein essor dans le monde.
Les requêtes d’Afro-Américains 16 % moins acceptées que celles d’Américains blancs selon Harvard.
Mais doit-on y voir un risque ou une dérive ‘communautariste’ ? Hardi Shakur anticipe les critiques et précise déjà que sa plateforme n’est pas réservée uniquement aux musulmans mais à « tous ceux qui supportent les valeurs de l’Islam ».
De plus cette idée d’un « Airbnb communautaire » n’est pas nouvelle. Le site Noirbnb, dédié aux Afro-Américains, a été crée cet été, en réaction aux discriminations subies par les internautes utilisant Airbnb. Une étude d’Harvard montre d’ailleurs les comportements racistes des loueurs sur la plateforme.
« Dans une expérience sur Airbnb, nous avons constaté que les requêtes d’internautes avec des noms afro-américains sont 16 % moins susceptibles d’être acceptées par rapport à des requêtes identiques de voyageurs portant des noms apparaissant comme « blancs » », est-il écrit dès le début du rapport. Les auteurs estiment même que « les choix de conception actuels d’Airbnb facilitent les discriminations ».
Début 2016, la plateforme avait d’ailleurs dû répondre aux sollicitations des internautes qui avaient lancé le hashtag #AirBnbWhileBlack. Ils avaient mentionné les remarques racistes et agressions verbales de la part des loueurs. La société avait alors promis de s’attaquer à ce problème de discriminations, publiant un rapport d’une trentaine de pages et proposant notamment la création d’une charte collective entre les voyageurs et les hôtes afin qu’ils collaborent « indépendamment de leur race, religion, nationalité, handicap, sexe, genre, orientation sexuelle ou âge. ».
Il existe également d’autres formules « Airbnb » lancées pour d’autres communautés comme « mister b&b », un site dédié à la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans) lancé en 2013, mais aussi Jewgether, pour les juifs.
« Black Panthers » : accusé de racisme, Google plaide une erreur technique.
Ce week-end, des internautes cherchant une salle de cinéma projetant le nouveau blockbuster Black Panthers réalisé par Ryan Coogler ont été surpris.
Alors que le film doit sortir mercredi prochain en France, le titre n’était pas le même sur le site Allociné et à la place apparaissait « La Planète des signes : suprématie ».
Un titre plutôt mal intentionné, vu le casting majoritairement afro-américain du film.
Le site senscritique.com est également concerné puisque un champ de la fiche du film a été remplacé par Les Dix Petits Nègres.
La même nuit de samedi à dimanche, la fiche Wikipédia du film a également été modifié de façon malveillante avec le titre les Dix Petits Nègres, avant qu’il ne soit corrigé par un internaute une vingtaine de minutes plus tard.
Ces détournements racistes ont interpellé les internautes, qui ont demandé des explications à Allociné. « Ce problème est totalement indépendant de notre volonté », a affirmé le site sur Twitter. « C’est la reprise du contenu d’AlloCiné par Google qui pose problème. Nos équipes travaillent actuellement sur le sujet pour en couper l’accès. »
Chez Google France, on invoque « une erreur technique » et un problème d’association entre titres et affiches des films.
Mais ces modifications font penser à une attaque ciblée de la part d’internautes contre ce film qui met en avant un super héros noir. Une pratique qui s’appelle le Google Bombing et qui consiste à publier de façon massive des commentaires sur les réseaux sociaux et les sites en associant l’expression que l’on veut que Google adopte et fasse remonter dans les premiers résultats.
Aux Etats-Unis, le film a d’ailleurs été victime d’un groupe d’internautes liés à la mouvance nationaliste et suprémaciste. Le groupe avait annoncé sur Facebook son intention de faire baisser la note du film en l’inondant de commentaires négatifs sur Rotten Tomatoes, un site américain de cinéma réputé. Ce à quoi le site a répondu qu’il ne tolérerait pas un tel agissement. Facebook avait alors désactivé le compte du groupe.
De l’islamisme à l’Islam : le dérapage sémantique de Nadine Morano.
« Oui, nous avons un problème avec cette religion. » La phrase est signée Nadine Morano et, évidemment, la conseillère politique de Laurent Wauquiez parle d’Islam. Rien de très surprenant, Nadine Morano étant une habituée de ce genre de sortie. Mais tout de même… Nous avons franchi un cap : là où même Manuel Valls estimait qu’« il n’y a pas de problème avec l’Islam et les musulmans en France », Nadine Morano met les pieds dans le plat. Avec un glissement sémantique plus dangereux qu’il n’y paraît : le mot « Islam » a remplacé « islamisme » sans que cela ne semble choquer outre-mesure.
Certes, l’ancienne ministre continue en indiquant que ce problème est « un problème d’organisation, de financement des mosquées, de prêches. » Mais Nadine Morano a bel et bien parlé de « problème avec l’Islam. » La conseillère de Wauquiez mélange d’ailleurs, certainement volontairement, les problématiques liées à l’organisation du culte et l’Islam en tant que religion, avec une crainte à peine masquée du Grand Remplacement. « Il y avait une centaine de mosquées dans les années 70, il y en a 1 500 aujourd’hui », déplore la Lorraine.
Peur de l’« islamisation conquérante ».
C’est donc, comme elle le dit elle-même, cette « islamisation conquérante » qui fait peur à Nadine Morano. La peur, selon elle, qu’« un mode de vie moyenâgeux » débarque en France. La conseillère politique de Laurent Wauquiez montre en tout cas la ligne qui sera adoptée par Les Républicains dans les années à venir, entre Valeurs Actuelles et Minute.
Désormais, à une heure de grande écoute sur une grande radio nationale, une femme politique peut, en toute liberté, insulter 8 % de la population française en disant qu’elle a un problème avec cette frange de nos concitoyens.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

MADA fait état de 117 violations israéliennes de la liberté des médias palestiniens depuis décembre.
RAMALLAH (Ma’an) – Le Centre Palestinien pour le Développement et la Liberté des Médias (MADA) a émis samedi un rapport qui dit qu’entre décembre 2017 et fin janvier 2018, l’association a enregistré 117 violations de la liberté des médias palestiniens du fait des forces israéliennes.
MADA a dit qu’on avait enregistré en janvier une baisse des violations contre la liberté des médias par rapport à décembre 2017 où on avait enregistré 89 violations par les forces israéliennes contre des journalistes (dont 84 attaques) alors qu’ils couvraient les manifestations contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël par le président américain Donald Trump.
En janvier, MADA a fait état d’un total de 31 violations de la liberté des médias en Palestine, principalement par Israël, puisque 28 violations ont été commises par les forces israéliennes tandis que trois l’ont été par les forces palestiniennes.
Bien qu’enregistrant une baisse entre décembre 2017 et janvier 2018, MADA a dit que le nombre de violations en janvier était important si on le compare à janvier 2017.
En janvier 2018, parmi les 28 violations commises par les forces israéliennes, « l’une des principales violations rapportées fut l’agression à Jérusalem contre un photojournaliste de Reuter avec un coup de matraque sur la tête qui lui a causé une profonde blessure et une commotion cérébrale », a dit MADA.
« Les forces israéliennes ont par ailleurs poursuivi leur politique d’empêchement de la couverture d’incidents en retenant les journalistes et en les agressant », a ajouté l’association.
Pendant ce temps, les fonctionnaires palestiniens ont commis trois violations – une en Cisjordanie occupée et deux dans la Bande de Gaza.
Les journalistes palestiniens décrivent souvent leur travail comme une forme de « résistance », car ils pensent que ce qu’ils racontent montre au monde les effets dévastateurs de la politique israélienne sur les Palestiniens et procure aux Palestiniens un débouché pour se faire entendre dans un climat médiatique souvent éclipsé par les récits pro-israéliens.
Traduction : J. Ch. pour l’Agence Média Palestine.
Source : Ma’an News Agency.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Des palestiniens bloqués depuis plusieurs jours à l’aéroport du Caire appellent à l’aide
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Les citoyens palestiniens, bloqués depuis plus de quatre jours à l’aéroport du Caire, ont appelé l’Autorité palestinienne et les factions nationales à intervenir pour mettre fin à leur détention dans les salles d’attente des passagers et travailler pour leur retour à la bande de Gaza.
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La détention de Ahed al-Tamimi et de sa mère prolongée d’un mois
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L’occupation installe un point de contrôle et bloque la circulation près de Salfit
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Les prisonniers administratifs boycottent les tribunaux israéliens
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Les USA nient avoir discuté avec l’occupation d’un projet de loi d’annexion en Cisjordanie
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Procès d’Ahed al-Tamimi aujourd’hui
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Un écolier palestinien renversé par un soldat israélien
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Le détenu palestinien Razeq al-Rajoub placé en isolement
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Les autorités de Cisjordanie arrêtent trois citoyens et deux détenus continuent leur grève de la faim
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L’Autorité Palestinienne met en garde contre l’annexion des colonies de Cisjordanie
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Les médecins de l’hôpital Shifa à Gaza en grève
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Abbas demande-t-il la médiation russe pour la paix à la place des Etats-Unis?
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Une délégation du Hamas rencontre les services des renseignements égyptiens
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Ouverture du procès d’Ahed Tamimi et de sa mère
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13 palestiniens arrêtés et des actes de vandalisme de colons en Cisjordanie
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Israël: 60% des enfants détenus dans les prisons israéliennes subissent des tortures
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 27 Joumada al Awwal 1439.

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Sur Ajib.fr, rien de neuf.

Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, voici les titres.

La firme “Vue International” va ouvrir 30 cinémas multiplex en Arabie Saoudite en 3 ans.
Vue International ouvrira 30 cinémas multiplex en Arabie Saoudite au cours des trois prochaines années après la signature d’un accord avec Abdulmohsin Al-Hokair Holding Group basé à Riyadh.
Le protocole d’accord officiel signé lundi fait suite à l’annonce faite en décembre dernier que l’Arabie saoudite va lever l’interdiction des cinémas commerciaux pour la première fois en 35 ans.
Vue International est en pourparlers avec Riyad depuis octobre dernier, après que l’opérateur ait été la seule chaîne de cinéma à être invitée à l’événement Future Investment Initiative organisé ce mois-là.
“C’est un grand moment dans l’histoire du développement cinématographique mondial pour l’industrie de l’exposition et nous sommes honorés de travailler en partenariat avec un opérateur aussi respecté et prestigieux”, a déclaré Tim Richards, fondateur et PDG de Vue International.
Les premiers cinémas pourraient être ouverts plus tard cette année, selon un communiqué de Vue International .
Al-Hokair Group est connu dans la région pour la construction et l’exploitation de complexes de loisirs et d’hospitalité. Il possède et exploite actuellement trois centres commerciaux, 79 centres de divertissement et 45 hôtels en Arabie Saoudite, EAU, Turquie et Egypte.
Maisaa Sabihi fait un one man show à Jeddah et loue les changements en Arabie Saoudite.
La première performance solo de Maisaa Sabihi, une actrice saoudienne, soulignant les récentes mesures prises dans le Royaume saoudien pour accorder plus de libertés aux femmes, a reçu des critiques positives.
Organisé par la Société saoudienne pour la culture et l’art (SASCA), le spectacle solo a eu lieu au Jeddah Comedy Club le 10 février.
À travers ses personnages, l’actrice a tenté de mettre en lumière diverses questions relatives à l’amour, au mariage et au divorce.
Sabihi a également interagi avec son public en les invitant sur la scène. Lors de son show, l’actrice a salué des changements en cours dans le Royaume, en particulier les étapes assurant l’expansion du rôle des femmes dans toutes les sphères de la vie.
Sabihi souhaite se produire dans différentes parties du Royaume afin de transmettre son message à un public plus large. La jeune artiste a déclaré que la SASCA avait l’intention d’organiser ses spectacles dans différentes régions d’Arabie Saoudite.
Rodrigo Duterte: “Tirez sur les femmes rebelles dans leurs organes génitaux”.
Le président philippin Rodrigo Duterte a été condamné par les organisations de défense des droits de l’homme et les groupes de femmes, après avoir déclaré que les rebelles communistes de sexe féminin du pays devraient être abattues par une balle dans leurs parties intimes en guise de punition pour avoir combattu le gouvernement.
La déclaration de Duterte “n’est que la dernière d’une série de déclarations misogynes, désobligeantes et avilissantes qu’il a fait à propos des femmes”, a déclaré Human Rights Watch dans un communiqué.
“Cela encourage les forces de l’Etat à commettre des violences sexuelles pendant les conflits armés, ce qui constitue une violation du droit international humanitaire” , a déclaré Carlos Conde, un représentant de Human Rights Watch aux Philippines .
Le président a également réprimandé les femmes combattantes pour avoir abandonné leurs enfants et leurs familles, afin de rejoindre le mouvement communiste.
Un Taliban infiltre une milice pro-gourvernementale et tue 16 soldats.
Un infiltré taliban a tué 16 miliciens pro-gouvernement dans la province d’Helmand en Afghanistan.
L’assaillant s’était battu aux côtés de la milice pendant des mois avant de retourner son arme contre eux samedi soir, à un poste de contrôle dans le district de Gereshk.
“Nous savons qu’un combattant taliban a tué 16 miliciens combattant aux côtés des forces gouvernementales”, a déclaré lundi un porte-parole du gouverneur de Helmand à l’agence de presse Reuters.
Les médias locaux ont déclaré que les talibans ont revendiqué la responsabilité de l’attaque. L’assaillant a réussi à rejoindre le groupe armé après avoir fui le checkpoint avec des armes, a rapporté TOLOnews .
De vastes étendues de la province afghane d’Helmand – le centre de production d’opium du pays – sont actuellement sous le contrôle des talibans afghans.

Sur saphirnews.com, rien de neuf.

Sur oumma.com, voici les titres.

Une Saoudienne se produit pour la première fois seule sur scène et enchante le public.
Signe des temps, dans une Arabie saoudite qui a inauguré l’ère de l’émancipation des femmes, Maisaa Sabihi a fait sensation, samedi soir, sur la scène du Jeddah Comedy Club, en interprétant son plus beau rôle : celui de la première actrice saoudienne à se produire en solo devant un public qui n’avait d’yeux que pour elle.
Couverte de fleurs à l’issue de sa prestation époustouflante, au cours de laquelle elle a incarné trois personnages différents pour mieux aborder les thématiques liées à l’amour, au mariage et au divorce, cette artiste de talent se double d’une professeure émérite en littérature anglaise, titulaire d’un doctorat obtenu à Londres, qui fait salle comble à chacun de ses cours dispensés à l’université du Roi Abdulaziz, à Jeddah.
Pour un coup d’essai avalisé par la Société saoudienne pour la Culture et l’Art (SASCA), sa performance fut indéniablement un coup de maître, ponctuée d’une d’interaction avec le public qui a fait mouche. Invités cordialement à monter sur scène et à lui poser des questions sans tabous, les spectateurs n’ont pas vu les deux heures passer, ressortant du théâtre agréablement surpris, touchés, enchantés, voire pas tout à fait les mêmes qu’en y entrant…
Maisaa Sabihi, qui a écrit sa première pièce il y a dix ans, est aujourd’hui encouragée dans sa démarche artistique par les critiques positives qui saluent, sans la moindre réserve ou presque, sa manière de mettre en lumière de nombreux aspects de la vie quotidienne des Saoudiens, y compris certains travers.
La notoriété aidant, elle a désormais un vrai fan club, auquel Najat Al-Malki, une femme au foyer de 58 ans qui était aux premières loges de son one-woman-show en compagnie de ses deux filles, est fière d’appartenir. « J’ai vraiment apprécié ! », s’est-elle exclamée auprès d’Arab news, ajoutant élogieuse : « Le temps s’est écoulé en un clin d’œil, Maisaa a brillamment représenté la communauté saoudienne ».
Alors qu’elle s’apprête à remonter sur scène les 17 février et 8 mars prochains, Maisaa Sabihi ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Elle souhaite planter ses tréteaux dans d’autres villes et régions du royaume saoudien, afin de délivrer son puissant message à un très large public.
Palestine : 40 000 migrants expulsés d’Israël avant le 1er avril : la fin de l’ultimatum approche.
Conformément à l’annonce de Benjamin Netanyahou, 40 000 migrants africains indésirables ont jusqu’à fin mars pour quitter le territoire israélien. Leur seul choix : un billet aller simple et 3 000 euros de compensation financière, ou bien la prison.
reportage a voir sur oumma.com.
Emmanuel Macron, ou la réforme en marche de l’islam de France.
Et voilà que le président Macron remet, à son tour, l’ouvrage sur le métier en ce qui concerne la structuration de l’islam de France !
A l’image de ses prédécesseurs, le nouveau locataire de l’Elysée veut imprimer sa marque sur l’organisation du culte musulman, à la manière « de jalons » qu’il envisage de poser au cours du « premier semestre 2018 », ainsi qu’il l’a expliqué au Journal du dimanche (JdD).
D’aucuns y verront une énième ingérence du pouvoir politique dans la deuxième religion du pays, ou quand la macronisation de l’islam hexagonal est en marche…
S’appuyant sur une large consultation, la méthode Macron consiste à « progresser sur ce sujet » lentement mais sûrement, par « petite touche », selon ses propres termes, ne dévoilant sa « proposition » finalisée que « quand le travail sera abouti ».
« Je vois des intellectuels et des universitaires, comme Gilles Kepel, des représentants de toutes religions car je considère que nous devons nous inspirer fortement de notre histoire, de l’histoire des catholiques et de celle des protestants », a-t-il indiqué, en citant « Youssef Seddik, comme d’autres intellectuels et toutes sortes d’acteurs, tels que l’Institut Montaigne, qui ont pris des initiatives sur cette question ».
Emmanuel Macron considère qu’il est hasardeux de « brandir des objets connotés » ou de « faire des raccourcis en plongeant tout le monde dans un même sac », renchérissant : « Il y a une question qui est celle de l’organisation. Mais il y a une autre question, qui est celle du rapport entre l’islam et la République. »
En outre, bien que le président de la République ne semble pas pencher en sa faveur, la piste de réflexion sur un « nouveau concordat » serait à l’étude. Mais la recherche d’une solution pour « retrouver ce qui est le cœur de la laïcité, la possibilité de pouvoir croire comme de ne pas croire » pourrait impliquer une révision de la loi de 1905.
Une perspective qui, ironie du sort, risque fort d’être perçue comme un véritable sacrilège dans une France qui se targue de ne plus reconnaître cette notion.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

ÉDITO. “Islam-de-France”, on prend les mêmes (ou presque), et on recommence…
Le nouveau roi-soleil a donc pris sa décision : c’est au premier semestre 2018 qu’il va poser “les jalons de toute l’organisation de l’islam de France” (on en salive d’avance). Et Macron a annoncé sa liste de conseillers très spéciaux à cet effet : pêle-mêle, le grand rabbin de France Haïm Korsia (non, non, ce n’est pas un canular), l’orientaliste et fou furieux laïcard Gilles Kepel, l’homme qui voit des islamo-gauchistes partout, ou encore l’ex-laquais du régime benaliste Hakim el Karoui, dont Mediapart a révélé récemment qu’il avait conseillé l’ancien dictateur de Tunis jusqu’au dernier jour (et donc 338 morts plus tard)… Et, cerise sur le gâteau, le “philosophe” tunisien Youssef Seddik (photo) dont les positions sont si proches de l’athéisme qu’il a été (très justement, disons-le) qualifié de mécréant et chassé par des foules d’étudiants en colère lors d’une réunion d’Ennahda et à l’université américaine de Jénine – pourtant pas vraiment des hauts-lieux du jihadisme.
Toujours très peu de français, donc, et encore moins de musulmans… Un comble pour le président qui annonçait vouloir “mettre fin aux influences étrangères” et qui se retrouve, comme ses prédécesseurs, à fouiller dans les poubelles de la pire dictature laïque qu’ait connu le Maghreb. Même Tareq Oubrou, ex-futur “mufti de la République” qui parvenait encore, de temps en temps, à simuler un peu d’islâm, a visiblement été écarté. Passons sur le paradoxe du chef d’un État qui fait de la laïcité sa colonne vertébrale déclarant ouvertement sa volonté de réorganiser une religion, l’islâm, de surcroît en compagnie d’un rabbin… Tout, ou presque, a déjà été dit sur ce qui n’est que la continuation de la “politique musulmane” de la République en Algérie coloniale : toujours plus d’humiliation.
Ceux qui rêvaient naïvement d’une nouvelle ère sous le règne de Macron en sont pour les frais. Les quinquennats se suivent, les têtes changent, mais le profond mépris pour les musulmans de France, lui, reste la norme au sommet de l’État…
Pays-Bas : une mosquée de Drachten victime d’un incendie criminel.
Les attaques contre les mosquées en Europe et en Amérique du Nord se multiplient. Dernière en date aux Pays-Bas, dans la ville de Drachten où une mosquée a subi des dégâts suite à un début d’incendie provoqué dans la nuit de vendredi à samedi. L’auteur de cette attaque, filmé par les caméras de vidéosurveillance, a tenté de mettre le feu à la mosquée en brisant la vitre d’une des fenêtres de l’édifice avant de verser une matière inflammable et de déclencher le feu.
La vitre n’étant pas complètement brisée, le feu n’a fort heureusement pas atteint l’intérieur de la mosquée. Une plainte a été déposée.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Des précipitations au-dessus de la normale prévues de février à avril : L’Algérie, pieds dans l’eau !.
Les précipitations prévues pour les mois de février, mars et avril devraient être globalement « au-dessus » de la normale dans les différentes régions du pays, où les températures connaîtront, en général, une baisse par rapport à la normale, selon les prévisions Centre climatologique national (CCN). Selon des données fournies à l’APS par le directeur du CCN, Salah Sahabi Abed, les précipitations prévues pour février seront « au-dessus » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, de l’intérieur et hauts plateaux (Ouest, Centre et Est) avec « 20 à 60 mm de plus que leurs normales climatologiques », et « légèrement au-dessus » de la normale sur la région Nord du Sahara de l’ordre de « 5 à 15 mm par endroit ». Pour le mois de mars, elles seront « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines Ouest, « légèrement audessus » de la normale sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux Ouest, « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du littoral, proches côtières, chaines et plaines de la région du Centre, a-t-il indiqué. A l’Est, les précipitations attendues seront « au-dessus » de la normale vers les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines et les hauts plateaux, et « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du Sahara oriental vers Ghardaïa, El Oued, Touggourt, Ouargla et Hassi Messaoud. S’agissant du mois d’avril, les précipitations seront « au-dessus » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines Ouest, plaines du Centre et de l’Est, « au-dessus » de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre, et « normales » sur les hauts plateaux Est et le Nord du Sahara, d’après les prévisions du CCN. Concernant les températures, pour le mois de février, elles seront « légèrement au-dessous » de la normale sur l’ensemble des régions côtières, proches côtières, chaines et plaines, et « au-dessous » de la normale mensuelle sur les régions des hauts plateaux Ouest et Centre, tandis qu’elles seront « normales » sur les régions de l’intérieur et les hauts plateaux Est. Dans les régions du Sud-Ouest et le Sud- Est du pays, elles seront « légèrement audessous » de la normale, et « au-dessus » de la normale sur l’extrême Sud-Est, a précisé M. Sahabi Abed. Durant le mois de mars, elles seront « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines de l’intérieur Ouest et Est, « très au-dessous » de la normale sur les hauts plateaux Ouest, Centre et les régions des oasis, et « normales » sur les régions du Centre (côtières et de l’intérieur), les hauts plateaux Est et le grand sud. Les prévisions du mois d’avril indiquent que les températures seront « légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, et hauts plateaux Ouest, « normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre, a indiqué le directeur du CCN. Au centre et à l’est du pays, elles seront « normales » sur les régions côtières, proches côtières, « au-dessus » de la normale sur les régions des hauts plateaux Est, « proches de la normale climatologique » sur les régions Sud-Ouest, « normales à légèrement audessus » de la normale sur le Sahara central, Oriental et l’extrême Sud, a-t-il ajouté. Il est à noter que l’état du climat algérien en 2017 a été marqué par un début d’année « très froid », avec la survenue d’une vague de froid qui a sévi durant le mois de janvier, touchant même les régions du Sud, relève l’Office national de météorologie (ONM). L’année dernière a connu, également, un été « chaud, voire très chaud » dans certaines régions, selon l’ONM, faisant remarquer, notamment, que la saison estivale avait été marquée par l’occlusion de plusieurs foyers de feu de forêts affectant principalement la région Nord-est. La saison d’automne a été, aussi, « chaude, avec un début des pluies tardif pour la plupart des régions du pays, engendrant des impacts directs sur l’agriculture et la ressource en eau », ajoute l’organisme. Au niveau planétaire, il a été confirmé que les années 2015, 2016 et 2017, « qui s’inscrivent clairement dans la tendance au réchauffement sur le long terme causée par l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre, sont les trois années les plus chaudes jamais enregistrées », selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Les subventions destinées aux carburants pourraient être supprimées dès 2019 : Quand l’essence prend l’ascenseur.
Du nouveau sur les prix des carburants en Algérie. Alors que l’État vise à éliminer son déficit budgétaire d’ici trois à quatre ans, le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia annonce, en marge de la réunion entre les ministres des Finances arabes et le Fonds monétaire international (FMI), à Dubai que les subventions du gouvernement pour soutenir les prix du carburant devraient connaître une baisse en 2019 et autres subventions à partir de 2020. Sans préciser les subventions qui pourraient être coupées en 2020, le ministre a rappelé, que l’État subventionne une large variété de biens et de services comme l’électricité, le pain ou encore l’huile, en soulignant que des réductions de subventions se produiraient dans le contexte de réformes visant à rendre le système plus efficace et plus favorable aux Algériens à faible revenu. Les finances qui dépendent fortement des revenus du pétrole et du gaz, peuvent se sentir alléger par le rebond des prix mondiaux du pétrole au cours des derniers mois, ainsi que par la réduction des dépenses de l’État. Le FMI estime avoir enregistré un déficit budgétaire de 3,2% du produit intérieur brut l’année dernière, contre 13,5% en 2016. Il a par ailleurs indiqué que le gouvernement ne s’attend pas à avoir besoin d’emprunter de l’argent cette année, tout en laissant ouvert la possibilité d’emprunter à partir de l’an prochain. Les autorités algériennes se sont refusées jusque-là à opter pour l’emprunt extérieur pour réduire le déficit du trésor.
A cause des intempéries et des chutes de neige : Plusieurs routes fermées à la circulation.
Le trafic a été perturbé dans plusieurs wilayas du pays, dans la matinée du samedi 10 février suite à d’importantes chutes de neige. Les chutes de neige ont continués, jusqu’à hier matin, d’affecter les reliefs du Centre et de l’Est du pays dépassant les 800 mètres d’altitude, selon un bulletin météo spécial (BMS) émis ce hier samedi par l’Office national de météorologie. En effet, les dernières chutes de neige enregistrée sur les reliefs du centre et de l’est du pays ont paralysé plusieurs routes à travers différentes wilayas du pays. Selon le sous directeur de l’Information et des statistiques à la direction générale de la protection civile, le colonel Farouk Achour, la circulation sur les routes de cinq wilayas a été perturbée suite aux fortes chutes de neige. Il s’agit de Mila, Jijel, Bejaia, Tizi-Ouzou et Bouira. Dans les zones montagneuses les routes sont carrément bloquées par la poudreuse. Ainsi à Médéa, une dizaine de chasse neige ont été déployés, dès vendredi soir, sur différents axes des routes nationales, notamment ceux reliant Médéa à Benchicao et Berrouaghia, (RN 1), Ain- Boucif-Chellalet et el-Adhaoura (RN 60). En outre, des opérations de salage ont été menées, d’après l’APS, sur certains tronçons de la route nationale 60, qui dessert la localité de Ain- Boucif, et du chemin de wilaya 60, quifait la jonction entre Boghar et Ouled Antar, culminants à plus de 1200 mètres d’altitude, pour enlever la couche de verglas qui a rendu difficile la circulation automobile. « Probablement d’autres routes des autres wilayas de l’est du pays vont êtres coupées puisque la neige ne cesse de tomber. Ces chutes continueront d’affecter les reliefs des wilayas de Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bouira,Béjaïa, Jijel, Skikda, Sétif et Bordj Bou Arreridj et l’épaisseur de la neige atteindra ou dépassera localement 10 cm « , précise l’officier supérieur. Par ailleurs, des pluies parfois sous forme d’averses orageuses et/ou de grêle ont été enregistrées ce samedi, dans les wilayas côtières du centre et de l’est du pays.
Il relève que la majorité des débrayages font fi du droit de grève : Le ministère du Travail recadre les syndicats.
Après la grève des médecins résidents et spécialistes, l’intersyndicale a décidé de mené une grève à partie du 14 février. Les 10 membres de l’intersyndicale, issus de différents secteurs d’activités, la santé, l’administration publique et l’éducation nationale notamment, pour faire valoir leur plateforme de revendications. Cette annonce a secoué le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, qui a indiqué dans son communiqué que » le constat fait par les services de l’Inspection du travail sur le terrain révèle que « la majorité des débrayages ne respectent pas les dispositions juridiques régissant le droit de grève ». « Il ressort du constat sur le terrain des service de l’Inspection du travail que la majorité des débrayages ne respectent pas les dispositions juridiques régissant le droit de grève ce qui fait tomber les syndicalistes et les travailleurs concernés sous le coup de la loi et les exposent à des mesures disciplinaires pouvant aller jusqu’au licenciement », précise la même source . « Ainsi, des travailleurs se voient poursuivis en justice par l’employeur pour s’être fait entrainé dans des débrayages illégaux même s’ils croient en la justesse de leurs revendications et à la régularité de leurs actions ». A ce propos, les services du ministère du Travail ont enregistré dernièrement « des conflits collectifs de travail qui ont conduit à des grèves touchant les secteurs de la Fonction publique et économique entrainant des perturbations du fonctionnement normal des services publics ».
C’est la première fois depuis 30 ans que l’entité sioniste perd un F-16 au combat : L’invincibilité… vaincue.
C’est la première fois depuis au moins 30 ans que l’entité sioniste perd un F-16 au combat .Un coup sévère vient d’être infligé à l’entité sioniste ce qui va la pousser désormais à y réfléchir deux fois avant d’agresser ses voisins. La situation est très critique et pourrait conduire à un conflit armé d’une rare violence entre la Syrie et l’entité sioniste après qu’un avion de chasse de cette dernière a été abattu par la défense anti-aérienne syruenne.D’ailleurs cela n’est gère une chose courante. C’est pourtant ce qui est arrivé, samedi 10 février au petit matin, lorsqu’un F16 s’est écrasé dans le nord de l’entité sioniste, après avoir été touché par les tirs de la DCA syrienne. Selon la presse, l’avion de guerre revenait d’une action de représailles après la violation de l’espace aérien de l’entité sioniste par un drone iranien, lancé depuis la Syrie. Par la suite, les deux pilotes qui se trouvaient dans l’avion se sont éjectés et ont pu être transportés à l’hôpital. L’état de l’un d’entre eux est considéré comme « sérieux ». Par ailleurs, face à cette déconvenue d’ailleurs très mal acceptée par les militaires de l’entité sioniste, la réaction ne s’est pas faite attendre car une série d’attaques aériennes ont été engagées samedi en Syrie, frappant des cibles militaires syriennes, lors desquelles la défense antiaérienne syrienne a riposté ont rapporté les médias locaux. A Damas, l’agence de presse Sana a affirmé que la DCA avait repoussé les avions de l’entité sioniste et touché « plus d’un », faisant état de raids contre des installations militaires près de Damas, dans le centre et le sud du pays. Selon le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) Abdel Rahmane, des raids israéliens ont visé dans l’est de la province de Homs (centre). C’est la première fois que l’armée de l’entité sioniste dit ouvertement avoir visé des cibles « iraniennes » depuis le début en 2011 de la guerre en Syrie, où Israël a effectué ces dernières années de nombreuses frappes contre le régime de Damas ou le Hezbollah libanais.
Projet de loi sur la santé : Des incohérences relevées.
Les syndicats autonomes émettent des réserves sur le projet de loi de la santé. Ce projet qui est a été déposé depuis des mois à l’APN fait l’objet de polémiques de syndicalistes sur quelques articles où ils dressent des » incohérences « . Pour le président du SNPSP Lyès Merabet » ce projet de loi qui a été gelé est basé essentiellement sur l’implication, pour ne pas dire, le monopôle direct du privé sur le secteur de la santé « . Le président du syndicat reproche au gouvernement ne pas recueillir les avis des partenaires sociaux sur la question. Selon ce dernier » il faudra donner un exposé de motifs détaillé aux députés et expliquer les conséquences de cette loi « . Du même avis, les syndicats des praticiens spécialistes et ceux des hospitalo-universitaires n’ont pas manifesté d’enthousiasme envers ce projet. Mais que reproche-t-on au fait à cette nouvelle loi ? Pour les praticiens, il s’agit principalement d’un article où il est stipulé que » le privé sera impliqué dans le système de santé nationale. Il sera intégré dans des réseaux de soins où nous avons prévu une organisation régionale sanitaire. Nous avons même prévu que ce privé participe à des missions du service public. C’està- dire, il peut faire de la prévention et s’occuper des taches qu’il ne fait pas actuellement. Cela se fera dans le cadre d’un cahier des charges et avec un contrat signé avec l’état « . Cette considération est très mal perçue par les praticiens publics qui ne veulent pas de l’intrusion du privé dans le » carré « . Les syndicats autonomes de la santé estiment que cette » complémentarité public privé » ne doit pas cacher de main mise sur le secteur de la santé. L’autre question est celle qui concerne l’exercice du praticien public en dehors de la sphère publique. Selon une source du ministère de la santé » la nouvelle loi a prévu la suppression définitive de l’activité complémentaire. Personne ne sera autorisé a exercé dans le secteur privé, c’est-à-dire à avoir une double activité. La réglementation est claire à ce propos. Elle doit être respectée ». C’est ce qui va irriter d’avantage les praticiens publics de la santé qui sont habitués à la double vacation. Une situation déjà dénoncée par les différents ministres qui se sont succédé. Un autre sujet qui fait jaser les syndicats est celui de la » couverture sanitaire du privé dans les régions où le service public est absent « . Là aussi, ils demandent la révision de cet article. Mais selon une déclaration récente du chargé de communication du ministère de la santé » le projet de loi sur la santé sera présenté identiquement comme il a été rédigé la première fois. Pour le moment, il n’y a aucune modification « .
Farid Larbaoui

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Affaire Balotelli : les clubs de Ligue 1 minimisent-ils le racisme dans les stades ?
Mario Balotelli aurait à nouveau été la cible de cris racistes. SOS Racisme demande une enquête et fustige l’attitude des dirigeants du club dijonnais.
Un an après avoir été victime de cris racistes lors d’un match à Bastia, Mario Balotelli a à nouveau entendu des supporters s’en prendre à sa couleur de peau. Ce week-end, lors d’un match à Dijon, le joueur niçois a entendu des cris racistes et a voulu prévenir l’arbitre de la rencontre de ces agissements. Après avoir demandé aux supporters de se taire, l’attaquant a reçu de la part de l’arbitre… un carton jaune.
Au lendemain de cette affaire, SOS Racisme a réagi en accusant les dirigeants de Dijon. « M. Dall’Oglio (l’entraîneur dijonnais, ndlr) a d’emblée tenu à minimiser les actes de ses supporters en parlant de la responsabilité de deux ou trois individus seulement, alors que rien à ce stade ne permet de savoir qui sont les éventuels auteurs de ces cris racistes », explique Hermann Ebongué, secrétaire général de SOS Racisme.
Pire, l’entraîneur aurait usé d’un argument étonnante… « Pour défendre la probité de ses supporters, il a mis en avant le ‘stock’ de joueurs de couleur évoluant à Dijon. L’emploi de ce mot ‘stock’ est tout simplement ignoble. Comme s’il s’agissait de simples marchandises… », explique SOS Racisme.
« Venant d’un joueur comme ça, vu le match qu’il a fait, il devrait se faire tout petit »
SOS Racisme dénonce également l’attitude générale des dirigeants de Dijon : « Pas un mot des dirigeants, pas un communiqué sur le site internet du club. » Certes, les images ne confirment pas les cris racistes. Du coup, le dirigeant de l’association demande « l’ouverture d’une enquête ou le lancement d’un appel à témoins, comme le font les clubs anglais dans de pareilles situations. »
SOS Racisme veut semble-t-il éviter la minimisation des actes racistes. Il y a un an, le joueur italien avait dénoncé le racisme dans les stades. Un joueur lillois, ex-bastiais, avait alors indiqué : « On en fait une affaire beaucoup plus importante que ce qu’elle n’est. J’ai regardé le match et je n’ai rien entendu. Et après, je n’ai pas entendu de cris de singe. Je trouve que, venant d’un joueur comme ça… Si il y a eu ça, bon bah c’est grave mais venant d’un joueur comme ça, vu le match qu’il a fait, il devrait se faire tout petit. »
Quand l’institut Montaigne faisait des recommandations peu laïques à Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron annonce, dans le JDD, qu’il veut « poser les jalons de toute l’organisation de l’Islam de France » au « premier semestre 2018. » Le président affirme qu’il va « continuer à consulter beaucoup. » Lors de sa campagne, il avait notamment reçu des propositions sur ce thème de l’Institut Montaigne.
Les MacronLeaks — un dossier de près de 71 000 mails issus de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron —, publiés en juillet dernier par WikiLeaks, n’ont rien révélé d’extraordinaire concernant le président de la République et son équipe. Pourtant, en épluchant ces documents, on trouve des propositions étonnantes faites par l’institut Montaigne, un think-tank très marqué à droite et proche d’Emmanuel Macron depuis le lancement d’En Marche !, à propos de l’Islam et de la laïcité. Des propositions choc faites par l’équipe de Hakim El Karoui — un Franco-Tunisien qui avait envoyé des notes stratégiques au dictateur tunisien Ben Ali au moment des printemps arabes —, qui avait déjà publié un rapport très controversé sur le thème « Un islam français est possible. » Ce dernier, qui avait jugé que le radicalisme touchait une grande partie de la population musulmane en France, avait été repris par des hommes politiques des Républicains, comme Nicolas Sarkozy, pour créer une véritable polémique sur la place de l’Islam dans la République.
Contribution volontaire obligatoire sur le halal et « créativité juridique ».
Le mail date du 29 juillet dernier. Emmanuel Macron est alors encore ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique — il assurera cette fonction jusqu’au 30 août 2016. A l’issue du conseil des ministres du mercredi 3 août, les ministres vont prendre quelques jours de vacances. Mais Macron semble savoir à l’époque qu’il quittera bientôt ses fonctions. Quentin Lafay, chargé de la coordination des discours et de l’équipe des experts d’Emmanuel Macron pendant la campagne — parti depuis écrire des séries pour Hollywood —, écrit alors un mail au reste de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron pour, affirme-t-il, « constituer un petit dossier » consacré à la laïcité, l’Islam ou encore la sécurité, afin qu’Emmanuel Macron « puisse partir avec en vacances. » Parmi les pièces qui sont envoyées par la plume du futur président, un document qui concerne l’Islam de France : un « PowerPoint de l’étude sur l’Islam de France — provisoire et très confidentiel — préparée par l’Institut Montaigne et Hakim El Karoui. » Un PowerPoint de vingt-cinq pages intitulé « L’Islam français : le connaître, l’organiser. »
Après une série de rappels sur l’organisation de l’Islam en France, l’institut Montaigne effectue une série de propositions. Parmi celles-ci, des recommandations encore vagues, comme le financement du culte « en taxant la consommation islamique. » La fameuse « taxe halal » déjà proposée par certains dirigeants politiques, en somme. Mais pour ce faire, il faudra d’abord « faire une étude de faisabilité sur la mise en place d’une CVO (contribution volontaire obligatoire, ndlr) sur la viande halal pour financer le culte musulman », écrit l’institut Montaigne, qui propose « une nouvelle gestion de l’Islam français. » L’institut propose que la Fondation de Jean-Pierre Chevènement soit mise en avant, mais craint un « risque d’obstruction de la part des membres du CFCM » et suggère « un peu de créativité juridique pour veiller à ce que les extrémistes ne soient pas surreprésentés. » Sans préciser qui sont ces « extrémistes. »
Statistiques religieuses, extension du concordat et secrétariat d’Etat en charge des Affaires religieuses
L’institut Montaigne fait également toute une série de propositions « compatibles avec la loi de 1905 », comme l’enseignement de « l’arabe classique à l’école publique pour réduire l’attractivité des cours d’arabe dans les mosquées », l’extension du « concordat à l’Islam en Alsace-Moselle afin d’assurer la formation des cadres religieux musulmans en France » ou encore la création « d’une école d’aumônerie pour former et recruter des aumôniers-fonctionnaires. » Des propositions concrètes, accompagnées de « modalités d’application. » Comme lorsque l’institut Montaigne propose de « réaliser, à l’occasion du recensement général, des statistiques religieuses (non obligatoires) pour permettre à la puissance publique d’avoir des informations étayées en la matière et mieux répondre à leurs besoins. » Une mesure qui permettrait, explique Hakim El Karoui, de « déconstruire les mythes du ‘Grand remplacement’ » mais qui pourrait faire peur aux croyants par « crainte d’un fichage. »
Autre mesure étonnante : la proposition de « création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité. » Un simple décret suffirait à créer ce secrétariat d’Etat, indique l’institut Montaigne, qui proposait sa mise en place dès 2017. Celui-ci aurait permis, en ce qui concerne le culte musulman, de « centraliser la gestion de dossiers actuellement éclatés entre les ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères, de la Justice, etc. » et de « donner un signal politique fort en sortant les relations aux cultes du prisme sécuritaire. » Enfin, l’institut Montaigne émet une liste de propositions plus floues, comme la « mise en place d’un concordat provisoire pour les ‘nouveaux cultes’. » Une « abrogation de la loi 1905 » qui, cependant, comporterait des risques juridiques, politiques et financiers, assure l’institut. Car dans ce cas, les imams deviendraient des fonctionnaires de l’Etat. Et il faudrait, de plus, « nationaliser » les lieux de culte construits après 1905. Ce qui coûterait, selon l’institut Montaigne, environ 17 milliards. Pas sûr qu’Emmanuel Macron s’engage un jour sur ce terrain-là, donc.
Les doutes de l’islamologue Rachid Benzine
D’autant que le document est envoyé à Rachid Benzine, spécialiste reconnu de l’Islam. Le natif de Trappes écrit, le 20 septembre 2016 par mail à Laurent Bigorgne, directeur de l’institut Montaigne et ami proche de Macron — il était également pressenti pour devenir ministre de l’Education nationale —, ses « remarques sur les propositions du rapport de l’institut Montaigne. » L’islamologue met en doute la pertinence de revenir, de quelque façon que ce soit, sur la loi de 1905. « Déjà aujourd’hui les municipalités n’arrivent pas à entretenir l’immense patrimoine immobilier religieux de France. Comment imaginer que de nouvelles charges leur soient imposées ? Les municipalités ne sauraient accepter pareille proposition, écrit Rachid Benzine. De plus, les Eglises ne sont probablement pas prêtes à abandonner aujourd’hui toute une part de ce qu’elles possèdent encore. » L’écrivain relève cependant quelques propositions « réalistes », comme le fait d’offrir « une vraie formation des cadres d’aumônerie » ou de prévoir « une approche plus nationale de la création de ‘carrés musulmans’ dans les cimetières de France, alors qu’actuellement chaque maire accepte et favorise ou non ces créations de carrés musulmans. »
Concernant la création d’un secrétariat d’Etat aux Affaires religieuses et à la Laïcité, Rachid Benzine est également réfractaire à l’idée. « On sait le peu de poids des secrétariats d’Etat. On ne voit pas comment celui-ci en aurait plus que d’autres », estime l’islamologue, qui demande quel serait son rôle : « Être un ‘commissaire politique’ chargé des religions ? Là encore, ce serait en contradiction avec la loi de 1905, selon laquelle ‘la République ne reconnaît aucun culte’ », écrit-il. Pour ce qui est de l’élargissement du régime concordataire des cultes d’Alsace-Lorraine au culte musulman, Rachid Benzine craint qu’un débat à ce sujet amène à la disparition de cette « anomalie » qui n’est, aujourd’hui, qu’un « héritage de l’histoire. » Enfin, l’écrivain balaie d’une revers de la main la « taxe halal », en posant deux questions très simples : « Comment, dans une société de libertés, l’Etat pourrait-il prétendre organiser le financement du culte musulman ? Les Eglises comme les institutions juives accepteraient-elles une telle tutelle ? » Autrement dit, comme de nombreuses autres, la proposition semble peu réaliste. Rachid Benzine montre que l’institut Montaigne a fait fausse route sur le thème de la laïcité pendant la campagne d’Emmanuel Macron.
Pourquoi ne peut-on pas contester librement la politique israélienne ?
Pages Facebook pro-palestiniennes fermées, interdiction de l’appel au boycott d’Israël ou amalgame entre l’antisionisme et l’antisémitisme… A-t-on, en France, le droit de contester la politique israélienne ? Ce lundi, l’Association France Palestine Solidarité organise, sous le patronage d’Esther Benbassa, sénatrice EELV de Paris, un colloque sur ce thème.
Plusieurs intellectuels profitent de cet événement pour publier une tribune dans laquelle ils appellent à pouvoir « dénoncer les injustices subies par le peuple palestinien » en toute liberté. Selon eux, contester la politique israélienne est « un droit qui reste à conquérir. » Pascal Boniface, Rony Brauman, Ivar Ekeland, Bertrand Heilbronn, Christiane Hessel, Renée Le Mignot ou encore Dominique Vidal sont les signataires de cette tribune.
Mettre fin aux pressions et interdictions.
Ces intellectuels dénoncent notamment « les pressions et les interdictions », en rappelant que plusieurs élus de la République n’ont pas été autorisés à se rendre en Israël en novembre dernier, alors qu’ils voulaient rendre visite à Marwan Bargouthi. Les signataires rappellent également la « liste noire » des associations pro-BDS dont les membres sont désormais interdits d’entrée sur le sol de l’Etat hébreu.
Ils dénoncent également, de la part des politiques, « la promotion d’une ‘définition’ de l’antisémitisme qui prendrait en exemple la critique ‘excessive’ de la politique israélienne. » Il s’agit, toujours selon ces intellectuels, d’une « insulte au combat antiraciste. »
« Liberté d’expression et d’action citoyenne ».
Le colloque organisé au Sénat est également l’occasion d’annoncer le lancement de « 6 principes pour un débat libre et démocratique sur la question israélo-palestinienne », qui doit permettre de « donner le coup d’envoi d’une mobilisation citoyenne. » « Nous ne voulons plus nous laisser intimider, dénigrer, nous avons la force d’être ensemble et la volonté, partout, de faire reculer la peur de s’exprimer », expliquent les signataires de la tribune.
Des intellectuels qui en appellent également au président de la République. Ils attendent d’Emmanuel Macron « qu’il cesse d’encourager et reprendre les amalgames (notamment entre antisionisme et antisémitisme), qu’il rejette clairement la projet de donner une définition, de surcroît manipulée, de l’antisémitisme, qu’il donne des limites claires au débordement des approches communautaristes, et qu’il soit le garant de notre liberté d’expression et d’action citoyenne. »
Un avion israélien abattu, l’Etat hébreu accuse l’Iran.
Entre Israël et l’Iran, la tension est encore montée d’un cran samedi, lorsqu’un F16 de l’armée de l’Etat hébreu s’est écrasé au nord d’Israël. Suite à une intrusion dans l’espace aérien israélien par un drôle iranien — selon Israël —, un avion de combat s’est crashé, les deux pilotes s’étant éjectés auparavant, après avoir été visé par des missiles antiaériens.
Le drone a ensuite détruit un poste de contrôle et l’armée israélienne a alors lancé une opération de bombardement de douze sites en Syrie, dont « quatre cibles iraniennes », indique l’Etat-Major de l’Etat hébreu. L’Iran conteste les accusations israéliennes et les qualifie de « mensonge ridicule. »
Entre l’Iran et Israël, plus que jamais, le torchon brûle. L’aide iranienne à la Syrie de Bachar al-Assad et à la Russie déplaît fortement à l’Etat hébreu qui accuse régulièrement l’Iran de vouloir ouvrir un double front libano-syrien à sa frontière. Depuis le début du conflit syrien, Israël a conduit près de cent raids en Syrie pour viser les transports supposés d’armes du Hezbollah, les constructions d’usines de missiles ou encore de bases maritimes ou aériennes par l’Iran.
Une « violation de souveraineté » de la part d’Israël
Si la tension monte à ce point, c’est qu’Israël préfèrerait que le conflit syrien s’arrête à sa frontière. L’Etat hébreu a haussé le ton en multipliant les attaques — quelques jours plus tôt, l’armée détruisant un dépôt d’armes non loin de Damas. Mais pour la première fois, Israël a décidé d’accuser l’Iran de « violation de souveraineté. »
Israël, par la voix d’un porte-parole de son armée, estime que l’Iran « entraîne toute la région dans une aventure à la finalité profondément sombre. » De leur côté, les alliés présents en Syrie promettent une riposte « sérieuse et sévère » et parlent de « terrorisme » israélien.
La Russie tente bien de calmer le jeu, mais rien n’y fait : Netanyahu craignait une « libanisation » de la Syrie. Les tirs répétés de l’armée israélienne semblent désormais plonger Israël et l’Iran dans un conflit de plus en plus ouvert.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Toujours sur le FIPA et l’ambassadrice d’Israël.
L’ ambassadrice d’Israël répondait le 24 janvier dernier à la place du FIPA* à tous ceux qui l’interpellaient sur son « Focus Israël » que « le Boycott est interdit en France ».
Rappelons que ce curieux focus mettait à l’honneur l’armée israélienne, et un délinquant accusé de violences ayant entrainé la mort et sous mandat d’arrêt français.
Cette même ambassadrice reçoit aujourd’hui l’ordre de boycotter le festival israélien du film à Paris par le ministère de la culture:
En effet le très démocratique ministère de la culture de ce très démocratique État, ne supporte pas la sélection du film FOXTROT qui évoque les exactions de l’armée israélienne dans la pure tradition israélienne du « on tire on pleure « .
Cette expression israélienne désigne les nombreuses productions dont l’objet est de victimiser l’oppresseur en montrant le drame intérieur des tireurs israéliens si malheureux d’être obligés de mener cette guerre de survie.. « on tire, on pleure! »
La vraie question n’est donc pas la légalité du boycott mais qui boycotte. Boycotter l’apartheid et l’occupation: interdit selon Israël, boycotter tous les opposants du régime israélien, permis!

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Israël: 60% des enfants détenus dans les prisons israéliennes subissent des tortures
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Le Club du prisonnier palestinien (non gouvernemental) a déclaré que 60% des mineurs palestiniens détenus dans les prisons israéliennes ont été soumis à des tortures physiques et psychologiques.
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Poutine dit s’être entretenu avec Trump du conflit israélo-palestinien
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L’ancien chef du Shin Bet appelle l’occupation à gérer la crise de Gaza
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Israël discute du projet de loi d’annexion en Cisjordanie avec les USA
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L’occupation arrête un palestinien de Silwan à Jérusalem
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Israël veut isoler Cheikh Raed Salah 6 mois supplémentaires
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Euro-Med: La fermeture de Rafah aggrave la crise humanitaire de Gaza
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L’occupation arrête un jeune inconnu au poste de contrôle de Hawara
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Des colons écrivent des slogans racistes sur les murs de Jérusalem
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Gaza : Israël intensifie ses attaques dans la zone tempon
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Les forces israéliennes commencent à démolir les installations de Wadi Qana
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Les colons endommagent les cultures palestiniennes dans la vallée du Jourdain
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Saidam met en garde contre les restrictions israéliennes contre les universitaires étrangers
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Décision de libérer le prisonnier Mabrouk Jarrar
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Un détenu palestinien en grève de la faim dans un état critique
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14 détenus en Cisjordanie lors des raids nocturnes
12/Février/20

Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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