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Mehdi Bel Adef, le bachelier de l’excellence, 20 sur 20 de moyenne générale au bac 2016.

Mehdi Bel Adef, le bachelier de l’excellence, 20 sur 20 de moyenne générale au bac 2016.
Elève particulièrement doué, doté de capacités au-dessus de la moyenne et d’une humilité confondante, le jeune havrais, Mehdi Bel Adef, est encore tout étonné d’avoir décroché la palme de l’excellence au baccalauréat S, obtenant la moyenne générale renversante de 20/20, à deux doigts de pulvériser un plafond qui semble inatteignable, même en rêve, pour beaucoup.
« Je n’y croyais pas, je n’en revenais pas », a confié à chaud sur France 3 le lycéen abonné aux meilleures notes, qui fait la fierté de sa famille et de ses professeurs, intarissables d’éloges à son sujet. Autour de lui, cette réussite touchant à la perfection ne surprend personne, tant ses aptitudes exceptionnelles en ont toujours fait le premier de la classe, loin devant les autres, Mehdi Bel Adef étant par ailleurs armé d’un mental de champion, comme le prouve de manière éclatante sa ceinture noire de judo.
« On se focalise sur quelque chose et on n’abandonne pas, c’est la combativité ! », s’exclame celui qui impressionne son monde, à l’école comme sur les tatamis, alliant maturité et pugnacité de manière remarquable.
Promis à un grand avenir, le bachelier auréolé de gloire a aujourd’hui les honneurs de sa ville et de la presse locale, et fera à n’en pas douter un brillant étudiant en médecine, au sein de la faculté du Havre dont il franchira le seuil à la rentrée prochaine.
Habitué à avoir de l’avance, tant sur le plan intellectuel que de l’âge, le jeune Mehdi Bel Adef ne pouvait qu’anticiper sa présence dans les amphithéâtres, et c’est tout naturellement, et avec une aisance déconcertante, qu’il dévore des ouvrages sur l’anatomie depuis quelques mois déjà.

SOURCE : 9 juillet 2016 : https://oumma.com/mehdi-bel-adef-le-bachelier-de-lexcellence-2020-de-moyenne-generale/

Israa, Alaa et Doha, des triplées Palestiniennes, excellent au baccalauréat 2016

Israa, Alaa et Doha, des triplées Palestiniennes, excellent au baccalauréat 2016.
C’est une merveilleuse histoire de réussite scolaire qui récompense triplement, et au-delà de ses espérances, une famille palestinienne de condition modeste vivant à Tulkanem, sous le joug israélien, en couronnant de succès la quête de l’excellence de ses trois filles exemplaires, qui ont brillé au baccalauréat.
Inséparables et plaçant la barre du savoir très haut, les triplées Israa, Alaa et Doha s’étaient juré de décrocher la meilleure mention, celle atteignant « l’excellence », encouragées en cela par leurs parents, et c’est un triplé exceptionnel qu’elles ont réalisé pour la plus grande fierté de leurs proches et de l’ensemble de la population locale, aux yeux desquels elles incarnent désormais la promesse d’un avenir éblouissant, envers et contre tout.
Etudier en Palestine occupée constitue un défi de taille quotidien qu’elles ont relevé avec brio, à force de courage et de persévérance, toutes trois méritant amplement les lauriers qu’on leur tresse aujourd’hui : Israa, classée première de sa promotion, a décroché son diplôme dans la filière industrielle en tutoyant la perfection, à l’aune de sa note extraordinaire de 96.8%, tandis que ses deux autres sœurs, Alaa et Doha, ont rivalisé de talent dans la filière scientifique, obtenant les très hautes notes de 95.1% et 94.8%.
Elles ont désormais l’embarras du choix en matière d’études. Si la première est depuis toujours attirée irrésistiblement par la profession d’ingénieur, la deuxième, quant à elle, ambitionne de devenir chirurgien-dentiste, seule la troisième hésite encore, tiraillée par un dilemme que lui envieraient beaucoup : choisir sa voie parmi les nombreuses opportunités, toutes plus exaltantes les unes que les autres, qui s’offrent à elle.
« Nous devons notre réussite surtout à notre entraide », ont déclaré en chœur les trois sœurs qui ne font qu’un, pendant que leur père, leur plus fervent soutien, irradiait de bonheur, indiquant, lors d’un entretien à l’agence de presse turque Anadolu, que leur objectif crucial est d’intégrer une université en Turquie.
L’heureux père de trois bachelières méritantes
« Depuis toujours, on sait que le meilleur pays est la Turquie pour les études. J’ai toujours su que le mieux pour moi serait là-bas, et mes soeurs aussi », a expliqué l’une de ces trois jeunes filles palestiniennes qui conjuguent, confiantes et soudées, leur futur académique au pluriel, en dépit de la tristesse qui les envahit à la perspective de devoir quitter leur foyer et leur terre. Heureusement, la voie royale qui s’ouvre devant elles de l’autre côté du Bosphore parvient à atténuer ce serrement au coeur qui les étreint déjà et les étreindra longtemps, immanquablement.