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Flash info du 8 Shawwal 1438.

Flash info du 8 Shawwal 1438.
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Le mensonge : ses méfaits et ses remèdes.
Le mensonge, péché dont nous devons tous nous préserver, fait malheureusement partie du quotidien de nombreux musulmans. Certains ne considèrent pas la gravité de cet acte, d’autres en sont conscients mais jouent la carte de l’ignorance. Mais savons-nous réellement ce qu’est le mensonge et ce qu’il entraîne comme châtiment ? Comment bannir le mensonge afin de purifier notre cœur et protéger notre âme ? Nous apporterons des éléments de réponses à ces interrogations, par le biais de l’ouvrage « Le mensonge, aspects et remèdes » écrit par Cheikh Mohamed ibn Ibrahim al Hamad.
Qu’est ce que le mensonge ?.
« Le mensonge est un antonyme de la vérité » a affirmé Ibn Manzhur, un des grands savants de la langue arabe. Le mensonge est définit par le fait de « fournir une information différente de la réalité au sujet d’un fait ». Fournir une information ne se résume pas seulement aux paroles prononcées mais comprend également les gestes de la main, de la tête ou encore le silence. Ainsi le mensonge n’est pas uniquement verbal mais peut être gestuel ou silencieux.
« Le mensonge mène à la perversion ».
Le mensonge est un acte que l’on doit bannir car « il fait partie des signes distinctifs des hypocrites, et des branches de la mécréance ». Le mensonge n’est permis que dans trois cas d’après un hadith rapporté par Muslim. Ainsi, il est autorisé en temps de guerre, pour réconcilier les gens et dans les paroles entre un homme et sa femme (couvrir les défauts, se complimenter) afin de maintenir une bonne relation de couple. En dehors de ces trois cas, le mensonge doit être délaissé car il n’apporte que doutes et malheurs tout en éloignant de la sérénité et de la piété.
C’est en ce sens que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Prenez garde au mensonge, car le mensonge mène à la perversion, et la perversion mène au feu. Et l’homme ne cesse de mentir jusqu’à être inscrit comme menteur auprès d’Allah » (Al Boukhari et Muslim). Ainsi, le mensonge est une des voies qui mène à l’enfer. Éloignons-nous du feu éternel en bannissant le mensonge incha Allah !
Le mensonge est un mal en soi, pour chaque serviteur et pour ses frères. Comme l’a souligné Al Mawardi : « Le mensonge englobe tous les maux et il est la source de toute chose blâmable, en raison des mauvaises conséquences et des suites néfastes qui en découlent. En effet, celui-ci engendre la calomnie, la calomnie entraîne la haine, et la haine mène à l’animosité. Et lorsque l’animosité apparaît, il n’y a ni paix ni répit. C’est pour cela qu’il a été dit : « Quiconque ne manifeste que peu d’honnêteté n’a que peu d’amis » ». Au delà d’entraîner des conséquences néfastes pour celui qui ment, le mensonge engendre des maux au sein de la relation entre les musulmans car la suspicion et le doute s’installent progressivement… Une relation dénuée de confiance n’a d’autre destination que l’échec.
Différents mensonges mais un même châtiment.
Il existe différentes catégories de mensonges. Cheikh Al Hamad en dénombre vingt-deux. Parmi elles, nous pouvons citer le mensonge pour semer la discorde entre les gens, le mensonge pour faire rire les autres et faire l’intéressant, le mensonge pour se vanter et montrer qu’on est le meilleur, le mensonge par jalousie et le mensonge lors d’un achat ou d’une vente. Tous ces types de mensonges entraînent la colère d’Allah et l’éloignement du noble comportement.
Cela dit, le mensonge le plus dur en châtiment est celui proféré à l’encontre d’Allah et de Son Messager (‘alayhi salat wa salam). En effet, ce mensonge est le plus détestable car il consiste à émettre un jugement, une parole ou un avis au sujet de la religion d’Allah et de Son Envoyé (‘alayhi salat wa salam). La pire des conséquences est l’égarement des musulmans par le biais de ces fatwas mensongères. Allah a dit à propos de ces menteurs : {Et ne dites pas, conformément aux mensonges proférés par vos langues : « Ceci est licite, cela est illicite », forgeant ainsi un mensonge contre Allah. Certes, ceux qui forgent le mensonge contre Allah ne réussiront pas.} (Sourate 16 : Verset 116). De même, ceux qui mentent au sujet du Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) seront menés en enfer, qu’Allah nous en préserve. C’est ainsi que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Quiconque ment intentionnellement à mon sujet, qu’il prépare sa place en enfer » (Al Boukhari et Muslim). Le mensonge par ignorance n’entraîne pas le châtiment mais le mensonge intentionnel mène vers la pire des destinations ! Cela devrait nous suffire afin de bannir le mensonge à tout jamais incha Allah.
L’abandon du mensonge : un pas vers la sincérité.
Le fait d’abandonner le mensonge nous permet de compter parmi les sincères incha Allah. La sincérité s’oppose au mensonge car c’est le fait d’être « conforme à la réalité des faits, sans ajouter ni retrancher quoi que ce soit ». Nous devons nous parer de cette noble qualité, d’autant plus qu’Allah nous a ordonné d’être avec les véridiques. En effet, Il a dit : {Ô vous qui croyez ! Craignez Allah et soyez avec les véridiques} (Sourate 9 : Verset 119). Cet ordre émane donc de notre Créateur mais également de Son Envoyé (‘alayhi salat wa salam) qui a dit : « Je vous commande d’être sincère, car la sincérité mène à la piété, et la piété mène au paradis. Et l’homme ne cesse d’être sincère jusqu’à être inscrit auprès d’Allah en tant que tel ». (Al Boukhari et Muslim). Le fait d’être sincère est un devoir que nous devons tous accomplir et une qualité dont nous devons nous saisir car cela est meilleur pour nous.
La sincérité peut paraître difficile car Shaytan embellit le péché et nous dissuade d’être bons. Cela dit, certains facteurs peuvent nous aider à être sincère incha Allah. Parmi eux, nous pouvons évoquer le fait de demander l’aide d’Allah, d’avoir le sentiment qu’Allah nous surveille en tout temps et tout lieu, de penser aux conséquences néfastes du mensonges, de fréquenter des personnes sincères et véridiques, d’éduquer les enfants à être honnêtes en leur donnant le bon exemple, de prendre l’habitude de dire la vérité et d’en faire une routine et enfin, de lire régulièrement le Saint Coran tout en méditant sur ses versets et en cherchant à comprendre ses sens.
Il ne fait aucun doute que la sincérité est bien meilleure pour nous car Allah et Son Messager (‘alayhi salat wa salam) nous l’ont ordonné. De même, la sincérité apporte une certaine sérénité, une tranquillité d’esprit, une vie agréable, une grandeur d’esprit et une confiance que nos frères auront placée en nous.
Ainsi, bannissons le mensonge qui est un acte vil, un défaut détestable et un péché qui nous mènera en enfer. Préférons à cela la sincérité qui éloignera les maux et apportera le bien être et la tranquillité vis à vis d’Allah, de nos frères et de nous-mêmes incha Allah. Nous avons tous menti plus d’une fois dans notre vie et nous avons tous des frères qui en ont fait autant donc abandonnons le mensonge dès à présent et encourageons nos proches à atteindre la sincérité. Quant à ceux qui ne s’avouent pas avoir menti, rappelons qu’un homme a dit à l’imam Abu Hanifa : « Je n’ai jamais menti une seule fois ». Il répondit : « Ceci en est déjà un ».
Qu’Allah nous permette d’abandonner le mensonge et de compter parmi les véridiques. Qu’Il nous accorde Son Pardon et nous éloigne des tentations diaboliques.
AJIB.FR
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La mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) : son linceul et son enterrement.
Dans notre série de rappels concernant la mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam), nous avons précédemment évoqué le pressentiment de sa fin proche. Nous avons également exposé le début de sa maladie et ses soins, sa douleur et ses derniers propos ainsi que ses paroles lorsque son regard se fixa. Aujourd’hui, nous poursuivons ce rappel en nous intéressons au jour de sa mort (‘alayhi salat wa salam), à son linceul, à la salat janaza faite sur lui ainsi qu’à sa tombe.
Il mourut un lundi.
Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) décédé des suites de sa maladie. Il était en effet touché par de fortes douleurs pendant plusieurs jours. Il était soigné chez son épouse ‘Aisha (qu’Allah l’agrée). Après avoir enduré les affres de la mort, il s’éteignit (‘alayhi salat wa salam). C’est ainsi qu’Anas (qu’Allah l’agrée) raconte : « La dernière fois que j’ai vu le Messager d’Allah, il tira le rideau alors que les gens étaient en rangs, derrière Abu Bakr. Ce dernier voulu reculer, mais il leur fit signe de rester en place et il relâcha le voile. Il mourut à la fin de ce jour, qui était un lundi ». (Ahmed et Tirmidhy).
Lorsque l’Envoyé d’Allah (‘alayhi salat wa salam) rendit l’âme, ses épouses et ses compagnons, ainsi que l’ensemble de la communauté, furent touchés et fortement attristés. Son compagnon le plus fidèle, Abu Bakr As Siddiq (qu’Allah l’agrée) fut celui qui l’embrassa alors qu’il venait de mourir. C’est ainsi que sa fille, ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) raconte : « Abu Bakr (qu’Allah l’agrée) embrassa le Prophète (‘alayhi salat wa salam) entre les deux yeux lorsqu’il mourut » (An Nasa’i et Ibn Majah).
Le compagnon Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée) raconte également que ce fut Abu Bakr (qu’Allah l’agrée) qui embrassa le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée) et ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapportent ainsi : « Abu Bakr embrassa le Prophète (‘alayhi salat wa salam) lorsqu’il mourut » (Al Boukhari).
Nous savons donc, chers frères et soeurs que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) mourut un lundi, après avoir observé sa communauté en train de prier. Lorsqu’il rendit l’âme, son plus fidèle ami et son successeur au califat l’embrassa entre les deux yeux. Rappelons qu’Abu Bakr (qu’Allah l’agrée) fut extrêmement touché par la perte du Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam). Sa mort entraîna d’ailleurs une grande tristesse dans le cœur de tous les musulmans.
Il fut enveloppé dans son linceul.
Lorsqu’il mourut, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut enveloppé dans un linceul comme tout musulman. Mais comment était son linceul ? La mère des croyants (qu’Allah l’agrée) a dit : « Le Messager d’Allah fut enveloppé, quand il mourut, dans un vêtement appelé hibara » (Al Boukhari et Muslim). L’imam An Nawawi (qu’Allah lui fasse miséricorde) explique qu’il s’agit d’un vêtement d’origine yéménite.
Savez-vous quel âge avait le Prophète (‘alayhi salat wa salam) lorsqu’il rendit l’âme ? Son épouse ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) nous a informés de cela dans sa parole : « Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) décéda alors qu’il avait soixante-trois ans » (Al Boukhari et Muslim).
Concernant le linceul du Prophète (‘alayhi salat wa salam), la mère des croyants (qu’Allah l’agrée) raconte également : « Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) fut enveloppé dans un linceul constitué de trois vêtements blancs yéménites en coton, sans qamis ni turban ». Elle souligne aussi : « Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) fut enveloppé dans un vêtement hibara, puis on le lui ôta » (Ahmed et Abu Dawud). Le Prophète (‘alayhi salat wa salam), décéda alors qu’il avait soixante-trois ans et fut enveloppé dans un linceul d’origine yéménite.
La prière sur lui, le creusement et le lieu de sa tombe.
Lorsque le Prophète (‘alayhi salat wa salam) mourut, on demanda à Abu Bakr (qu’Allah l’agrée) : « Ô compagnon du Messager d’Allah, devons-nous prier sur le Prophète ? » Il répondit : « Oui ». Ils s’informèrent : « Comment devons-nous prier sur lui ? » Il répondit : « Que certains entrent et qu’ils fassent le takbir et des invocations, puis qu’ils sortent, et que d’autres leur succèdent » (Ibn Majah). C’est ainsi qu’a eu lieu, chers frères et soeurs la prière sur le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam).
Savez-vous, chers frères et soeurs, comment fut creusé la tombe du Prophète (‘alayhi salat wa salam) ? ‘Amir ibn Sa’d nous informe de cela. C’est ainsi qu’il relate que Sa’d a dit : « Que l’on pratique pour moi le lahd et que l’on pose ensuite des briques comme on l’a fait pour le Messager d’Allah » (Muslim).
Le lieu de sa tombe est bien connu mais la décision de l’enterrer à cet endroit a été prise par Abu Bakr (qu’Allah l’agrée), conformément à la volonté divine. Salim ibn ‘Ubayd raconte l’instant où fut prise la décision de l’enterrer à cet endroit : « Quand le Prophète mourut, ils commandèrent : « Ô Salim ! Rends-toi chez les compagnons du Prophète et appelle-le ». Je sortis alors et trouvais Abu Bakr debout, dans la mosquée. Il posa alors sa main sur mon avant-bras, puis il se mit en marche jusqu’à ce qu’il entra. On lui fit place pour qu’il aille auprès du Prophète. Il se pencha sur lui et constata qu’il était mort. Abu Bakr déclara alors : {En vérité, tu mourras et ils mourront eux aussi} (Sourate Zummar : Verset 30). Ils s’enquirent : « Ô compagnon du Prophète, le Prophète doit-il être enterré ? ». Il répondit : « A l’endroit où Allah a pris son âme, car elle ne l’a été que dans un endroit pur ». Ils surent alors qu’il devait en être ainsi ». Le Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut donc enterré à l’endroit où il mourut, dans la chambre de son épouse ‘Aïsha (qu’Allah l’agrée).
Concernant l’enterrement du Prophète (‘alayhi salat wa salam), Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée) a dit : « On posa un vêtement rouge sous le Messager d’Allah, lorsqu’il fut enterré » (Muslim).
Que la prière et le salut d’Allah soient sur Son Prophète et Messager. Qu’Il nous accorde une belle fin et nous rapproche de Lui et Son Envoyé.
AJIB.FR
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Lettre à ma sœur, à mon frère : apaise les conflits conjugaux.
Ma chère sœur, mon cher frère,
Je t’écris aujourd’hui pour évoquer un aspect de ta vie de couple. La vie à deux n’est pas sans embûche wal hamdouliLlah. Il nous faut donc être patients face aux conflits conjugaux et tendre ensemble vers la réconciliation. Laisse moi, te conseiller en ce sens, à la lumière du Saint Coran et de la Sunna.
Sache, ma chère sœur, mon cher frère, que le mariage est une institution des plus nobles en Islam. Elle représente la moitié de la foi pour celui qui fait preuve de patience et qui considère le mariage à sa juste valeur. Le mariage est un bienfait pour le musulman. Notre Seigneur n’a-t-il pas révélé : {Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous des épouses afin que vous éprouviez le repos auprès d’elles et Il a mis entre vous amour et miséricorde} (Sourate 30 : Verset 21) ? Ce verset prouve à lui seul le bienfait que représente le mariage pour notre communauté. Ainsi, lors de conflits conjugaux, souviens toi de l’importance du mariage. Combien de nos frères et soeurs vivent dans le célibat et sont éprouvés par cette situation ? Regarde le bienfait par lequel ton Seigneur t’a comblé(e), ma chère sœur, mon cher frère et considère le dans toute sa grandeur. Ainsi, pourras-tu prendre du recul lors de conflits conjugaux et réaliser que ton Seigneur t’a comblé(e). Proclame donc Sa grandeur et prosterne toi pour Le remercier comme le faisait notre prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam).
Oukhty, akhy, les conflits conjugaux constituent un phénomène tout à fait normal puisque tous les couples sont touchés par les tensions. Mais garde à l’esprit que tout conflit provient de Shaytane le lapidé, qu’Allah nous en préserve. C’est lui qui insuffle le mal dans l’oreille du croyant et qui le pousse ainsi à virer dans la désobéissance et la colère. Jabir (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Iblis pose son trône sur l’eau puis envoie ses troupes. Les plus rapprochés de lui sont ceux qui causent le plus grand trouble. L’un d’eux vient le trouver et dit : « J’ai fait ceci et cela » mais il lui répond : « Tu n’as rien fait ». Puis l’un d’eux vient le trouver et dit : « Je ne l’ai délaissé jusqu’à l’avoir séparé de son épouse ». Alors, il le rapproche de lui et dit : « Toi tu es bien » et il le serre contre lui ». (Muslim). Nous savons donc, ma sœur, mon frère, que la séparation d’un homme et sa femme provient de Shaytane et ses associés. Mais avant la séparation, le couple traverse des conflits qui eux aussi, sont causés par les ruses de Shaytane. C’est ainsi qu’il te faut, ma chère sœur, mon cher frère, garder en tête que tout conflit provient de lui. En cas de conflit conjugal, il te faut donc demander refuge auprès d’Allah et te montrer sincère dans tes invocations : invoque Allah pour qu’Il préserve ton couple, qu’Il l’éloigne de la turpitude et des tensions et que Shaytane ne puisse pas s’immiscer dans ton union. Sois convaincu(e) qu’Allah écoute tes invocations et qu’Il les exaucera car Il ne se détourne pas du cœur d’un serviteur pieux et sincère.
Ma chère sœur, mon cher frère, lorsque survient un conflit dans ton couple, médite sur ton comportement et remets-toi en question car personne n’est sujet à la perfection. Les torts sont souvent partagés : bien que l’un ait eu tort en premier, l’autre ne doit pas le suivre dans cette tension et doit le rappeler vers Allah. Nous devons adopter un bon comportement et faire preuve de patience, quand bien même notre conjoint se laisse emporté par ses émotions. Cheikh Muqbil (qu’Allah lui fasse miséricorde) a conseillé aux couples musulmans : « Ce que nous recommandons aux époux c’est de s’entraider dans le bien et la piété et je leur conseille également d’adopter un bon comportement des deux côtés, le Shaytane cherche à séparer la femme de son mari. L’homme doit bien se conduire avec sa femme comme vous avez pu l’entendre dans les Hadiths « Comportez-vous bien avec les femmes » […] La femme également doit craindre Allah à travers son mari ». Ainsi, chacun des deux membres du couple a des droits sur l’autre mais également des devoirs envers lui. Tu te dois donc, ma sœur, mon frère, de mettre en pratique tes droits et devoirs tout en respectant ceux de ta moitié. Ton couple n’en sera que plus apaisé inchaAllah.
Enfin, n’oublie pas, oukhty, akhy, que tous les couples sont touchés par les tensions mais qu’il faut accueillir cela comme une épreuve à surmonter et un moyen de te rapprocher, avec ta moitié, du Tout Puissant. Le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) rencontrait également des tensions avec ses épouses (qu’Allah les agrée) mais il faisait en sorte de les apaiser. Il prenait sur lui, rassurait ses épouses, les taquinait et les faisait sourire lorsque celles-ci ressentaient de la colère contre lui. ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapporte en ce sens que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) lui a dit : « Ô Aisha, je sais quand tu es en colère contre moi et quand tu es contente. – Comment sais-tu cela ? Demanda-t-elle. – Lorsque tu es contente, dit-il, tu jures en disant : « Certes non, par le Seigneur de Mohamed ! » mais lorsque tu es en colère tu dis : « Certes non, par le Seigneur d’Ibrahim ». Elle dit : « C’est vrai, mais par Allah, je n’abandonne que ton nom ».(Al Boukhari et Muslim). Malgré les conflits, les tensions et les désaccords qui peuvent subsister au sein du couple, l’union de deux êtres est un bienfait émanant de notre Seigneur. Il te faut donc considérer ce bienfait dans toute sa splendeur, ma chère sœur, mon cher frère, t’éloigner autant que possible des insufflations et demander protection à Allah. Et lorsque le conflit survient, prends du recul, remets-toi en question, dialogue avec ton conjoint et rapprochez-vous ensemble de Celui qui vous a unis dans le bien.
J’espère que ces quelques paroles sur les conflits conjugaux et le comportement face aux tensions, te permettront de prendre du recul au quotidien et de faire preuve de patience dans ta vie de couple.
Qu’Allah éloigne nos couples de la turpitude, des conflits et des tentations. Qu’Il préserve et augmente l’amour entre conjoints et apaise les tensions.
AJIB.FR
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Angleterre : Attaqués à l’acide, un musulman et sa cousine veulent savoir pourquoi leur agresseur n’est pas qualifié de terroriste.
Jameel Muhktar et sa cousine Resham Khan ont été attaqués à l’acide à Londres. Jameel, âgé de 37 ans, et Resham, 21 ans, ont été aspergés d’acide au visage, alors qu’ils étaient à bord de leur voiture.
Les deux musulmans étaient arrêtés à un feu rouge, mercredi 21 juin 2017, lorsqu’un homme a frappé à la vitre du véhicule puis les a aspergés d’acide sulfurique.
Jameel Muhktar pensait au départ qu’il s’agissait d’une mauvaise blague avant d’entendre sa cousine gémir de douleur.
« Il a juste jeté ce liquide clair sur nous, ce qui m’a semblé être de l’eau jusqu’à ce que ma cousine commence à crier », a-t-il ajouté.
L’agresseur est revenu une nouvelle fois à la charge pour s’en prendre à Jameel. Les deux victimes ont tenté de se sauver mais ils ont fini par faire un accident, tellement la douleur était horrible. Les deux cousins sont alors sortis de la voiture pour appeler au secours puis ils ont été conduits à l’hôpital. La jeune femme a été aveuglé temporairement, elle souffre actuellement de sévères brûlures à son visage, ses bras et ses jambes. Quant à son cousin, il a été mis dans un coma artificiel à son arrivée à l’hôpital.
Nous avons été visés parce que nous sommes musulmans.
« C’est un vrai crime de haine. Nous avons été visés parce que nous sommes musulmans, cette attaque est due à l’islamophobie », a déclaré Jameel Muhktar dans un entretien diffusé par la chaîne Channel 4 News.
La police britannique a indiqué que l’auteur de l’attaque est un dénommé John Tomlin, âgé de 24 ans.
Selon The Independent, plusieurs messages postés et partagés sur les réseaux sociaux par John Tomlin indiquent sa proximité avec l’extrême-droite anglaise.
journaldumusulman.fr
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France : Institut Niçois En-Nour : la complicité de deux imams avec Estrosi dénoncée.
Dans un long texte publié sur son site, l’Institut Niçois En-Nour à nouveau menacé de fermeture dénonce la complicité de deux imams niçois avec le maire Christian Estrosi depuis le début de ce bras de fer. En-Nour explique qu’il a « passé ces trahisons sous silence jusqu’à présent pour ne pas alimenter les divisions et la fitna », et d’inviter « tous les membres de la communauté musulmane niçoise à leur demander des comptes ». Malheureusement, certains « responsables » musulmans préfèrent collaborer avec les fachos islamophobes que de soutenir leurs cor-religionnaires. Total soutien aux fidèles et responsables de l’Institut En-nour ! Il est temps d’éjecter ces collabos hors de leurs postes.
Voici le texte complet..
Lors du conseil municipal du vendredi 23 juin 2017, le maire de Nice Christian Estrosi à nouveau signifie que ses décisions relatives aux questions du culte se faisaient en accord avec l’imam Bekri et l’imam Aissaoui. En déclarant notamment que parce ce que ce sont les représentants de « 90% des musulmans ».
Nous ne pouvons plus accepter que ces deux représentants acceptent de se faire instrumentaliser pour détruire notre mosquée, votre mosquée, la mosquée de tous les musulmans. Les musulmans de Nice ont le droit de savoir ce qui se passe dans leur dos.
Car déjà il y a un an, lors de la procédure qui nous a opposé au maire de Nice, Monsieur Estrosi pour dire que notre mosquée devait fermer, à donné aux juges du Tribunal Administratif et du Conseil d’État, deux attestations qui ont faillis empêcher la mosquée d’ouvrir.
L’Association des Musulmans de Nice Ouest (dépendant de l’UMAM) et la mosquée As-Salam des Moulins (dépendant du CRCM) ont données Mr Estrosi des attestations qui disaient qu’il n’y avait aucun besoin d’ouvrir une nouvelle mosquée, puisque dans les deux mosquées, il y avait largement la place.
Commençons par l’AMNO qui affirme « disposer d’une salle de prière de 1000m2 qui n’est pleine qu’à 50% » et sous-entend donc que les fidèles d’En-nour pourraient être accueillis là-bas.
1000 m² ? C’est faux. Cette salle de prière qui n’est qu’un préfabriqué ne fait que 350 m². Pleine à 50% ? C’est faux aussi.
Mais peu importe, à partir du moment où ils font plaisir à Mr Estrosi, certains oublient que la vérité est essentielle.
Vient ensuite les mensonges de la mosquée As-Salam, qui écrit pouvoir recevoir « l’ensemble des fidèles des quartiers ouest de Nice ». Nous aimerions savoir comment ils pourraient tous entrer dans une salle de 60m2 aux pieds d’une tour du quartier des Moulins. Actuellement nous sommes déjà plus de 800 tous les vendredis à En-nour.
Il est inacceptable que des responsables religieux fournissent des attestations mensongères pour empêcher une mosquée d’ouvrir, à un maire qui n’a cessé de multiplier les procédures pour faire fermer la mosquée En-nour et la mosquée Imen de la rue Pegurier. Lors d’un tract électoral, le maire de Nice se félicitait d’avoir fait fermer 15 salles de prières sur Nice.
Nous avions passé ces trahisons sous silence jusqu’à présent pour ne pas alimenter les divisions et la fitna. Mais là c’est trop, nous avons appris que des collectes ont commencées. Le CRCM et l’UMAM souhaitent financer le projet de mosquée à Nice Ouest sur le terrain que Mr Estrosi a promis de leur louer s’il parvient à faire fermer l’Institut En-Nour et détruire sa mosquée.
Il semble très clair maintenant que ces deux organisations se sont donc entendues avec le maire de Nice pour faire croire qu’ils vont construire une nouvelle mosquée à Nice Ouest sur le dos de l’institut En-Nour, qu’ils tentent à tout prix et depuis des années de détruire. La promesse d’Estrosi d’une nouvelle mosquée à l’Oued, ne se fera jamais. Il faut qu’ils trouvent 10 000 000 €. L’UMAM n’arrive déjà pas à trouver 50 000 € pour arranger leur mosquée de la Madeleine et veulent trouver 10 000 000 € pour l’an prochain !
La mosquée En-nour fermée, jamais de nouvelle mosquée à Nice, ce qui, par conséquent, obligerait les musulmans Niçois à revenir prier dans des caves tant qu’Estrosi restera maire de Nice.
Trop c’est trop. En tant que musulmans niçois, chacun d’entre vous a le droit de savoir que ceux qui se prétendent représentants de la communauté musulmane des Alpes-Maritimes ne font que baisser la tête, trahir et provoquer la fitna.
Comment peut-on accepter que ceux qui prétendent représenter l’Islam sur Nice et le département tels que Mr Othmane Aïssaoui et Mr Boubekeur Bekri, ce qui est encore plus grave pour Mr Bekri car il a une reconnaissance officielle en tant que CRCM, comment ces deux personnages peuvent ils par leur participation appuyer Mr Estrosi dans son bon vouloir d’expulsion et de destruction de l’Institut En-Nour ?
Nous invitons tous les membres de la communauté musulmane niçoise à leur demander des comptes…
En-nour est votre mosquée, ne vous laissez pas expulser. Alors même que l’ancien préfet à permis l’ouverture. Alors même que le tribunal administratif de Nice à ordonné l’ouverture.
Alors même que le Conseil d’État à ordonné l’ouverture. Estrosi oublie que nous sommes en France et qu’en France il y à des droits et que nous n’avons pas peur de nous battre pour la justice et le droit.
desdomesetdesminarets.fr
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
L’occupation veut adopter une loi pour accélérer le rythme de la colonisation
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Le Comité ministériel israélien des affaires législatives prévoit de discuter d’un nouveau projet de loi demandant au gouvernement d’accélérer le rythme de la construction de colonies sur le territoire de Jérusalem et de la Cisjordanie occupée.
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L’occupation empêche 69 palestiniens de voyager
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Peine de prison réimposée à un Palestinien libéré en 2011
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Les prisonniers du Hamas interdits de visites familiales
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L’occupation confisque 47 dunums pour l’expansion de l’Université d’Ariel
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Danon condamne le « Forum des Nations Unies sur les 50 ans d’occupation »
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Des dizaines de fidèles accomplissent la prière du vendredi à al-Aqsa
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L’occupation arrête un Palestinien aux frontières de Gaza
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En réponse à la démolition: un monument commémoratif pour le martyr Nazzal à Ramallah
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Arrestation du fils de cheikh Abou Hija lors d’une perquisition de son domicile à Jénine
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L’Occupation envahit des terres au nord de Jénine
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Abou Marzouk: « L’accord du siècle » ne passera pas
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L’occupation arrête un palestinien au sud de Jénine
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Un Palestinien blessé lors de la répression des marches hebdomadaire de Kafr Qadoum.
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Mort d’un malade à Gaza après le retard de son transfert
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Mladinov visite Haniyeh dans la bande de Gaza
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info du 8 Cha’ban 1438.

Flash info du 8 Cha’ban 1438.
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La mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) : quand son regard se fixa…
Durant les semaines précédentes, nous nous sommes intéressés à la mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam). C’est ainsi que nous avons évoqué le pressentiment de sa fin proche, le début de sa maladie et ses soins, ainsi que sa douleur et ses derniers propos. Nous nous penchons aujourd’hui, mes frères et soeurs, sur les propos qu’il a tenus quand son regard se fixa ainsi que sur les dernières personnes à l’avoir vu (‘alayhi salat wa salam).
Quand son regard se fixa.
Lorsque la mort vint à lui, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) eut le regard qui s’est fixé. Il tint alors des propos que ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) a rapportés puisqu’elle était auprès de lui lorsqu’il a commencé à tomber malade jusqu’à ce que la mort l’emporte.
Elle relate ainsi : « Ce jour-là, le Messager d’Allah tomba malade et il coucha dans ma demeure. Un homme de la famille al Bakr entra chez moi avec en main un siwak vert. Le Messager d’Allah y posa son regar et je sus qu’il le voulait. Je demandai : « Ô Messager d’Allah ! Aimerais-tu que je te donne ce siwak ? ». Il répondit : « Oui ». Elle continue : « Alors, je le pris et l’assouplis, ensuite je le lui remis. Il l’utilisa comme je ne l’avais jamais vu le faire auparavant. Puis, il le posa et je trouvai le Messager d’Allah, affaibli, dans mon giron. Je voulus regarder son visage mais son regard restait figé, alors qu’il répétait : « Plutôt vers la compagnie la plus éminente, au Paradis ». Je dis alors : « Tu as eu le choix et tu as choisi, par Celui qui t’a envoyé avec la vérité ! ». Puis le Messager d’Allah mourut » (Al Boukhari). Lorsque son regard se figea, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) demandait à Allah de se retrouver avec la meilleure des compagnies qui puisse être au Paradis.
Il faut également savoir, chers frères et soeurs, que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam), contrairement au commun des humains, a eu le choix entre rester sur terre et retourner auprès de notre Créateur. C’est en ce sens que la mère des croyants raconte : « J’entendis que le Messager d’Allah ne pouvait pas mourir avant d’avoir eu le choix entre ce monde et l’au-delà. C’est alors qu’il fut pris par un enrouement durant la maladie qui causa sa mort. Je l’ai entendu dire : « Avec ceux que Tu as comblés de Tes bienfaits : les prophètes, les véridiques, les martyrs et les vertueux. Et quels bons compagnons que ceux-là ! » Je pensais alors qu’il avait reçu le choix. Le Prophète perdit connaissance dans mon giron. Je me suis mise à essuyer son visage et à invoquer pour qu’il guérisse. Il se réveilla et dit : « Je demande plutôt à Allah, de jouir de la compagnie la plus éminente et heureuse, celle de Jibril , de Mikail et d’Israfil« . (Ahmed). Il a ainsi fait le choix de retourner auprès d’Allah, tout en lui demandant la meilleure des compagnies qu’est celle des anges, il a d’ailleurs même cité leurs noms.
Quand la mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) approcha à grands pas, il le sentit et fit des invocations. ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapporte : « J’ai entendu le Messager d’Allah implorer au moment de sa mort : « Ô Allah, pardonne-moi, accorde moi Ta miséricorde et fais-moi rejoindre la compagnie la plus éminente »« (Al Boukhari et Muslim).
Lorsqu’il mourut, le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) était auprès de son épouse ‘Aisha (qu’Allah l’agrée). C’est ainsi que la mère des croyants (qu’Allah l’agrée) raconte : « Le Messager d’Allah mourut alors qu’il se trouvait entre mon ventre et mon menton. Jamais je ne serai autant touchée de voir les affres de la mort de quelqu’un, après avoir vu celles du Messager d’Allah« (Al Boukhari). La mort du Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut donc un instant extrêmement touchant et douloureux pour tous les musulmans.
Les dernières personnes à l’avoir vu.
Plusieurs personnes ont visité le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) avant sa mort, d’autant plus qu’il était malade. Ces compagnons l’ont ainsi vu comme Anas (qu’Allah l’agrée) qui rapporte : « La dernière fois que j’ai vu le Prophète c’était quand il tomba malade. Il ordonna à Abu Bakr de diriger les gens dans la prière. Tandis que nous accomplissions le dhohr, le Prophète souleva, de sa main, le rideau de l’appartement de ‘Aisha et contempla les gens. Je vis alors son visage. Il était telle une page du mushaf » (Al Boukhari et Muslim). Cette précision concernant le visage du Prophète (‘alayhi salat wa salam) signifie qu’il avait un visage resplendissant car la comparaison avec une page du Saint Coran suggère qu’il était lumineux. Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam), qui pourtant était souffrant, a ressenti ce besoin de voir sa communauté prier, comme il le lui a enseigné. Ce récit est touchant car il reflète la compassion que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) ressentait pour sa communauté et ce, jusqu’à son dernier souffle sobhanAllah.
D’après Oum Salama, le dernier a avoir vu le Prophète (‘alayhi salat wa salam) fut son compagnon, cousin et gendre ‘Ali ibn Abi Talib (qu’Allah l’agrée). Oum Salama (qu’Allah l’agrée) raconte ainsi : « Par Celui par lequel Oum Salama jure, le dernier à avoir vu le Messager d’Allah fut ‘Ali. Le matin de sa mort, le Messager d’Allah envoya quelqu’un le chercher. Je pense qu’il le fit mander pour un besoin particulier. Il se mit alors à questionner, à trois reprises : « ‘Ali est-il arrivé ? ». Celui-ci vint avant le lever du soleil. Quand il arriva, je sus qu’il avait besoin de lui. Alors, nous sortîmes de la maison. Ce jour-là, nous avions rendu visite au Messager d’Allah dans la demeure de ‘Aisha. Je fus la dernière à sortir de la maison. Ensuite, je pris place au plus près de la porte. ‘Ali se pencha vers lui et il fut le dernier à le voir. Il lui confia des propres secrets, il lui fit des confidences » (Ahmed).
Nous savons à présent quelles furent les paroles du Prophète (‘alayhi salat wa salam) lorsque son regard se fixa ainsi que les personnes qui l’ont vu avant qu’il ne meurt. Nous poursuivrons prochainement, mes frères et soeurs, ce rappel sur la mort du meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam).
Que la prière et le salut d’Allah soient sur notre Prophète bien aimé. Qu’Il fasse de lui notre compagnon le jour où nous serons ressuscités.
AJIB.FR
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Lettre à ma sœur, à mon frère : apaise les conflits conjugaux.
Ma chère sœur, mon cher frère,
Je t’écris aujourd’hui pour évoquer un aspect de ta vie de couple. La vie à deux n’est pas sans embûche wal hamdouliLlah. Il nous faut donc être patients face aux conflits conjugaux et tendre ensemble vers la réconciliation. Laisse moi, te conseiller en ce sens, à la lumière du Saint Coran et de la Sunna.
Sache, ma chère sœur, mon cher frère, que le mariage est une institution des plus nobles en Islam. Elle représente la moitié de la foi pour celui qui fait preuve de patience et qui considère le mariage à sa juste valeur. Le mariage est un bienfait pour le musulman. Notre Seigneur n’a-t-il pas révélé : {Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous des épouses afin que vous éprouviez le repos auprès d’elles et Il a mis entre vous amour et miséricorde} (Sourate 30 : Verset 21) ? Ce verset prouve à lui seul le bienfait que représente le mariage pour notre communauté. Ainsi, lors de conflits conjugaux, souviens toi de l’importance du mariage. Combien de nos frères et soeurs vivent dans le célibat et sont éprouvés par cette situation ? Regarde le bienfait par lequel ton Seigneur t’a comblé(e), ma chère sœur, mon cher frère et considère le dans toute sa grandeur. Ainsi, pourras-tu prendre du recul lors de conflits conjugaux et réaliser que ton Seigneur t’a comblé(e). Proclame donc Sa grandeur et prosterne toi pour Le remercier comme le faisait notre prophète bien aimé (‘alayhi salat wa salam).
Oukhty, akhy, les conflits conjugaux constituent un phénomène tout à fait normal puisque tous les couples sont touchés par les tensions. Mais garde à l’esprit que tout conflit provient de Shaytane le lapidé, qu’Allah nous en préserve. C’est lui qui insuffle le mal dans l’oreille du croyant et qui le pousse ainsi à virer dans la désobéissance et la colère. Jabir (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Iblis pose son trône sur l’eau puis envoie ses troupes. Les plus rapprochés de lui sont ceux qui causent le plus grand trouble. L’un d’eux vient le trouver et dit : « J’ai fait ceci et cela » mais il lui répond : « Tu n’as rien fait ». Puis l’un d’eux vient le trouver et dit : « Je ne l’ai délaissé jusqu’à l’avoir séparé de son épouse ». Alors, il le rapproche de lui et dit : « Toi tu es bien » et il le serre contre lui ». (Muslim). Nous savons donc, ma sœur, mon frère, que la séparation d’un homme et sa femme provient de Shaytane et ses associés. Mais avant la séparation, le couple traverse des conflits qui eux aussi, sont causés par les ruses de Shaytane. C’est ainsi qu’il te faut, ma chère sœur, mon cher frère, garder en tête que tout conflit provient de lui. En cas de conflit conjugal, il te faut donc demander refuge auprès d’Allah et te montrer sincère dans tes invocations : invoque Allah pour qu’Il préserve ton couple, qu’Il l’éloigne de la turpitude et des tensions et que Shaytane ne puisse pas s’immiscer dans ton union. Sois convaincu(e) qu’Allah écoute tes invocations et qu’Il les exaucera car Il ne se détourne pas du cœur d’un serviteur pieux et sincère.
Ma chère sœur, mon cher frère, lorsque survient un conflit dans ton couple, médite sur ton comportement et remets-toi en question car personne n’est sujet à la perfection. Les torts sont souvent partagés : bien que l’un ait eu tort en premier, l’autre ne doit pas le suivre dans cette tension et doit le rappeler vers Allah. Nous devons adopter un bon comportement et faire preuve de patience, quand bien même notre conjoint se laisse emporté par ses émotions. Cheikh Muqbil (qu’Allah lui fasse miséricorde) a conseillé aux couples musulmans : « Ce que nous recommandons aux époux c’est de s’entraider dans le bien et la piété et je leur conseille également d’adopter un bon comportement des deux côtés, le Shaytane cherche à séparer la femme de son mari. L’homme doit bien se conduire avec sa femme comme vous avez pu l’entendre dans les Hadiths « Comportez-vous bien avec les femmes » […] La femme également doit craindre Allah à travers son mari ». Ainsi, chacun des deux membres du couple a des droits sur l’autre mais également des devoirs envers lui. Tu te dois donc, ma sœur, mon frère, de mettre en pratique tes droits et devoirs tout en respectant ceux de ta moitié. Ton couple n’en sera que plus apaisé inchaAllah.
Enfin, n’oublie pas, oukhty, akhy, que tous les couples sont touchés par les tensions mais qu’il faut accueillir cela comme une épreuve à surmonter et un moyen de te rapprocher, avec ta moitié, du Tout Puissant. Le meilleur des hommes (‘alayhi salat wa salam) rencontrait également des tensions avec ses épouses (qu’Allah les agrée) mais il faisait en sorte de les apaiser. Il prenait sur lui, rassurait ses épouses, les taquinait et les faisait sourire lorsque celles-ci ressentaient de la colère contre lui. ‘Aisha (qu’Allah l’agrée) rapporte en ce sens que le Prophète (‘alayhi salat wa salam) lui a dit : « Ô Aisha, je sais quand tu es en colère contre moi et quand tu es contente. – Comment sais-tu cela ? Demanda-t-elle. – Lorsque tu es contente, dit-il, tu jures en disant : « Certes non, par le Seigneur de Mohamed ! » mais lorsque tu es en colère tu dis : « Certes non, par le Seigneur d’Ibrahim ». Elle dit : « C’est vrai, mais par Allah, je n’abandonne que ton nom ».(Al Boukhari et Muslim). Malgré les conflits, les tensions et les désaccords qui peuvent subsister au sein du couple, l’union de deux êtres est un bienfait émanant de notre Seigneur. Il te faut donc considérer ce bienfait dans toute sa splendeur, ma chère sœur, mon cher frère, t’éloigner autant que possible des insufflations et demander protection à Allah. Et lorsque le conflit survient, prends du recul, remets-toi en question, dialogue avec ton conjoint et rapprochez-vous ensemble de Celui qui vous a unis dans le bien.
J’espère que ces quelques paroles sur les conflits conjugaux et le comportement face aux tensions, te permettront de prendre du recul au quotidien et de faire preuve de patience dans ta vie de couple.
Qu’Allah éloigne nos couples de la turpitude, des conflits et des tentations. Qu’Il préserve et augmente l’amour entre conjoints et apaise les tensions.
AJIB.FR
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Somalie : pour la première fois en 6 ans, il est de nouveau question de famine.
Plus d’un million d’enfants risquent d’être touchés par une malnutrition aiguë en 2017 selon l’UNICEF. C’est la première fois depuis 6 ans que le mot famine resurgit.
La définition d’une famine est caractérisée par un accès très réduit à la nourriture de base par plus de 20% d’une population, un taux de mortalité supérieur à 2 personnes pour 10 000 par jour et une malnutrition aiguë touchant plus de 30% de la population.
Les enfants sont comme toujours les premiers touchés par cette tragédie et connaissent des risques très élevés de mourir d’après le Fonds des Nations unies pour l’enfance.
« La projection du nombre d’enfants qui souffrent ou souffriront de malnutrition aiguë a augmenté de 50 % depuis le début de l’année, à 1,4 million », d’après une porte-parole de l’Unicef, Marixie Mercado, faisant allusion aux projections pour 2017. Plus de 275 000 d’entre eux « souffrent ou souffriront de malnutrition aiguë sévère en 2017 », a-t-elle précisé lors d’un point de presse.
Les enfants touchés par la malnutrition aiguë sévère connaissent des risques neuf fois plus élevés de mourir que les enfants bien nourris.
Cette situation fait échos à celle de 2011 durant laquelle 260 000 personnes sont mortes dont la moitié était des enfants de moins de cinq ans.
Une sécheresse d’envergure majeure touche la Corne de l’Afrique ce qui a obligé 615000 personnes à se déplacer en plus des 1,1 million déjà déplacés.
« La combinaison sécheresse, maladies et déplacements est mortelle pour les enfants, et nous avons besoin de faire beaucoup plus, et plus rapidement, pour sauver des vies », a affirmé le représentant de l’Unicef en Somalie, Steven Lauwerier. L’Unicef souligne également que « les femmes et les enfants qui se déplacent, bien souvent à pied, vers des lieux où ils espèrent trouver de l’assistance, soient souvent victimes de vol ou pire, aussi bien durant le trajet que dans les camps ».
islametinfo.fr
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France : Présidentielle 2017 : ni FN ni abstention, crie la Fédération du scoutisme français.
Depuis le premier tour qui a annoncé le duel entre Emmanuel Macron et Marine le Pen, de nombreuses personnalités et associations ont donné aux citoyens des consignes de vote pour le 7 mai prochain.
« Allons voter, le pire est possible. » La Fédération du scoutisme français a lancé un appel au vote mardi 2 mai. Parmi les signataires figurent les sept représentants des associations de scoutisme en France : Elsa Bouneau, présidente de la Fédération du scoutisme français, Isabelle Dhoyer, présidente des Éclaireuses Éclaireurs De France, Jérémie Haddad, président des Éclaireuses Éclaireurs Israélites de France, Bastien Isabelle, président des Éclaireuses Éclaireurs de la Nature, Pierre Msika, président des Éclaireuses Éclaireurs Unionistes de France, Gilles Vermot- Desroches, président des Scouts et Guides de France, et Abdelhak Sahli, président des Scouts Musulmans de France.
« En tant que scout, guide, éclaireur et éclaireuse, nous passons du temps à éduquer des enfants et des jeunes à devenir des citoyens libres, heureux, utiles, actifs et artisans de Paix et l’ambition du projet scout s’oppose à la vision défendue par le front national », explique la fédération. « Le 7 mai prochain, il ne s’agira pas juste d’une élection présidentielle, il s’agira d’un choix de société, d’un choix décisif, d’un choix qui nous engage. Une société ne se construit pas uniquement par les hommes et les femmes politiques, elle se construit aussi parce que chacun de nous prend une part active dans la construction de notre avenir. »
« Que l’on soit partisan de l’autre projet présent au second tour ou pas du tout, il n’y a aujourd’hui qu’une solution sûre pour repousser celui du FN : voter pour son adversaire le 7 mai. Directement ou par procuration », indique-t-elle, appelant ainsi à voter en faveur d’Emmanuel Macron sans pour autant le citer nommément.
« Avec plus de 50 millions d’autres scouts et guides dans le monde, lutter contre la haine, la peur, le repli sur soi, le rejet de l’autre, nous le faisons tous les jours et nous apprenons aux enfants et aux jeunes à se construire un esprit critique, à être fidèle à la promesse scoute », signifie la fédération, qui rappelle qu’elle a été créée en 1941, « en pleine Seconde guerre mondiale, en partie pour défendre l’un de ses membres, les éclaireurs israélites ».
Voter blanc ou s’abstenir ne fait pas partie non plus des recommandations des responsables du scoutisme. « S’abstenir c’est refuser de choisir et renvoyer dos à dos ce qui n’est pas de même nature. L’alternative du second tour ne permet pas ce « non choix » », estime-t-elle, appelant les citoyens à se mobiliser pour les élections législatives, qui « pourront rouvrir alors d’autres choix ».
saphirnews.com
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France : Isère : un homme en flagrant délit de tags sur une mosquée.
Dans la nuit de samedi 29 avril au dimanche 30 avril, un jeune homme a été surpris en flagrant délit de tags sur la mosquée Abou Bakr, située à Bourgoin-Jallieu, dans l’Isère. Il avait inscrit sur les murs de la mosquée « Islam hors de l’Europe » ainsi que des propos anti-Macron à côté d’une croix celtique.
Sous emprise de l’alcool au moment des faits, l’homme ne s’explique pas son geste mais a reconnu avoir tagué les murs de la mosquée Abou Bakr avant d’expliquer aux enquêteurs,selon France 3, ses liens avec un groupe d’extrême droite lyonnais.
Interrogé par France Bleu, un des responsables de la mosquée a déclaré que « l’alcool n’excuse pas tout ». Les inscriptions ont été enlevées dans la journée de dimanche. Une plainte a été déposée par la direction de la mosquée Abou Bakr.
saphirnews.com
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France : Marine Le Pen serait une descendante du Prophète Muhammad .
L’information prête à rire mais elle nous est délivrée par l’AFP sur la base de déclarations du généalogiste Jean-Louis Beaucarnot. L’auteur du Dictionnaire étonnant des célébrités a déclaré auprès de l’agence que Marine Le Pen est une descendante du roi Louis VI le Gros et… du Prophète Muhammad.
Si la généalogie de son père Jean-Marie Le Pen est « 100% bretonne », celle de sa mère Pierrette Lalanne possède en revanche « des ancêtres variés et parfois surprenants ». En se penchant du côté de sa grand-mère maternelle, on découvre « une famille Foulquier, dont les aïeux étaient marchands au XVIIe siècle à Pousthomy », dans l’Aveyron.
Puis, en remontant la lignée, on tombe sur une certaine Anne de Roquefeuille qui « descend du roi de France Louis VI le Gros, des rois d’Angleterre – par Henri II et Aliénor d’Aquitaine – mais aussi des anciens rois d’Espagne et, par ces derniers, des Omeyyades d’Andalousie, des califes de Damas et, à la 50e génération… de Mahomet lui-même ! », assure Jean-Louis Beaucarnot.
Emmanuel Macron n’a pas non plus à rougir de son ascendance puisqu’on trouverait parmi ses ancêtres, une branche Le Vaillant, seigneurs du Buisson et de la Pucelle, à Douai (Nord), par laquelle il descend du fondateur de la dynastie des capétiens, Hugues Capet. Jean-Louis Beaucarnot s’amuse de découvrir également, dans l’ascendance d’Emmanuel Macron, « quelques patronymes pittoresques, comme Dugland, Courtecuisse ou Nibard, ainsi qu’une belle et longue lignée de… Bosseur, à Launoy, dans l’Aisne ».
Mise à jour : L’AFP a annulé sa dépêche, évoquant une erreur de publication. « Il s’agit d’une version validée par erreur », a-t-elle indiqué, jugeant avoir fait preuve d’un manque de « mise en perspective à J-4 du second tour ». Elle ne dit cependant pas que l’information est bidonnée.
saphirnews.com
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Indonésie : le premier congrès national de savantes musulmanes initié.
Une première dans le plus grand pays musulman au monde. L’indonésie a organisé fin avril son premier congrès national des femmes savantes (oulémas). Près de 300 théologiennes et responsables religieuses musulmanes se sont donnés rendez-vous pendant trois jours à Cirebon, dans le nord-ouest de l’île de Java. La majorité des participantes sont indonésiennes mais plusieurs d’entre elles ont fait le déplacement depuis le Nigeria, le Kenya, le Pakistan ou encore l’Afghanistan.
Les discussions ont porté sur trois grandes thématiques : la question des dégâts environnementaux, les violences sexuelles et le mariage des enfants. A l’issue de ce congrès, les participantes ont émis une fatwa contre le mariage des enfants en Indonésie. Les responsables religieuses ont demandé au gouvernement de relever l’âge du mariage à 18 ans pour les femmes aujourd’hui fixé à 16 ans. Il est fixé à 19 ans pour les hommes. Lukman Hakim Saifuddin, ministre indonésien des Affaires religieuses, a indiqué qu’il allait porter les recommandations du congrès au gouvernement.
La décision a été saluée par l’UNICEF. « C’est un moment marquant dans les efforts visant à mettre fin au mariage des enfants en Indonésie, où en moyenne plus de 3 500 filles sont mariées tous les jours », a déclaré Gunilla Olsson, représentante de l’Unicef en Indonésie. Selon l’organisation, une Indonésienne sur six serait en effet mariée avant l’âge de 18 ans. Chaque année, près de 340 000 jeunes filles seraient ainsi concernées.
« C’est le moment de reconnaître l’existence des femmes savantes et d’apprécier la contribution du clergé féminin », a déclaré à la BBC Badriyah Fayumi, une des organisatrices du congrès.
saphirnews.com
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Législatives en Algérie : Le Premier ministre invite les femmes à battre leurs maris s’ils refusent de voter.
Pas facile de convaincre les 23 millions d’électeurs algériens d’accomplir leur devoir civique demain, jeudi 4 mai, lors d’un scrutin législatif sur lequel plane l’ombre d’une forte abstention.
Alors que le gouvernement a élaboré un véritable plan d’attaque pour dissuader la population de céder aux sirènes du boycott, à grand renfort de spots publicitaires et d’affiches incitant à voter, le Premier ministre en personne, Abdelmalek Sellal, sans doute à bout d’arguments, a opté pour une boutade diversement appréciée dont il a le secret.
Dimanche 30 avril, à Sétif, devant un auditoire féminin qui lui était entièrement acquis, ce haut personnage de l’Etat a recommandé aux femmes de battre les maris récalcitrants à l’aide d’un bâton et de les « traîner » vers les bureaux de vote, au cas où ils se perdraient en chemin…
Coutumier des plaisanteries de plus ou moins bon goût, Abdelmalek Sellal a manifestement déclenché l’hilarité générale en lançant : « Et celui qui ne vote pas, frappez-le avec un bâton ! ». Reste à savoir si la menace du rouleau à pâtisserie poussera vers les isoloirs ces époux peu dociles qui les fuient…
oumma.com
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Suède : des femmes musulmanes manifestent pour le 1er mai pour le droit de travailler voilées.
En Suède, la célébration de la Fête du travail, lundi 1er mai, a pris une coloration revendicative inédite, sous l’impulsion de femmes musulmanes qui ont profité de cette journée internationale des travailleurs pour briser la chape de plomb du silence qui a entouré l’arbitrage rendu, le 14 mars dernier, par la Cour de justice européenne (CJUE) au sujet du port du voile dans la sphère professionnelle et pèse désormais sur elles.
De Stockholm à Malmö, en passant par Göteborg, Vasteras, Sala et Umea, elles sont descendues nombreuses dans les rues pour exprimer leur mécontentement, teinté d’inquiétude, face à une décision judiciaire qui autorise les employeurs du secteur privé à interdire les signes religieux au sein de l’entreprise, en d’autres termes qui légalise la mise à l’index des femmes revêtues d’un hijab dans le monde du travail.
Alors que leurs concitoyennes non musulmanes se heurtent encore et toujours à des plafonds de verre indestructibles, ces Suédoises voilées, à l’instar de leurs coreligionnaires disséminées dans les autres pays européens, sont confrontées à des freins non pas invisibles, mais bel et bien visibles, qui nuisent à leur accession à l’emploi dans l’indifférence générale, voire pire encore, avec l’assentiment du plus grand nombre.
« Mon hijab n’est pas votre affaire », ou encore « Travailler, c’est notre droit », c’est en scandant ces slogans à la forte résonance qu’elles ont manifesté dans l’ensemble du pays, se mêlant à une foule hétéroclite mue par d’autres exigences, emmenées par leur chef de file, Maimuna Abdullahi, l’une des chevilles ouvrières de ce rassemblement qui a déjà fait date.
« Les femmes musulmanes n’ont pas l’habitude de participer à des manifestations, d’autant plus de cette ampleur, et il était essentiel qu’elles aient une visibilité, en ce 1er mai emblématique, parmi les autres manifestants, issus de tous les horizons, qui luttent traditionnellement pour les droits du travail », a expliqué Maimuna Abdullahi dans un entretien accordé à Al Jazeera.
« J’ai marché parce que j’ai le droit de m’habiller comme bon me semble. Cette marche avait vocation à éveiller les consciences et à rompre l’omerta qui entoure les droits des musulmanes dans l’entreprise », a insisté Khaali Mohammed, tandis que Maimuna Abdullahi déplorait, de son côté, l’inertie avec laquelle la Suède, « ce pays salué pour son respect des droits de l’Homme », a accueilli le verdict de la Cour de justice européenne, tombé comme un couperet sur les minces espoirs des femmes voilées.
Toutes deux arboraient fièrement à leur boutonnière le logo spécialement conçu pour la manifestation par Aftab Soltani, représentant une femme musulmane « visiblement forte et engagée », capable de lutter pour ses droits fondamentaux, à mille lieues de l’image dévalorisante de la femme musulmane, éternelle victime expiatoire, qui est ancrée dans l’inconscient collectif.
« Lorsque nous avons téléchargé une vidéo appelant à l’action le 1er mai, plusieurs personnes à travers le pays, musulmanes et non musulmanes, nous ont contacté pour organiser leur propre marche, conscientes que cette décision judiciaire est foncièrement injuste », s’est réjouie Maimuna Abdullahi, heureuse que ce premier rassemblement, placé sous le signe de la défense des droits des travailleuses voilées sérieusement mis à mal, ait à ce point marqué les esprits.
oumma.com
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Des Saoudiennes exhortent les autorités à assouplir l’obligation du Mahram (tuteur).
Trop, c’est trop ! Des Saoudiennes en colère montent actuellement au créneau contre une mise sous tutelle qui les poursuit sans jamais relâcher la pression, jusqu’à s’immiscer dans le simple renouvellement d’un passeport, ce parcours administratif semé d’embûches quand, comme elles, on aspire à assouplir la règle du Mahram.
Confrontées à l’obligation d’être chaperonnées à chaque instant de leur vie, y compris devant le Département des passeports et de l’Etat civil, elles sont plusieurs à s’insurger contre les obstacles infranchissables que les institutions publiques dressent devant elles, sans considération aucune de leur situation personnelle.
Déplorant vivement que le nombre croissant de femmes recrutées dans les différentes entités gouvernementales n’ait nullement desserré le carcan d’interdits qui les emprisonne, ces frondeuses du royaume wahhabite exhortent aujourd’hui les autorités compétentes à déroger à un principe immuable afin de leur faciliter les choses.
Elles en appellent donc au bon sens et au pragmatisme de l’administration saoudienne pour leur permettre de renouveler leurs documents d’Etat civil sans avoir besoin de l’approbation d’un membre masculin de leur famille, notamment pour celles d’entre elles qui n’ont plus de parents vivants.
« Ces ministères ne tiennent pas absolument pas compte du fait que certaines femmes n’ont plus de famille pour les accompagner. Nous sommes toutes logées à la même enseigne », a critiqué Umm Faisal, la figure de proue de ce mouvement de contestation, devant la presse locale, renchérissant : « Nous comprenons que, en cas de voyage à l’étranger, les femmes doivent obtenir l’approbation de leur Mahram par courrier, mais il faut une certaine souplesse en ce qui concerne les autres cas de figure et autres problèmes que rencontrent les femmes ».
Elle est l’autre fer de lance de la protestation, Hadeel Al-Yusuf regrette fort, pour sa part, que les femmes employées dans de nombreux bureaux du ministère des Passeports soient peu qualifiées, et par conséquent pas habilitées à délivrer ou renouveler le précieux sésame. A ses yeux, il est impératif que les lois liées aux femmes soient reconsidérées, en moins liberticides, tout en estimant, elle aussi, parfaitement compréhensible que le consentement d’un Mahram soit exigé en cas de séjour à l’extérieur des frontières saoudiennes.
Face à une administration arc-boutée sur des règles gravées dans le marbre et en dépit du dialogue de sourd qui s’est établi avec le Directeur du ministère des passeports, le général Suleiman Al-Suhaibani, ces Saoudiennes ne se démontent pas, déterminées à faire entendre et valoir leurs doléances.
oumma.com
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Un virus ce propage sur FaceBook très rapidement, et il infecte votre ordinateur,tablette et même votre téléphone.
Comment cela marche ?
Un message privé vous est envoyé sur votre compte FaceBook de la part d’un parfait inconnu vous signalant qu’une vidéo dans laquelle votre nom est présent et elle circule sur le réseaux, mais au moment de cliquer sur le lien de la vidéo pour la regarder, un message apparait vous demandant d’installer une extention FaceBook pour voir cette vidéo, et une fois cette installation terminer, le virus ce propage à tout vos contacts et ouvre les portes aux pirates informatique qui utilise a distance votre ordinateur, pour attaquer des serveurs…
Solution ? Ne jamais installer cette FAUSSE extention FaceBook.
Cette extention porte le nom de EKO , et si part un malheureux hazard vous l’avez déjà installer, il faut la retiré.
Les navigateur les plus infecté sont les plus connu, Firefox, Chrome, et Edge ( internet explorer).
Faites circuler l’info, innch Allah.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

CLIC POUR VOIR LA SOURCE
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Le Président du Parlement arabe, Mechaal Messalami a appriécié l’approbation du Conseil exécutif de l’UNESCO de la décision confirmant la nullité des mesures d’état de l’occupation israélienne dans la ville de Jérusalem.
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Mechaal invite le monde à saisir l’occasion de traiter avec le Hamas
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Les Palestiniens à l’étranger invitent leurs ambassades à activer la question des prisonniers
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Blessés lors d’affrontements avec les forces d’occupation au nord de Hébron
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50 dirigeants du mouvement captif rejoignent la grève de la faim illimitée
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Rwaidy: Israël veut réduire la présence palestinienne à Jérusalem à 15%
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Des résistants ouvrent le feu sur une tour militaire israélienne au sud d’Hébron
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Khalil al-Hayya appelle les jeunes de la Cisjordanie à confronter l’occupation pour soutenir les prisonniers
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Affrontements avec l’occupation au sud de Jénine
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Al-Qassam accorde 24 heures à Israël pour répondre aux demandes des prisonniers
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Incursion israélienne limitée à l’est de Khan Younès
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Naplouse: Rituels et actes provocateurs des colons au carrefour de Yitzhar
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L’occupation a arrêté 60 enfants en avril dernier
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L’occupation arrête des civils palestiniens du camp de Fawar à Hébron
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L’UNESCO considère Jérusalem comme une ville occupée
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Un colon israélien tué par erreur au barrage de Hazma
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Le Centre Palestinien D'Information