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Flash info du 12 Cha’ban 1438.

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France : Emmanuel Macron remporte largement l’élection présidentielle avec 65,1% des voix face à Marine Le Pen, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria.
L’issue du scrutin était prévisible, c’est désormais acquis : Emmanuel Macron va devenir le huitième président élu de la Ve République. Il a recueilli, dimanche 7 mai, 65,1% des voix face à Marine Le Pen (34,9%), au second tour de l’élection présidentielle, selon une estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France*. Grand favori de ce duel inédit, Emmanuel Macron a su tenir son rang malgré un début d’entre-deux-tours poussif. Retour sur la dernière ligne droite de ce marathon présidentiel unique en son genre.
Pour Emmanuel Macron, la campagne de second tour commence par une grosse bourde de communication. Galvanisé par sa position de tête au soir du premier tour, le 23 avril, il choisit de fêter ce qui n’est pourtant pas encore une victoire. A La Rotonde, une brasserie réputée du quartier de Montparnasse, à Paris, le candidat retrouve une partie de son staff de campagne, des politiques et quelques célébrités comme Pierre Arditi et Line Renaud.
Une campagne qui flotte.
Les agapes restent modestes. Du jambon et des asperges pour le candidat, « quelques radis, des croque-monsieur coupés en quatre et une coupe de champagne » pour les invités, relate Stéphane Bern, qui était aussi de la partie. La Rotonde n’est pas le Fouquet’s, mais qu’importe : dans les esprits, le parallèle est vite établi avec la fête « bling-bling » de Nicolas Sarkozy au soir de sa victoire en 2007.
Surtout, on reproche à Emmanuel Macron d’agir comme s’il avait déjà gagné la partie. Juste avant l’escapade à La Rotonde, il prononce un discours de quasi-victoire devant 3 000 militants en liesse, échange sur scène un baiser avec son épouse Brigitte… A-t-il pris la mesure de la responsabilité qui lui incombe ? Est-il capable de trouver les mots pour rassembler le camp républicain face au Front national ? Les jours suivants, sa campagne semble flotter : un agenda vide le lundi, pas de déplacement de campagne le mardi… Le mercredi matin, Libération traduit le scepticisme ambiant dans une une moqueuse.
Ce jour-là, Emmanuel Macron redescend très vite dans l’arène, aiguillonné par Marine Le Pen. Pendant qu’il rencontre les représentants syndicaux de l’usine Whirlpool d’Amiens dans les locaux de la Chambre de commerce de la ville, son adversaire déboule par surprise sur le site de l’usine promise à la fermeture. Sur les chaînes d’information, le choc des images est saisissant : l’un est claquemuré dans des bureaux, l’autre pose pour des selfies et réconforte les salariés.
Chez Whirlpool, Macron remis en selle par Le Pen.
Le coup de com’ de Marine Le Pen fonctionne à merveille. Sauf qu’Emmanuel Macron ne s’avoue pas vaincu. Sa réunion terminée, il se rend à son tour auprès des salariés. L’accueil houleux lui permet de mettre en scène un certain courage. Arrivé sous les sifflets, il repart, après plus d’une heure de discussion, dans une atmosphère plus apaisée. Des poignées de main sont échangées. S’il n’a pas convaincu les salariés, il a peut-être gagné leur respect.
Rien n’est évident dans cet entre-deux-tours. Le front républicain, si puissant en 2002 lorsqu’il s’agissait de faire barrage à Jean-Marie Le Pen en votant pour Jacques Chirac, est abîmé. L’attitude de Jean-Luc Mélenchon, qui ne donne aucune consigne de vote et refuse de dévoiler son choix, en dit long sur le déclin de ce réflexe politique qui avait accompagné la montée du Front national dans les années 1990.
Un certain flottement existe aussi à droite. Certes, François Fillon appelle dès le soir du premier tour à voter pour Emmanuel Macron. Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se prononcent aussi rapidement en faveur du candidat d’En marche !, de même que plusieurs ténors (Christian Estrosi, Xavier Bertrand, Nathalie Kosciusko-Morizet…). Mais le bureau politique des Républicains reste dans l’ambiguïté : « Face au Front national, l’abstention ne peut être un choix, nous appelons à voter contre Marine Le Pen pour la faire battre au second tour de l’élection présidentielle », énonce le communiqué du parti, sans citer le nom d’Emmanuel Macron.
Rediaboliser le FN pour mieux le contrer.
Pour réactiver ce front républicain en perte de vitesse, Emmanuel Macron tente de dramatiser sa campagne. Plutôt que de modifier son programme ou de donner des gages aux électeurs de Mélenchon ou de Fillon, le candidat d’En marche ! entreprend de faire de ce second tour un référendum anti-FN. « Ne pas se positionner, c’est décider d’aider madame Le Pen », déclare-t-il sur TF1.
Il multiplie les commémorations symboliques censées replacer le FN face à son sulfureux passé. Le vendredi, il se rend à Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), ce village massacré et détruit par des soldats de la Waffen-SS en juin 1944, puis visite le mémorial de la Shoah à Paris. Le 1er-Mai, il participe à un hommage en mémoire de Brahim Bouarram, un Marocain jeté dans la Seine par un participant au défilé du 1er mai 1995 organisé par Jean-Marie Le Pen. « Le parti des agents du désastre, les instruments du pire, l’extrême droite française, elle est là. Ils guettent depuis si longtemps l’effondrement que nous vivons pour en tirer profit », assène-t-il, le même jour, lors de son grand meeting parisien.
Une victoire sans enthousiasme
Le débat du 3 mai, suivi par 16 millions de téléspectateurs, lui donne une nouvelle occasion de pousser son avantage. Marine Le Pen, trop agressive, perd des plumes dans cet exercice qui exige de la solennité. Même certains de ses soutiens reconnaissent que leur candidate a manqué son débat. L’effet est immédiat. Dans les sondages qui suivent, la courbe d’Emmanuel Macron remonte sensiblement, laissant présager la large victoire obtenue ce dimanche.
Malgré le score, sans appel, cette difficile campagne d’entre-deux-tours a démontré qu’Emmanuel Macron ne peut se prévaloir d’avoir reçu un blanc-seing de la part des électeurs. Selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde publiée le 2 mai, 60% de ses électeurs affirment voter pour lui « par défaut ». Fractures politiques, colères sociales, scepticisme généralisé… A peine élu, Emmanuel Macron se trouve déjà face à d’immenses défis. Pour lui, le plus dur commence dès ce soir.
* Estimation Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions, Radio France, Le Point, Le Monde, France 24 et les chaînes parlementaires.
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Voici pourquoi le musulman doit apprendre à pardonner.
Pardonner aux autres n’est pas une affaire facile mais l’accomplissement de cette épreuve revêt la forme d’une grande bénédiction.
Ainsi, la vengeance ne doit pas être une caractéristique du musulman.
Allah (soubhanou wa ta’ala) dit:
« Quant à ceux qui ripostent après avoir été lésés, …ceux-là pas de voie (recours légal) contre eux » [Coran 42/41].
Notre Créateur ne cesse de nous inciter à renoncer à la haine et de préférer le pardon.
« C’est par quelque miséricorde de la part d’Allah que tu (Muḥammad) as été si doux envers eux! Mais si tu étais rude, au cœur dur, ils se seraient enfuis de ton entourage. Pardonne-leur donc, et implore pour eux le pardon (d’Allah). Et consulte-les à propos des affaires; puis une fois que tu t’es décidé, confie-toi donc à Allah, Allah aime, en vérité, ceux qui Lui font confiance. » [Coran 3/159].
Alors que certaines trahisons peuvent nous hanter, la meilleure manière de passer l’éponge est de permettre à nos cœurs d’oublier.
Cette décision peut sembler difficile mais le croyant qui arrive à cette finalité pourra jouir d’une tendre bénédiction d’Allah.
« Et Nous y avons prescrit pour eux vie pour vie, œil pour œil, nez pour nez, oreille pour oreille, dent pour dent. Les blessures tombent sous la loi du talion. Après, quiconque y renonce par charité, cela lui vaudra une expiation. Et ceux qui ne jugent pas d’après ce qu’Allah a fait descendre, ceux-là sont des injustes. » [Coran 5/45].
« Nombre de gens du Livre aimeraient par jalousie de leur part, pouvoir vous rendre mécréants après que vous ayez cru. Et après que la vérité s’est manifestée à eux! Pardonnez et oubliez jusqu’à ce qu’Allah fasse venir Son commandement. Allah est très certainement Omnipotent! » [Coran 2/109].
Le pardon est la clémence sont des qualités de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) que chaque musulman devait tendre à développer comme traits de sa personnalité.
Afin de pardonner durablement sans rancune, le musulman ne doit plus voir cette personne comme une ennemie, mais plutôt comme une épreuve de ce bas-monde.
De plus, il est important d’avoir la certitude que le choix du châtiment revient à Allah (soubhanou wa ta’ala) et qu’il se chargera de la personne ici-bas ou dans l’au-delà.
Pardonner est primordial dans la vie d’un musulman car rompre les liens de fraternité avec un frère ou une sœur est une attitude fortement déconseillée.
« Celui qui rompt avec son frère en religion durant une année sera considéré comme s’il avait fait couler son sang. »
(Hadith rapporté par Al Bukhari).
« Ne rompez pas vos liens de fraternité ; ne vous détournez pas les uns des autres ; ne soyez pas envieux les uns vis-à-vis des autres ; soyez plutôt frères, comme Allah vous l’a ordonné. »
(Hadith rapporté par Muslim).
De nombreux croyants ne surmontent pas la difficulté de pardonner à son proche suite à une infidélité. Mais, un sentiment de compassion peut remplacer cette détestable haine quand on connaît le châtiment réservé aux personnes infidèles dans la vie conjugale.
« Trois personnes seront privées de se voir sanctifiées ou adressées la parole par Allah et seront exposées à un châtiment douloureux le jour de la Résurrection : il s’agit d’un vieil homme adultère, d’un roi menteur et d’un pauvre arrogant. » (Rapporté par Mouslim).
Enfin, il faut retenir que le plus grand Pardonneur est Allah (soubhanou wa ta’ala) et il est aussi celui capable d’administrer les plus lourds châtiments. Remettez-en vous à Allah dans les moments de grandes difficultés.
« Sachez qu’Allah est sévère en punition, mais aussi qu’Allah est Pardonneur et Miséricordieux. » [Coran 5/98].
« Informe Mes serviteurs que c’est Moi le Pardonneur, le Très Miséricordieux. » [Coran 15/49].
AJIB.FR
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8 Mai 1945, La france massacre 35 000 Algérien à Sétif, ne l’oublions jamais.
Le 8 mai 1945 dans le Nord-Constantinois : retour sur un massacre.
En Europe, le 8 mai 1945 est synonyme de victoire de la liberté sur le nazisme. Pourtant alors qu’à Paris, Londres, Moscou ou Washington on célébrait l’effondrement du Troisième Reich, commencèrent les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata.
« L’intelligence, c’est de bien retenir les expériences ».
L’imam Ali.
Ces terribles massacres mirent un coup d’arrêt à l’élan unitaire du mouvement national algérien dont les différentes composantes s’étaient rassemblées au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté.
En effet, durant la seconde guerre mondiale la situation politique fut profondément bouleversée. L’échec définitif du mouvement assimilationniste, (Mouvement qui réclamait le rattachement complet de l’Algérie à la France et la citoyenneté française pour les Algériens), la défaite de juin 1940 qui avait montré la vulnérabilité de la puissance coloniale, avaient redéfini les « champs du possible » pour les acteurs du mouvement national algérien. Avec le débarquement Alliées en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, la vie politique connut une nouvelle dynamique. Les acteurs du mouvement national reprenaient à leur compte l’idée du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes mis en avant par les Américains dans la Charte Atlantique datée 12 août 1942.
C’est dans cette atmosphère que le 10 février 1943, Ferhat Abbas, avec le soutien du Parti du Peuple Algérien, clandestin, et de l’association des Ouléma, rendit publique le Manifeste du Peuple Algérien. Rompant avec l’idéologie assimilationniste, le Manifeste affirmait : « le temps est passé où un Musulman algérien demandera autre chose que d’être un Algérien musulman », phrase tiré du livre de Charles-André Julien, L’Afrique du Nord en marche, Paris, Omnibus, 2002, page. 247.
Le Manifeste eut rapidement un écho important au sein de la population algérienne. Par la suite, afin de faire valoir les idées développées dans le Manifeste, les différentes tendances du mouvement national décidèrent de s’unir dans une organisation politique commune. Ainsi, le 14 mars 1944, les trois principales composantes du mouvement national algérien, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien, les islamistes de l’Association des Ouléma et les « autonomistes » proches de Ferhat Abbas, décidèrent de s’unir au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté pour lutter contre le colonialisme et promouvoir l’idée de nation algérienne.
Les Amis du Manifeste et de la Liberté se structurèrent en section sur l’ensemble du territoire algérien et devinrent rapidement une organisation de masse réunissant plusieurs dizaines de milliers d’adhérents. En politisant la population algérienne, les Amis du Manifeste et de la Liberté permettaient de changer les rapports entre colonisateurs et colonisés. Selon Ahmed Mahsas, « encouragés par l’extension des Amis du Manifeste et de la Liberté, les Algériens longtemps réduits au silence et à la sujétion par le système colonial, changeaient de comportement et levaient la tête. Ils n’acceptèrent plus les brimades dont ils étaient l’objet quotidiennement de la part de l’administration et de la majorité des Européens.
Le nouveau comportement des Algériens se manifestait par le rejet de toute mesure d’humiliation et par la défense de leur dignité. Il suscita la crainte dans les milieux colonialistes et exacerba la haine de l’arabe, naguère traité par le mépris. La tension entre le peuple algérien d’un côté, l’administration et les Européens de l’autre, régna sur l’étendue de tout le territoire algérien » info tiré du livre de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
Au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté, Ahmed Mahsas expliquait que le Parti du Peuple Algérien s’efforçait de populariser ses mots d’ordre (indépendance, panarabisme, solidarités avec les pays arabo-musulmans et les pays colonisés. Son radicalisme, son caractère populaire, son organisation et son action efficace plaçaient le Parti du Peuple Algérien à l’avant-garde du combat » , info tiré de l’ouvrage de Mahsas Ahmed, Le mouvement révolutionnaire en Algérie de la Première Guerre Mondiale à 1954, Essai sur la formation du mouvement national, Paris, L’Harmattan, 1979, page 180.
A cette période, selon Benyoucef Ben Khedda, « une vague de nationalisme déferlait sur tout le pays. C’en était trop pour les colons qui, voyant leurs privilèges menacés, commençaient à paniquer », info tiré du livre de Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, Alger, CNERMNR, 2004, page 87. De plus, les Amis du Manifeste et de la Liberté, sous l’influence du Parti du Peuple Algérien, radicalisaient leur revendication ce qui inquiétaient les autorités coloniales.
En mars 1945, le Congrès des Amis du Manifeste et de la Liberté demanda : « la reconnaissance de la nationalité algérienne » ; « l’établissement d’une constitution algérienne démocratique et républicaine » ; « le remplacement des Assemblées algériennes par un Parlement élu » ; « le remplacement du gouvernement général par un gouvernement algérien » ; « la reconnaissance des couleurs algériennes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, Paris, Ed. Paris-méditerranée, 2003, page 633. De Plus,une motion reconnaissant Messali Hadj comme « leader incontestable du peuple Algérien » fut votée.
Face à cette radicalisation, l’administration coloniale chercha à réagir. Le 18 avril à l’occasion d’un rassemblement dans la commune de Chellala, dans le Sud du département d’Alger, l’administration en profita pour procéder à l’arrestation de plusieurs militants des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ces arrestations provoquèrent des heurts entre la police et la population locale. Le 25 avril, Messali Hadj, qui était assigné à résidence dans la région, fut déporté au Congo. Ainsi, commençait la répression contre le mouvement national.
Les militants du Parti du Peuple Algérien voulurent réagir contre la politique répressive de l’administration coloniale et montrer leur capacité de mobilisation. Depuis le débarquement, le parti nationaliste révolutionnaire s’était organisé clandestinement sur l’ensemble du territoire algérien et représentait une réelle force politique capable de remettre en cause l’ordre colonial. Le Parti du Peuple Algérien était essentiellement composé de jeunes militants prêts à en découdre avec les autorités coloniales.
Le 1er mai 1945, à l’occasion de la fête du travail, des manifestions furent organisées dans toute l’Algérie. Afin de montrer leur capacité de mobilisation et pour protester contre la déportation de Messali Hadj, les militants du Parti du Peuple Algérien décidèrent d’y participer en organisant des cortèges distincts de leurs adversaires du Parti Communiste Algérien et de la CGT. Les slogans du Parti du Peuple Algérien était : « Parlements Algérien », « Libérer Messali », « Libération de tous les détenus politiques », « indépendance » ». Face à cette démonstration de force des nationalistes algériens, les autorités réprimèrent durement les manifestions. A Alger, la police ouvrit le feu sur les manifestants faisant 4 morts. Dans le même temps, il y eu respectivement 1 mort à Oran et à Blida.
Au lendemain de ces manifestations, la CGT et le Parti Communiste Algérien accusèrent le Parti du Peuple Algérien d’avoir fomenté « une provocation ». En réponse, l’organe clandestin du Parti du Peuple Algérien, L’Action algérienne, lança un appel répondant aux allégations du Parti Communiste Algérien : « Communistes Algériens ! Vous n’avez de communistes que le nom ! Votre parti a jeté le masque. Il glorifie l’assassinat. Il se fait le complice de l’administration. Messali serait hitlérien ! Il oublie que le Parti du Peuple Algérien et le Parti Communiste Algérien ont été dissous par le même décret en Septembre 1939, que Messali et ses amis ont été condamnés au bagne par Vichy, alors que Djenienbou-Rezag, Taïeb, Boualiz, Ouzegane, etc… étaient relativement favorisés par Vichy. Il oublie qu’au moment où Hitler semblait vaincre, Messali n’a jamais répondu aux offres du nazisme qu’il condamne depuis 1937 », info tiré du livre de Stora Benjmin, Messali Hadj, 1898-1974, Paris, Ed. Hachette, 2004, page 192.
A la suite des manifestations du 1er mai, l’administration lança une vague d’arrestation parmi les militants nationalistes révolutionnaires. Face à cette répression, le Parti du Peuple Algérien donna des consignes précises à ses militants pour l’organisation des manifestations célébrant la fin de la guerre 1939-1945. Selon Chawki Mostefaï, cadre nationaliste révolutionnaire, la direction du Parti du Peuple Algérien ordonna que :
– « Les manifestations doivent être absolument pacifiques ; les mots d’ordre de prudence et de sang-froid largement diffusés parmi les manifestants ; le contrôle de ceux-ci pour récupérer toutes espèces d’armes éventuelles tels que armes à feu, couteaux, même les bâtons etc.
– Les villes d’Alger, d’0ran et Blida s’abstiendront de manifester ; de crainte que les récentes fusillades du 1er Mai, n’aient créé chez les militants et les manifestants, un esprit de revanche, contre les forces de l’ordre, propice aux provocations de celles-ci, toujours possibles.
– Déployer en milieu de parcours, le drapeau algérien, qui venait d’être adopté par la Direction, quelques semaines auparavant. », tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 309-310.
Malgré la violente répression des manifestations du 1er mai, les nationalistes révolutionnaires du Parti du Peuple Algérien voulaient absolument participer aux manifestations célébrant la victoire contre le nazisme. A ce propos, Chawki Mostefaï expliquait :« Il fallait frapper un grand coup et démontrer, au moment de la célébration prochaine de la victoire définitive du camp de la Démocratie sur l’Hitlérisme, que le peuple algérien, partisan de la Démocratie et de la Liberté des peuples, entendait célébrer dans la joie et l’enthousiasme la fin du cauchemar né de l’Hitlérisme et son équivalent le Colonialisme, contre lesquels le peuple Algérien a consenti les plus grands sacrifices sur tous les fronts de la guerre », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit., page 304.
Les nationalistes révolutionnaires Algériens voulaient utiliser ces manifestations pour s’affirmer sur la scène internationale afin de revendiquer l’indépendance de l’Algérie. Chawki Mostefaï affirmait que « pour profiter au maximum du retentissement médiatique, à l’échelle mondiale de la victoire des pays de la Charte de l’Atlantique, l’Algérie devait fêter sa victoire en tant que peuple, en tant que nation opprimée, indépendamment de la France et de ses institutions, en arborant tout haut l’Emblème de sa propre souveraineté. C’est ainsi que nous décidâmes, au sein du Comité Directeur, de défiler le jour des manifestations de la victoire, en arborant le drapeau de l’Etoile Nord Africaine et Parti du Peuple Algérien en tête des cortèges », info tiré du livre de Mostefaï Chawki, « Afin que nul n’oublie », op. cit., cf. Ben Khedda Benyoucef, Les origines du premier novembre 1954, op. cit..
Ainsi, pour célébrer la victoire des Alliés, le 8 mai 1945 au matin, les nationalistes Algériens organisèrent des manifestations dans de nombreuses villes du pays : à Blida, Berrouaghia, Sidi Bel Abbès, Saïda, Annaba ou Jijel. Dans ces deux dernière ville les Algériens sortirent des drapeaux et des banderoles sur lesquels il était inscrit : « Vive l’Algérie indépendante », « A bas le colonialisme », « Libérer Messali ». Face à cette manifestation de nationalisme algérien la police intervint et des coups de feu furent tirés. A Guelma, la police voulut disperser les manifestants du cortège musulmans ce qui provoqua des échauffourées faisant 1 mort côté algérien.
A Sétif, il y avait environ 10 000 personnes présentes, dont environ 200 membres des Scouts Musulmans Algériens qui ouvraient la marche. Les manifestants déployèrent des pancartes, proclamant notamment « Vive l’Algérie libre et indépendante » ou « A bas le fascisme et le colonialisme ». Au cours de la manifestation un drapeau aux couleurs algériennes fut déployé. Voyant ce drapeau et ces banderoles, la police chercha à s’en saisir. Les manifestants refusèrent. En réponse, des rafales de mitraillette furent tirées par un policier français. La manifestation tourna à l’émeute. A 13 heures le couvre feu était instauré et à 20 heures l’état de siège était décrété. L’armée, la police et la gendarmerie sillonnèrent les quartiers arabes et les douars de la région.
Des armes étaient distribuées aux colons européens qui se constituèrent en milices. Selon Mahfoud Kaddache, « tous les Européens, qu’elle que soit leur tendance politique se regroupaient face au danger arabe […] elle [la milice] se livra à des représailles contre la population musulmane et à des exécutions sommaires de suspects, de militants des Amis du Manifeste et de la Liberté, du Parti du Peuple Algérien, des Oulémas et des scouts musulmans algériens », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 661.
La violence de l’armée française et des milices Européennes fut impitoyable. Exécutions sommaires, massacres de civils, prises d’otages au sein de la population algérienne, viols, bombardements de villages,… A Sétif où la loi martiale fut proclamée, tout Algérien ne portant pas le brassard réglementaire était abattu.
Le 12 mai 1945, le Général De Gaulle ordonna au gouvernement général « d’afficher publiquement la volonté de la France victorieuse de ne laisser porter aucune atteinte à la souveraineté française en Algérie » et de « prendre toutes les mesures nécessaires pour réprimer tous agissements antifrançais d’une minorité d’agitateurs »[, info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 662.
Pour mettre en œuvre cette répression, l’armée fut mobilisée. Outre les 9 000 hommes de la division de Constantine, des unités d’Alger, et de Tunis furent dirigées dans le Nord Constantinois. Deux croiseurs, le Triomphant et le Duguay-Trouin, tirèrent plus de 800 coups de canon depuis la rade de Bougie sur la région de Sétif. L’aviation bombarda et rasa plus ou moins complètement plusieurs agglomérations. Une cinquantaine de « mechtas » furent incendiées. Les automitrailleuses firent leur apparition dans les villages. Les soldats tirèrent à distance sur la population. Les blindés furent relayés par les militaires arrivés en convoi sur les lieux. A l’approche des troupes, les villages étaient désertés par une population qui se réfugiait sur les crêtes ou dans les ravins.
Pour sauver leur vie, des hommes, des femmes et des enfants furent obligés de s’agenouiller devant les militaires français. L’armée célébrait sa victoire. Le 25 mai 1945, 5 000 fellahs des Babors furent contraints de se mettre à genoux, de demander pardon et de crier « Vive la France ». Puis, le colonel de légion les obligea à se prosterner le front à terre devant le drapeau français et à dire : « nous sommes des chiens et Ferhat Abbas est un chien », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664. Parmi eux, 400 furent identifiés comme troubles faits et furent conduits vers une destination inconnue dont ils ne revinrent jamais.
Les corps des cadavres étant trop nombreux, tous ne purent être enterrés. Ils furent alors jetés dans les puits et dans les gorges de Kherrata. Les miliciens Européens décidèrent de réemployer les « techniques » que leurs « camarades » Allemands avaient utilisé dans les camps de la mort. Ils brûlèrent les corps dans des fours à chaux selon la logique voulant que « s’il n’y a pas de corps il n’y a pas de victimes ». Saci Benhamla, qui habitait à quelques centaines de mètres du four à chaux d’Héliopolis, décrivait « l’insupportable odeur de chair brûlée et l’incessant va-et-vient des camions venant décharger les cadavres, qui brûlaient ensuite en dégageant une fumée bleuâtre ». Le même homme racontait, à Kef-El-Boumba, « j’ai vu des Français faire descendre d’un camion cinq personnes les mains ligotées, les mettre sur la route, les arroser d’essence avant de les brûler vivants », info tiré du livre de Mekhaled Boucif, Chronique d’un massacre : 8 mai 1945, Sétif- Guelma- Kherrata, Paris, Ed. Syros, page 187.
Le nombre des victimes ne fut jamais clairement établit ; les chiffres oscillent entre 1 500 morts selon le gouvernement français et 45 000 selon les nationalistes Algériens qui reprirent les chiffres du consul général des Etats-Unis à Alger.
Au-delà des chiffres, les massacres laissèrent des souvenirs effroyables à ceux qui les avaient vécus. Un bachagha travaillant pour l’administration française expliqua au journal colonialiste, Le Courrier Algérien : « jamais, tant que je vivrai, je n’oublierai le souvenir de ces viols, des incendies, de ces canons, des ces mitrailleuses, de ces troupes, l’arme au pied, amassées aux abords du village et dans le village, de ces arrestations, de ces exécutions massives, de ces délations de fellahs terrorisés mentant à longueur de journée pour se disculper », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 664.
Parallèlement, une vague de répression toucha les trois tendances du mouvement national algérien qui s’étaient unies au sein des Amis du Manifeste et de la Liberté. Ceux-ci furent dissous, par les autorités françaises, le 15 mai 1945. Les militants nationalistes qui avaient exercé des responsabilités publiques, furent envoyés en prison. En novembre 1945, le nombre des arrestations s’élevait à 4 560 pour toute l’Algérie. Selon Charles-André Julien, « la plupart des arrestations avaient été faites sans preuves », info tiré du livre de Julien Charles-André, L’Afrique du Nord en marche, op. cit., page 263.
Les tribunaux militaires avaient prononcé 557 non-lieux, 1307 condamnations, dont 99 à mort, 64 aux travaux forcés à perpétuité, 329 aux travaux forcés à temps et 250 acquittements. Messali Hadj fut déporté à Brazzaville, Ferhat Abbas alors dirigeant des Amis du Manifeste et de la Liberté fut envoyé en prison ainsi que le président de l’Association des Ouléma, le Cheikh Bachir El Ibrahimi.
Ces terribles massacres ne furent pas l’œuvre du gouvernement de Vichy mais celui du gouvernement de la France Libre qui s’était opposé au nazisme. Tous les grands mouvements politiques issus de la résistance y étaient présents, des gaullistes aux communistes en passant par les socialistes et les démocrates chrétiens. Tous furent agents actifs et complices des massacres du Nord-Constantinois. Le ministre de l’air qui fit bombarder le Nord-Constantinois, était le communiste Charles Tillon qui avait dirigé les Francs-Tireurs et Partisans.
Dans les colonnes de Fraternité du 17 mai 1945, les socialistes blâmèrent ceux qui « avaient sali la grande heure de la Victoire des démocraties » et estimèrent que « la grande masse des populations musulmanes n’avait pas encore atteint le degré d’évolution minimum nécessaire pour justifier les revendications du Manifeste ; le fait que les élites dirigeantes aient organisé et déclenché ce mouvement n’indique pas non plus que celles-ci ont une maturité politique », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 667-668. Le Parti Communiste Français dénonçait l’action « d’agents secrets hitlériens et d’autres agents camouflés dans des organisations qui se prétendent démocratiques au service de l’impérialisme fasciste », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, Paris, PUF, 1979, page 597.
Dans son édition du 12 mai 1945, L’Humanité appela à « châtier impitoyablement et rapidement les organisateurs de la révolte et les hommes de mains qui ont dirigé l’émeute ». Le 31 mai 1945, le journal communiste recommandait de « punir comme ils le mérite les tueurs hitlériens ayant participé aux évènements de mai 1945, et les chefs pseudo-nationalistes », info tiré du livre de Kaddache Mahfoud, Histoire du nationalisme algérien, Tome II, 1939-1951, op. cit., page 668. Le Parti Communiste Français pour qui l’aspiration à l’indépendance était étrangère à la population algérienne, se félicita des sanctions prises contre Messali Hadj, Ferhat Abbas et le Cheikh Bachir El Ibrahimi, ainsi que de la dissolution des Amis du Manifeste et de la Liberté.
Suivant la ligne politique du Parti Communiste Français, le 31 mai 1945, Amar Ouzegane, le premier secrétaire du Parti Communiste Algérien, dénonça « la collusion criminelle des faux nationalistes du Parti du Peuple Algérien avec la Haute Administration non épurée et les soutiens du fascisme », info tiré du livre de Ageron Charle-Robert, Histoire de l’Algérie contemporaine, Tome II, op. cit., page 597. Liberté, l’organe du Parti Communiste Algérien, parlait de « complot fasciste » dont les militants du Parti du Peuple Algérien étaient les principaux agents. Le Parti Communiste Algérien qui était formellement indépendant et qui, dans les faits, s’alignait totalement sur la politique du Parti Communiste Français, refusait de prendre en compte les aspirations nationales du peuple algérien.
Malgré la répression, les militants clandestins du Parti du Peuple Algérien continuaient de mener leur action politique. Dans un tract distribué au alentour du 25 juin 1945 dans la région d’Alger, le Parti du Peuple Algérien affirmait : « le peuple algérien vient de vivre l’épisode le plus dramatique et le plus sanglant de sa lutte plus que séculaire contre l’Impérialisme le plus rapace, le plus tyrannique, le plus aberré. […] Les journées du 1er et du 8 mai 1945 sont désormais inscrites en lettres de sang dans l’histoire de notre grand combat pour la libération de la Patrie Algérienne. 500 000 de nos frères, calmes, dignes, mais farouchement résolus, ont parcouru les rues de nos villes au mépris des mitrailles, galvanisés par une foi indomptable en l’idéal de Libération Nationale ». Dénonçant l’unanimisme de la presse et des partis politiques français, le tract ajoutait :« l’union sacrée est réalisée quand il s’agit d’accuser l’Arabe. Même nos socialistes, même nos impérialo-communistes », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Analysant la signification historique de ces massacres le tract du Parti du Peuple Algérien expliquait : « les massacres sont l’unique moyen de sauver les privilèges hideux du colonialisme, si ce n’est en exterminant les Arabes. Ils en ont tué 35 000. Il en reste 9 965 000, qui sont prêts à mourir et qui sont prêts… à se DEFENDRE. Car les évènements ont scellé d’un lien d’acier l’unité du peuple algérien ». Le tract se concluait en affirmant : « Tout cela c’est la déconfiture du régime colonial français », info tiré du Centre des archives d’outre-mer 11h 58.
Ces massacres marquèrent profondément toute une génération de jeunes militants nationalistes révolutionnaires Algériens qui furent à l’origine de l’insurrection du 1er novembre 1954. Cela fit dire à certains historiens, tels que Mohammed Harbi, que la révolution algérienne avait véritablement commencé le 8 mai 1945 à Sétif. Pour l’un des hommes qui organisa l’insurrection du 1er novembre, Mohammed Boudiaf, le 8 mai 1945 fut le point de départ de son engagement dans les rangs nationalistes : « Le 8 mai 1945, expliquait-il, fut le point de départ d’une prise de conscience », info tiré du livre de Boudiaf Mohammed, La préparation du 1ier novembre, Ed. Etoile, 1976, page 10.
oumma.com
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Âgée de 18 ans, Amina Mabizari est admise dans 7 universités américaines.
Après avoir postulé dans 8 universités du groupe Ivy League, la jeune Américaine Amina Mabizari a été admise dans 7 d’entre elles.
Des efforts fructueux
Lorsque Amina a postulé dans ces 8 universités, elle ne s’attendait pas à obtenir autant de réponses positives et avait simplement « peur de ne pas être acceptée nulle part » : « C’est drôle, maintenant que je suis acceptée dans la plupart de ces universités, de repenser à la raison pour laquelle j’ai postulé pour autant d’établissement ». Elle a ainsi reçu une lettre d’acceptation de Princeton, de Columbia, de Cornell, Brown, Dartmouth, de Pennsylvania mais également de Yale.
Etant plus jeune, l’une de ses enseignantes avait pourtant affirmé qu’elle était « l’élève la moins performante de la classe, trouvant des difficultés à lire et identifier les lettres ». Amina redoublera d’efforts avec le soutien de sa mère et lira durant de nombreuses heures l’anglais en vue de progresser jusqu’à devenir la meilleure élève. Elle deviendra l’an qui suit l’élève la plus douée et talentueuse après avoir brillamment réussi des examens de son école.
Aujourd’hui, elle espère faire des études de droit afin de devenir sénatrice. Interrogée par le quotidien Houston Chronicle, elle invite les jeunes étudiants à croire en eux : « Ne vous dîtes jamais que vous êtes moins bon que d’autres personnes venus d’autres régions. Vous êtes aussi capable que quiconque ».
katibin.fr
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Participez à ce concours d’éloquence qui valorise la prise de paroles des jeunes.
À la veille de l’échéance présidentielle de 2017, l’idée est d’abord partie d’une volonté de favoriser la prise de parole des citoyens. C’est pourquoi une association seynoise a pensé mettre en place un Grand Débat à La Seyne sur Mer, dans le département du Var.
Le Grand Débat, c’est quoi ?
Mis en place avec la participation du dispositif « OSE TES IDÉES » et du fond de participation des habitants, cette action est menée par un groupe de jeunes et soutenue par l’association Univers-cité et ses partenaires, le Grand Débat est ouvert à tous les habitants du bassin toulonnais à partir de 16 ans et dans la limite des 48 places disponibles.
Valoriser la prise de parole des jeunes.
Ce concours valorise la prise de parole en mêlant art de l’éloquence, éveil artistique et positionnement intellectuel. L’usage des différentes formes d’expression orales est encouragé dans le cadre du Grand Débat : « Nous valorisons l’oral, l’art oratoire, l’éloquence du candidat, qui pourra utiliser tout artifice visuel ou accessoire sans entraîner son élimination mais qui ne feront pas l’objet d’une valorisation aux yeux du jury. L’originalité de la prestation sera prise en compte dans le délibéré. »
Comment se déroulera le concours ?
Le concours se déroulera sur trois lieux différents, qui permettront de donner la parole aux citoyens de différentes zones du territoire : « Conscients de l’éloignement de certains, des débats publics, nous aimerions, par cette action, leur offrir la possibilité de s’exprimer. » Le concours prend la forme d’une joute oratoire dans laquelle chaque candidat répond au sujet, qui lui est donné par l’affirmative ou la négative, conformément aux directives qui lui sont communiquées par les organisateurs, à savoir répondre positivement ou négativement.
Vous souhaitez y participer et tenter de remporter de nombreux cadeaux ?
Pour avoir l’opportunité de faire partie des participants ou assister au concours, vous pouvez contacter l’association qui organise cet événement :
Téléphone : 09 80 74 92 93.
Adresse mail : univers-cite@outlook.fr
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Pour cette première édition, les participants sont invités à s’inscrire dès à présent en déposant leur candidature à l’email suivant : grand-debat@uc83.fr
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katibin.fr***

France : Pas de finale pour l’équipe de football (11, 13 ans) entrainée par une femme voilée.
En France, porter un voile sur le bord du terrain est devenu « une provocation », la « démonstration de la présence de l’islam radical », « une atteinte à la laïcité et aux valeurs de la République ». C’est en tout cas ce qui est mis en avant par toutes les instances du pouvoir pour cacher malhabilement un racisme et une islamophobie systémique.
Le club de foot de l’AS Surieux d’Echirolles (Isère) n’aura pas eu le droit de jouer la finale de la Coupe Rhônes-Alpes. La raison : l’entraineur étant voilée, la Ligue de Football Française a refusé l’accès au terrain au coach.
En guise de protestation, le club et les parents des jeunes joueurs âgés de 11 à 13 ans ont refusé de se déplacer pour la finale et ont déclaré forfait. Un soutien de toute une ville à Essia Aouini, 19 ans, qui a hissé l’équipe jusqu’à la dernière marche de la compétition.
«Nous considérons qu’il s’agit d’une véritable injustice car Essia a eu le mérite de conduire son équipe jusqu’en finale. Il n’est donc pas question de jouer sans elle. C’est un geste de solidarité», explique Amar Benguedouar, président de l’AS Surieux, club qui accueille les jeunes des cités sensibles d’Echirolles, près de Grenoble.
L’AS Surieux a fait remarquer qu’Essia a toujours porté son voile depuis le début de la saison. Pour l’Observatoire de la Laïcité, il s’agirait de se pencher sérieusement sur cette décision qui s’appuie visiblement sur un règlement qui ne respecte pas les lois de la République.
Evidemment, le président de la région, Laurent Wauquiez, a tenu à apporter son soutien à la décision de la Ligue. Il s’est félicité de cette nouvelle exclusion contre une femme voilée. Le même qui est invité chaque année à La grande Mosquée de Lyon malgré ses prises de position contre la visibilité des musulmans en France.
Essia, étudiante en licence d’anglais, nie faire du prosélytisme en portant son voile.
«L’acceptation des différences fait partie des valeurs du football. Comment voulez-vous qu’un tel message soit transmis à des jeunes lorsqu’on leur annonce qu’en raison d’une différence l’éducatrice ne peut accompagner son équipe», écrit la jeune femme au président de la Ligue.
Même le maire de la ville d’Echirolles, Renzo Sulli, a saisi le président de la FFF pour obtenir l’autorisation nécessaire à la coach. Sans résultat malheureusement.
«Tout cela est triste, déplorable», lâche Essia, dépitée. «On est forcément déçues de ne pas jouer cette finale mais on soutient notre coach», confie une jeune joueuse de l’AS Surieux.
Les institutions françaises continuent petit à petit l’exclusion de la femme voilée de la sphère publique. Une démarche qui a débuté par la loi de 2004 contre les jeunes lycéennes voilées.
islametinfo.fr
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France : Que pourra faire le président de la République une fois élu ?
Dimanche soir, les Français auront choisi leur nouveau président de la République. Garant de la démocratie et du respect des libertés, le chef de l’Etat peut organiser des referendums, saisir le Conseil constitutionnel ou bien dissoudre l’Assemblée nationale. Chef des armées, il est aussi le détenteur des codes nucléaires.
Reportage vidéo à voir sur www.mouslimradio.info.
w w w . m o u s l i m r a d i o . i n f o .

oumma.com
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
Un poste de police sioniste à l’est de Jérusalem
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La police israélienne a ouvert le dimanche matin le première poste de police sioniste dans les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est, et pour la première fois depuis l’occupation de la ville, il y a 50 ans.
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L’Occupation approuve le projet de loi de l’Etat juif
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Appel à la désobéissance civile complète face à l’occupation
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Les factions nationales appelées à soutenir la question des prisonniers
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L’occupation attaque la maison du martyr Milad Ayyash à Jérusalem
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L’occupation vole le contenu d’une tente de solidarité et le véhicule d’un prisonnier à Bethléem
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9 blessés lors des confrontations au sud de Naplouse
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Al-Bira: 30 blessés dans une attaque armée contre une fête de fin d’année
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Incursion israélienne limitée à l’est de Deir al-Balah
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Avertissement de l’alimentation forcée au 21ème jour de la grève de la faim des prisonniers palestiniens
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Sept Palestiniens arrêtés en Cisjordanie et à Jérusalem occupée
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Les Jérusalémites interdits de manifester en solidarité avec les prisonniers
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Ismail Haniyeh élu nouveau chef du Hamas
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Les dangers de l’alimentation forcée sur les prisonniers grévistes
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L’occupation continue de fermer l’entrée de Beta au sud de Naplouse
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Les prisonniers du Hamas renouvellent leur confiance au nouveau chef
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information

Flash info du 14 Joumada Al Awwal 1438.

Flash info du 14 Joumada Al Awwal 1438.
Ecouter le coran, des hadith, des conférences, des annonces divers, des anashids (sans musique), et bien d’autres choses, en direct sur #mouslimradio :
www.MouslimRadio.info
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L’utilisation de la Soutra pour la sâlat.
Disposer « une soutra » avant de prier est un acte essentiel pour espérer effectuer sa prière en toute tranquillité et quelle soit validée par Allah (subhannou wa ta’ala).
La sutra est ce que le prieur peut mettre devant lui pour se protéger d’autrui. Le but de son utilisation n’est pas qu’elle le protège totalement comme un rempart. Il suffit qu’elle soit de la hauteur de la partie postérieure de la selle d’un chameau c’est-à-dire 2/3 d’une coudée (30 cm environ), et même si on se protège avec une flèche c’est suffisant.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a montré la largeur minimum et maximum ainsi que la hauteur maximum de la sutra. Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a prié vers un mur, il a prié vers une monture, il a prié vers une petite lance plantée dans le sol devant lui, ceci nous montre que la sutra devant le prieur est quelque chose placé debout que ce soit grand ou pas, large ou fin.
Tout ceci convient donc comme sutra que ce soit un bâton, un mur, une pierre, un arbre, une selle, une lance plantée sur le sol. Si on ne trouve pas quelque chose qui tient debout.
Concernant la distance réglementé, il y avait entre l’endroit où le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) se prosternait et le mur vers lequel il priait un espace suffisant pour qu’une brebis puisse passer.
Le positionnement de la sutra avant la prière comporte de nombreux bienfaits. En effet, elle évite l’annulation de la prière causé par un passage, protège le regard du prieur, cela facilite le passage de tierce personne en évitant que celle-ci ne tombe dans un grave pêché et il s’agit surtout d’un ordre de Notre Prophète Muhammad (sallAllahou ‘alayhi wa salam).
Le musulman qui souhaite suivre la Sunna et être guidé à chaque pas place une sutra systématiquement avant l’acte de la sâlat. On rapporte d’Abî Jouhaym Ibnil Hârith (Qu’Allah l’agrée), qu’il a dit que le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a précisé: «Si celui qui passe juste devant le prieur connaissait la gravité du péché qu’il commet, il aurait préféré attendre 40 (ans), plutôt que de passer devant lui». [Hadith 180 agréé et la version citée est celle d’Al Boukhâri].
Cependant, il existe trois cas où la sutra n’a pas lieu d’être disposé avant l’exécution de la prière. Le prieur peut se passer de son placement s’il prit sur le mâtaf (déambulatoire, trajet pavé autour de la Ka’aba), pendant le tâwaf (circulation autour de la Ka’aba), et dans une mosquée s’il prit avec la présence d’un imam.
Le Prophète (sallAllahou ‘alayhi wa salam) a dit : «Lorsque l’un d’entre vous prie, qu’il le fasse en face d’une sutra et qu’il s’en rapproche et qu’il ne laisse personne passer entre lui et la sutra». (Rapporté par Abou Dâwoûd, Ibn Mâdjah et Ibn Khazīmah).
Les femmes sont aussi concernées par cette Sunna lorsqu’elles prient chez elles les cinq prières obligatoires.
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Amnesty International : la France ne respecte pas les droits des migrants.
Un rapport d’Amnesty International vient d’être rendu public au sujet de la France. Ce sont des violations systématiques des droits des migrants qui sont dénoncées sur le territoire français.
Des migrants renvoyés en Italie.
Amnesty International stipule des contrôles systématiques des migrants, un traitement déplorable des mineurs, une atteinte au droit d’asile. Les migrants se voyant refuser le droit de s’installer en France sont renvoyés vers l’Italie, depuis le département des Alpes-Maritimes particulièrement. Les migrants venant justement d’Italie font le voyage en train. Des contrôles ont lieu à bord, parfois même à cause de délation de la part des passagers ou du personnel. Il faut savoir qu’en France chaque migrant a droit à :
l’assistance d’un interprète,
l’accès à un appel téléphonique,
une demande d’asile,
la possibilité de recours contre la décision de refus d’entrée du territoire.
Si le droit français indique ces points, sur le terrain tout n’est pas appliqué puisque les personnes sont renvoyées vers l’Italie sans recevoir de notification écrite de refus d’entrée et d’installation en France. Ou alors le document remis n’est pas complet. D’autres migrants n’ont même pas le temps de déposer une demande.
Pourquoi bafouer les droits des migrants ? Pour les dissuader de venir en France et de s’y installer. Pourtant hommes, femmes et même enfants viennent souvent de pays en guerre, connaissant une instabilité politique, leurs vies étant même en danger.
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France : La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie « dénonce le procès politique intenté à son président Abdelaziz Chaambi ».
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie dénonce le procès politique intenté à son président Abdelaziz Chaambi pour avoir défendu la famille Msakni à qui l’Etat avait enlevé en Février 2015 ses 5 enfants, dont un nourrisson de 3 mois privé du sein de sa mère, sous le prétexte incompréhensible et injustifié de « culture radicale » des parents.
Les militants et sympathisants de CRI s’étaient mobilisés contre cette injustice et les enfants avaient rejoint le foyer familial au bout de quelques jours, et les résultats de cette mobilisation avaient déplu aux autorités administratives et judiciaires qui ont décidé deux ans après les évènements de poursuivre notre président, au titre, semble-t-il, de représailles !
Après avoir accusé Monsieur Chaambi de radicalisme, puis de menaces envers le Conseil Général de l’Isère, le Procureur de la République de Bourgoin Jallieu a décidé de le poursuivre le 15 Février 2017 à 14h30 pour : « outrage et atteinte à la dignité de fonctionnaires » que personne ne connait puisque Monsieur Chaambi n’avait eu aucun interlocuteur direct du Conseil Général dans cette affaire lors des différentes manifestations.
La Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie demande l’annulation de ce procès politique dont les objectifs évidents consistent à vouloir punir un militant et en dissuader d’autres de défendre les familles ou personnes victimes d’islamophobie et d’arbitraire d’Etat .
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Tunisie : Le ministre tunisien des Affaires étrangères justifie le décret de Trump interdisant le territoire aux ressortissants de 7 pays musulmans.
Dans une interview, le ministre tunisien des Affaires étrangères Khemaies Jhinaoui a déclaré comprendre les décrets discriminatoires pris par Donald Trump contre les ressortissants musulmans.
Le président américain a interdit l’accès aux Etats-Unis aux ressortissants de 7 pays musulmans. La Tunisie, dont énormément de ressortissant ont rejoint la Syrie pour combattre Bachar, a été épargnée. Une décision que tente d’expliquer le ministère tunisien devant les caméras russes.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Viol de Théo : Bamboula c’est convenable déclare un policier en direct à la Télévision.
Alors que les emprisonnements de révoltés se multiplient sous tous les motifs, les 4 policiers qui ont violé Théo sont eux en liberté.
Et les insultes aux populations stigmatisées ne s’arrêtent pas là. L’IGPN police des police a estimé que le « viol délibéré » était « involontaire », ce^lle-ci le requalifie donc de simple « interpellation violente »…
Dans l’émission C’est dans l’air, Luc Poignant, représentant de la police a affirmé sans sourciller :
« Bamboula c’est convenable … » en faisant référence aux insultes qu’ont proféré les policiers à Théo.
On comprend mieux désormais l’état d’esprit dans la police où le racisme est une opinion … convenable.
Pas sûr que les minorités africaines et musulmanes voient les choses de la même manière.
Reportage vidéo a voir sur www.mouslimradio.info.
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France : Aide aux migrants : 3 000 euros d’amende avec sursis pour Cédric Herrou.
Pour être venu en aide à des migrants clandestins dans la vallée franco-italienne de la Roya, Cédric Herrou a été condamné à 3 000 euros d’amende avec sursis par le tribunal correctionnel de Nice, vendredi 10 février, pour la prise en charge des migrants sur le territoire italien.
L’agriculteur a, dans le même temps, été relaxé pour l’aide au séjour et à la circulation qu’il a offert. Il était aussi poursuivi pour avoir installé, en octobre 2016, une cinquantaine d’Erythréens dans un centre de vacances désaffecté qui appartient à la SNCF, à Saint-Dalmas-de-Tende (Alpes-Maritimes).
Lors de son audience le 4 janvier à Nice, Cédric Herrou avait déclaré : « Je le fais parce qu’il y a des gens qui ont un problème. Il y a des gens qui sont morts sur l’autoroute, il y a des familles qui souffrent, il y a un Etat qui a mis des frontières en place et qui n’en gère absolument pas les conséquences. »
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Canada : des associations musulmanes exigent des mesures contre l’islamophobie .
Une semaine après le tragique attentat survenue dans une mosquée à Québec, une coalition d’une quarantaine d’associations musulmanes ont exigé des mesures concrètes contre l’islamophobie.
Plusieurs de leurs représentants ont été reçus au Parlement ce mercredi. Ils ont présenté une lettre ouverte, laquelle a été appuyée par Amnesty International et la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles. « On ne dit pas que le Canada et le Québec sont des environnements racistes. On dit qu’il y a des systèmes sexistes et des systèmes racistes et qu’il faut apporter des solutions », déclarait Haroun Bouazzi, co-président de l’Association des musulmans et des Arabes pour la laïcité (AMAL) au Québec.
Dans ses recommandations, la coalition demande trois niveaux d’interventions : au niveau municipal, l’attribution de ressources supplémentaires aux services de police locaux, notamment pour la conduite d’enquêtes sur les crimes haineux ; au niveau provincial, la création d’une direction générale de l’action contre le racisme ; et au niveau fédéral, l’adoption unanime, par tous les parlementaires, de la motion déposée par Iqra Khalid, députée de Mississauga-Erin Mills, sur les moyens de diminuer, voire d’éliminer le racisme systémique et la discrimination religieuse.
« On ne peut plus se permettre de laisser-faire ou de laisser-aller. Le laisser-aller peut coûter des vies et on l’a vu. Et ça nous fait mal et c’est fait, la douleur est là », a exprimé Sabrina Sassi, étudiante au doctorat à l’Université Laval, frappée de plein fouet par le drame au Québec. Une des victimes était chercheur rattaché à la faculté tandis que l’auteur présumé de l’attentat était un étudiant de l’université.
La coalition souhaite aussi que la date du 29 janvier – jour de l’attentat contre le CCIQ – soit retenue comme journée nationale de lutte contre l’islamophobie et qu’un cours obligatoire sur le racisme et la discrimination soit offert dans les écoles secondaires.
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France : Le profil des descendants d’immigrés en France passé au crible par l’INSEE .
En 2015, 7,3 millions de personnes nées en France ont au moins un parent immigré, soit 11 % de la population selon une étude de l’INSEE publiée mercredi 8 février (plus bas). La France compte davantage de descendants d’immigrés que d’immigrés eux-mêmes. Ils sont 5,9 millions, soit moins de 9 % de la population.
Parmi ces 7,3 millions de personnes, 45 % d’entre elles sont d’origines européennes (arrivés dans les années 1930 pour ceux venant d’Espagne et d’Italie ou vers les années 1970 pour le Portugal), tandis que 31 % sont issues de l’immigration maghrébine (Maroc, Algérie, Tunisie), 9 % d’Asie (Turquie, Laos, Vietnam et Cambodge) et 4 % viennent d’Amérique ou d’Océanie.
L’étude rappelle que les descendants d’immigrés sont plus jeunes que le reste de la population. Ainsi, 47 % d’entre eux ont moins de 25 ans contre 30 % de la population n’ayant pas de parents immigrés. Les plus jeunes descendants d’immigrés sont d’origine africaine : 42 % du Maghreb et 19 % d’Afrique subsaharienne. Aussi, la plupart vivent à Paris, 30 % des descendants d’immigrés vivent en Île-de-France, 28 % dans des agglomérations de plus de 200 000 habitants. Seulement 11 % d’entre eux vivent dans les zones rurales.
Un départ du foyer parental plus tardif pour les descendants d’immigrés.
L’INSEE relève la mixité des couples parmi les descendants d’immigrés de 25 ans ou plus. 67 % d’entre eux qui ont plus de 25 ans, vivant en couple, ont un conjoint qui n’est ni immigré ni descendant d’immigré. Ils ne sont qu’une minorité, soit 20 % à être en couple avec un conjoint immigré. « Ainsi, la mixité du couple parental semble favoriser la mixité des couples formés par leurs enfants », indique l’étude, qui relève par ailleurs que les jeunes descendants d’immigrés décohabitent plus tardivement que les autres jeunes.
77 % des descendants d’immigrés âgés de 18 à 24 ans n’ont en effet pas encore quitté le foyer parental, contre 62 % des jeunes qui ne sont ni immigrés ni descendants d’immigrés. « Ce constat général est encore plus prononcé parmi les jeunes ayant deux parents immigrés ; 85 % d’entre eux vivent encore avec leurs parents », fait part l’INSEE, soulignant que les descendants d’origine africaine ou asiatique sont plus nombreux à cohabiter avec leurs parents (respectivement 83 % et 79 %) que les descendants d’origine européenne (67 %).
« Les jeunes descendants de couples mixtes ont en revanche un comportement de décohabitation plus proche de celui des jeunes sans lien direct avec la migration », précise-t-on dans l’étude. Les jeunes descendants de 25 à 34 ans restent aussi plus longtemps chez leurs parents ; ils y vivent deux fois plus fréquemment (21 %) que ceux n’ayant pas de lien direct avec la migration (10 %).
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Le saviez-vous? Le stylo-plume inventé par Al-Mu’izz.
Les éternels clichés autour du « gouverneur musulman » ont la vie dure et ne font que considérablement augmenter aux yeux de l’occident.
Ce que beaucoup de monde ignorent, c’est que de très nombreux chefs musulmans ont non seulement défendus les avancées technologiques, mais ont également insisté pour que certaines inventions puissent voir le jour.
C’est le cas d’ Al-Muizz li-Dîn Allah, né en 932 à Kutama en Algérie et mort en 975 au Caire (Egypte). Il est le quatrième calife fatimide, successeur d’Al-Mansur en 953. Abu Mansur Nizar al-Aziz Billah qui lui succéda en 975, souhaitait avoir un moyen d’écrire sans qu’il n’ait à tâcher ses mains ou ses vêtements.
C’est à ce moment là qu’on décide de fournir à Al-Muizz li-Dîn Allah un stylo qui puise l’encre dans un réservoir pour ensuite alimenter une plume. Bien que la technique utilisée ne nous soit pas parvenue, le Qadi Al-Nu’man Banu Tamim explique dans son livre « Kitab al-Majalis wal-musayardt » que c’est à lui qui est revenu à la charge pour commander et suivre la construction de ce stylo.
Le stylo fut le résultat d’un développement progressif qui a abouti en 1884 à l‘élaboration du stylo à capillarité par Lewis Edson Waterman.
Ce qui avait attiré l’attention du calife fatimide est le fait que le stylo plume limite la direction et l’angle d’attaque de la pointe avec la feuille. Une véritable révolution en terme graphologique qui a bouleversé l’art de l’écriture à travers le monde entier.
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Etats-Unis : tué par la police, la famille d’Ezell Ford touchera 1,5 million de dollars.
En 2014, à Los Angeles, la police tuait Ezell Ford, un jeune homme noir. Le conseil municipal de la ville vient de voter le versement de 1,5 million de dollars pour sa famille.
Une interpellation sans raison valable.
Après le décès de Ezell Ford, les manifestations pour dénoncer les violences policières s’étaient multipliées. La famille de la victime avait indiqué qu’il souffrait de troubles mentaux entraînant donc un comportement ne paraissant pas « normal ». Cela avait ainsi été le cas le soir de sa mort. Suite à une enquête menée par un comité de supervision de la police, il avait été noté que les officiers concernés avaient violé les pratiques de la police de Los Angeles.
Les deux officiers ayant abattu le citoyen américain ne seront cependant pas poursuivis au pénal.
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Génocide des Rohingyas : l’ONU veut une commission d’enquête indépendante.
L’ONU souligne le manque de crédibilité du rapport rendu par la Commission d’Etat de la Birmanie concernant le génocide des Rohingyas. L’organisation mondiale demande une nouvelle commission.
La Birmanie ne mène pas d’enquête efficace.
Le Haut-commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a rendu publiques les conclusions portant sur les agressions et violences que subissent les Rohingyas en Birmanie. Les Nations Unies devaient ouvrir une enquête qui soit impartiale et indépendante. Le Haut-commissariat de l’ONU indique que les forces de sécurité birmanes commettent des viols, des massacres de bébés et d’enfants notamment. Il y a également des enlèvements de musulmans et des passages à tabac. La Birmanie ne mène pas d’enquête efficace au sujet de toutes ces violations des droits de l’homme.
L’ONU a demandé la formation d’une commission d’enquête qui soit impartiale avec des observateurs internationaux. Peut-être que cela donnera donc des résultats concrets !
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Belgique : étrangers et binationaux nés dans le pays bientôt expulsables ?
Chez nos voisins belges, un projet de loi pour faciliter l’expulsion d’étrangers mais aussi de binationaux nés dans le pays vient d’être voté.
Risque d’un abus de l’utilisation de cette loi.
Les personnes ayant des origines étrangères mais nées en Belgique ainsi que celles arrivées avant l’âge de 12 ans dans le pays pourront être expulsées si elles sont considérées comme une « menace pour l’ordre public ou la sécurité nationale ». Pour l’heure ce sont des profils liés au terrorisme et au banditisme qui seraient concernés par cette loi. Cependant les associations, tout comme les Ecologistes et les Socialistes, pointent le texte du doigt. L’écologiste Benoît Hellings a d’ailleurs déclaré : « Si une personne est réellement dangereuse, il sera plus sécurisant qu’elle soit condamnée et emprisonnée plutôt que de l’envoyer à 15 km de l’autre côté de la frontière à l’heure de Facebook, Twitter, Instagram et Telegram » . Le risque d’un abus de l’utilisation de cette loi est mis en évidence.
Emir Kir du Parti Socialiste parle également de possibles expulsions sans condamnation et sur la seule base de renseignements.
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Yusuf Islam obtient le soutien du président turc, Recep Tayyip Erdogan, pour financer une mosquée.
Le chanteur britannique Cat Stevens, alias Yusuf Islam, a rencontré le président turc Recep Tayyip Erdogan à Ankara mercredi 8 février. Ils ont tous les deux discuté du projet de construction d’une mosquée à Cambridge, dans le sud-est de l’Angleterre. Yusuf Islam a déclaré que « Cambridge est le cerveau de la société britannique », ajoutant qu’« il est très important d’avoir une mosquée qui reflète le style et la culture britanniques au centre du cœur intellectuel d’Angleterre ».
Le président Recep Tayyip Erdogan a tweeté une photo de lui avec la pop star convertie à l’islam en 1977. « Mon cher frère Yusuf, je te remercie pour ta visite et ta conversation sincère. Bienvenue en Turquie », peut-on y lire.
Toujours sur Twitter, le Premier ministre Numan Kurtulmus a annoncé qu’il a rencontré le chanteur et qu’il a été question de la contribution de la Diyanet, la présidence des Affaires religieuses turques, à la construction de la mosquée. Le montant de l’aide n’a pas encore été révélé pour cette mosquée qui devrait pouvoir accueillir jusqu’à 1 000 fidèles et ouvrir ses portes en novembre 2018. En 2013, Cat Stevens avait déjà rencontré Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre, au sujet du financement de ce lieu de culte.
Yusuf Islam a également salué l’engagement de la Turquie dans la crise des réfugiés. Les autorités turques disent avoir accueilli plus de 2,7 millions de réfugiés syriens et 300 000 irakiens.
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Une Canadienne musulmane, refoulée à la frontière américaine, raconte son interrogatoire brutal et humiliant.
En ces temps agités par de fortes turbulences, sur la terre ferme comme dans les airs, où le moindre mot en arabe suffit à débarquer d’un avion US, manu militari, le passager qui l’a prononcé, et où l’appartenance à la religion musulmane équivaut à un crime de lèse-majesté au pays enchanté de Trump, il faut bien plus que montrer patte blanche, quand on a pour bible le Coran, pour être autorisé à entrer sur le terrain miné que sont devenus les Etats-Unis…
Fadwa Alaoui, une Canadienne d’origine marocaine installée depuis plus de vingt ans au Québec, en a fait récemment l’amère expérience, lors de sa pérégrination mensuelle vers le Vermont pour y faire du shopping.
Alors que son aller-retour régulier s’effectue sans encombre depuis plusieurs années, trouvant devant elle, grandes ouvertes, les portes donnant accès au verdoyant Etat de l’Amérique idéalisée, quelle ne fut pas sa stupeur de se voir bloquée à la frontière, pour la première fois de sa vie, par des douaniers inquisiteurs qui l’ont interrogée sans prendre de gants, puis refoulée sans ménagement.
C’est sur les ondes de Radio Canada que Fadwa Alaoui a relaté l’ostracisme mortifiant dont elle a été victime pendant quatre heures interminables, gardant un souvenir cuisant de l’interrogatoire auquel elle a été soumise par des autorités frontalières américaines dont tout, en elles, trahissait le racisme anti-musulmans.
Après lui avoir demandé de but en blanc sa religion, chose impensable il y a peu encore, les gentils douaniers de l’ère Trump l’ont interrogée sur sa pratique religieuse, en lui lançant un regard noir, avant de lui poser une question pour le moins déstabilisante qui ne souffrait aucune dérobade, ni mutisme …
« « Vous êtes musulmane ? », m’ont-ils demandé immédiatement, sur un ton autoritaire. « Oui », leur ai-je dit. Ils ont tout de suite enchaîné : « Pratiquez-vous votre religion? ». « Oui, bien sûr », ai-je répondu, et ils ont poursuivi de plus belle : « Dans quelle mosquée allez-vous ? Quel est le nom de l’imam? Où priez-vous ? Où les femmes prient-elles ? » », a raconté Fadwa Alaoui, confiant avoir été désarçonnée par leur énième question et non des moindres : « Que pensez-vous de Donald Trump ? ».
Interloquée, celle-ci s’exclama « Quoi ? », ce à quoi son interlocuteur lui rétorqua, en haussant la voix : « Que pensez-vous de sa politique ? ». Pour être perverse, cette question piège l’était assurément, et c’est par une pirouette que Fadwa Alaoui a tenté de se sortir de ce guêpier : « Ecoutez, j’ai une vie bien remplie, je n’ai pas le temps de suivre l’actualité. Il fait ce qu’il veut dans son pays », a-t-elle répliqué.
Son téléphone portable confisqué et passé au crible, c’est une application dédiée à des psalmodies du Saint Coran qui aura achevé d’aggraver son cas, faisant d’elle une ressortissante canadienne éminemment suspecte et une intruse indésirable de l’autre côté de la frontière, dans le monde merveilleux de Trump.
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En Israël, une vaste campagne de marketing ne parvient pas à enrayer le déclin du tourisme.
La coûteuse campagne d’Israël visant à attirer plus de touristes depuis l’Europe n’a pas donné de résultat.
Le tourisme vers Israël a de nouveau chuté en 2016, poursuivant sa tendance négative entamée avec l’agression de 2014 contre Gaza, où plus de de 2200 Palestiniens ont été tués, dont 550 enfants. Les chiffres du Bureau central des statistiques d’Israël montrent que les efforts coûteux engagés pour donner au pays l’image d’une destination amusante, insouciante, surtout aux yeux des Européens, sont en train d’échouer.
Globalement, le nombre de visiteurs en Israël a chuté l’année dernière de 1,2 %. Ceci après les baisses encore plus nettes des années précédentes : – 4,4 % en 2015, et – 8,2 % en 2014.
Un gros budget.
En décembre, le quotidien de Tel Aviv, Haaretz, annonçait que le ministère du Tourisme d’Israël « s’était vu accorder l’année dernière son plus gros budget de marketing alors qu’il tentait de modifier l’image d’Israël pour en faire une destination de voyage et étendre l’offre touristique ». La campagne phare, « Deux villes, Un voyage », s’adressait aux touristes européens afin de les attirer à Tel Aviv et Jérusalem.
Elle a coûté plus de 23 millions de dollars, mais des sources au ministère ont révélé à Haaretz que la « campagne faisait un bide ».Israël a aussi fait venir des célébrités de deuxième ordre, aux frais de la princesse, dans l’espoir que leurs publications sur les médias sociaux attireraient des visiteurs. Mais le nombre de visiteurs depuis le plus gros marché d’Israël, à savoir l’Europe, a chuté de 6,5 % l’année dernière, par rapport à celui de 2015.
Pour leur majorité, les visiteurs vers Israël viennent de France – et ce nombre est tombé de 300 000 en 2015 à 293 000 l’année dernière. Il y a eu 18 000 visiteurs de moins venant d’Allemagne – une baisse de 9 %. Le nombre de visiteurs venant de Russie s’est effondré de 414 000 à 285 000.
Israël s’est rattrapé un peu avec l’Asie : il a accueilli 86 000 touristes venant de Chine, contre 52 000 en 2015. Ils étaient environ 37 000 de plus aussi à venir d’Amérique du Nord, pour la plupart, des États-Unis. Les malheurs d’Israël ne font pas exception : la Turquie, qui a connu une tentative de coup d’État militaire en juillet et subi d’atroces bombardements et attentats, a vu le nombre de ses touristes chuter de 21 % l’année dernière.
L’Égypte continue de constater une baisse à deux chiffres du nombre des visiteurs Mais le sentiment général de danger dû à la violence dans la région n’explique pas tout. La Jordanie a réussi à inverser la tendance, enregistrant une augmentation de ses arrivées touristiques de 2,6 % en 2016, selon son ministère du Tourisme. La Jordanie a attiré 3,8 millions de visiteurs, à comparer avec les un peu plus de 3 millions vers Israël.
Un message ambigu, une dure réalité.
Israël essaie de se vendre comme un lieu différent du reste de la région – un avant-poste gai, amical de la civilisation « occidentale », et un agrément dans une région tumultueuse.
Mais cette image de marque est minée par le fait qu’Israël fait régulièrement les gros titres de la presse avec sa violente occupation et sa colonisation agressive de la terre palestinienne, la violence dans les rues des grandes villes où il espère attirer les touristes, les déclarations racistes de ses politiciens et ses tentatives sournoises pour saboter le mouvement non violent de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) en faveur des droits des Palestiniens.
En effet, les dirigeants israéliens persistent à dire que le pays est assailli par des dangers qui pourraient « éliminer tous les Israéliens ». Alors que cette position cherche à gagner une sympathie politique, elle rend en fait l’endroit peu attrayant pour les gens qui voudraient venir y passer un bon moment. Et pendant ce temps, les destinations vers l’Europe du Sud, surtout vers l’Espagne, battent tous les records de tourisme.
À propos, il y a une autre tendance notable en Espagne : depuis l’agression de 2014 contre Gaza, plus de 50 villes espagnoles se sont déclarées « libérées de l’apartheid israélien ».
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Al-Qaïda : Un attentat nucléaire contre la France est imminent.
Selon une information datant de début juillet, un attentat aurait lieu dans les 90 prochains jours aux Etats-Unis, selon un ancien agent des services de renseignement israéliens.
Juval Aviv – actuellement directeur de l’entreprise de renseignement Interfor basée à New York, mais aussi « consultant spécial » pour le congrès américain – a indiqué à Fox News que cette information est basée sur des renseignements obtenus en Europe et au Moyen-orient.
Il a déclaré qu’« un attentat est imminent aux Etats-Unis, cela peut se produire demain ou dans les prochains mois. Au plus tard dans 90 jours ».
Selon Aviv, « l’attentat se produira, tout comme Londres, dans un moyen de transport de masse. Ils toucheront six, sept ou huit villes simultanément pour montrer leur sophistication afin de toucher le moral du public ».
Toujours selon Aviv, « les Américains ne sont pas préparés aux attentats comme en Israël a essayer d’identifier des gens ou des colis suspects ». Et il rajoute « que les signaux d’alerte soient vert, jaune ou rose n’ont aucune signification pour les Américains qui n’ont aucune éducation et doivent y être préparés ».
Enfin, selon Aviv, « le fait de constamment transporter avec soi une bouteille d’eau et une serviette permet, en cas d’attentat de ne pas mourir par inhalation des fumées toxiques dégagées après l’explosion en se l’appliquant sur le visage ». De même, met il en garde « si vous avez un doute quand vous prenez un bus, le métro ou l’avion, n’y mettez pas les pieds. Cela peut être inutile dans 9 cas sur 10, mais cela peut vous sauver la vie. Faites confiance à votre sixième sens ».
Cette information est corroborée par un ancien consultant du FBI qui prétend qu’Al Qaïda s’est non seulement procuré des engins nucléaires, mais qu’il les a introduit aux Etats-Unis et les utilisera dans un très proche avenir.
Paul L. Williams prétend qu’Al Qaïda aurait planifié des attentats nucléaires spectaculaires dans plusieurs villes américaines. Parmi celles-ci : Boston, Los Angeles, Chicago, Dallas, Philadelphia, Miami, Washington et Rappahannock County, Va, une petite ville de Virginie qui abrite le centre de commandement qu’utiliserait la maison blanche en cas de guerre.
Selon lui, « les attentats se produiront entre maintenant et la fin de l’année 2005 ». Il a rajouté « L’Islam prêche la patience. Ils attaqueront quand ils l’auront décidé » !
Selon une source non identifiée proche du Tom Ridge – secrétaire d’Etat à la Sécurité intérieure – les affirmations de Williams sont proches de celles des services de renseignement américains qui confirme que les terroristes ont déjà introduit des engins nucléaires aux Etats-Unis.
Il semblerait par ailleurs que suite à la chute du mur de Berlin du 9 novembre 1989 [que quelques trotskistes français nostalgiques souhaiteraient voir reconstruire…] et la déconfiture de l’empire soviétique en 1991, la mafia Tchétchène aurait vendu une dizaine de mallettes contenant des bombes nucléaires tactiques miniaturisées – initialement destinées à exploser au cœur des villes américaines en cas de conflit nucléaire américano-soviétique capable de causer autant, pour chacun d’entre elles, autant de dégâts que la bombe d’Hiroshima – aux représentants de Ben Laden contre 30 millions de dollars en espèces et 2 tonnes d’héroïne.
Aujourd’hui, une quarantaine de ces mallettes (qui pèsent moins de 20 kgs) manquent dans les stocks de l’ex Union soviétique.
L’explosion d’une seule de ces mallettes entraîneraient une boule de feu d’un diamètre de 150 mètres dégageant une chaleur de 10 millions de degrés comparés aux 5.000 degrés causés lors des attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center. De ceux qui survivraient à une telle explosion, 50% mourraient à un rythme d’environ 250.000 par jour !
Il semblerait enfin que ce soit l’argent de la drogue en Afghanistan et non pas la fortune de Ben Laden qui finance le mouvement Al-Qaïda.
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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.
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Zuma : Nous continuerons à soutenir les palestiniens
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Des colons prennent d’assaut le site de Tersala à Jénine
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Tentative d’attaque à la voiture-bélier à Hébron
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3 Palestiniens assignés à résidence à Jérusalem occupée
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Arrestations et raids en Cisjordanie suite à l’attaque de Petah Tikva
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Des pêcheurs de Gaza attaqués par des canonnières israéliennes
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L’occupation ferme l’entrée principale au camp de réfugiés de Fawwar
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Le passage de Rafah sera ouvert samedi prochain dans les deux sens
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Les colons attaquent les citoyens à Hébron et l’occupation déploie ses forces à Toulkarem
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Six Israéliens blessés dans des attaques de tirs et de coups de couteau à Tel Aviv
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Israël veut empêcher l’Irlande de reconnaitre l’Etat de Palestine
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17 Conseils demandent l’annulation de la « loi de colonisation »
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Barghouthi: L’expulsion est rejetée dans un futur accord d’échange
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Une nouvelle colonie près de Naplouse et Ramallah
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Al-Ghoul: Légaliser la colonisation est raciste et illégal
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L’occupation rase une terre au centre de Jérusalem pour la deuxième fois
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