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Flash info pour le 18 Shawwal 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Santé : Selon une étude, la salat est le remède contre les maux de dos !
Il y a quelques jours de cela, nous vous rapportions une étude dermatologique selon laquelle le port de la barbe diminuerait le risque de cancer de la peau. Aujourd’hui, une étude scientifique colombienne a révélé que l’Islam était la religion qui préservait le mieux du mal de dos.
C’est en effet un constat pour le moins positif : la pratique de l’Islam est la meilleure pour pouvoir traiter le mal de dos sobhanAllah ! Le professeur Rodriguez, en charge de cette recherche scientifique a expliqué que les cinq prières quotidiennes obligatoires pour tout musulman, permettent de préserver du mal de dos.
Au delà de cela, les résultats de cette étude soulignent que la prière des musulmans représente une excellente méthode de relaxation des muscles, « des dorsaux, deltoïdes et des trapézoïdes », comme le relève L’express. Les bienfaits découlant des nos prières étaient bien connus mais ils sont désormais prouvés par la science sobhanAllah.
L’étude souligne également que les positions prônées par les religions catholique et juive : genoux à terre ou encore « la pratique de la chaise » faite dans les célébrations juives, seraient cependant néfastes pour le dos. Quoi qu’il en soit, les bienfaits physiologiques, psychiques et spirituels de nos prières quotidiennes n’ont jamais eu de secret pour nous wal hamdouliLlah.

Sur Katibin.fr, voici les titres.

Birmanie : Le camp de transit pour Rohingyas reste vide.
Le camp de transit de Nga Khu Ra en Birmanie qui peut accueillir 150 Rohingyas par jour reste désespérément vide.
Les birmans encouragent le retour…
Le directeur du camp se dit prêt à accueillir les candidats pour un retour en Birmanie depuis janvier. Ce camp a été mis en place pour accueillir les candidats au retour pour quelques jours. Pour attirer les candidats, les birmans ont organisé cette semaine un voyage de presse pour montrer la fonctionnalité du camp.
Dans la même optique, la Birmanie assure que plus de 150 Rohingyas ont fait le voyage retour et qu’après être passé par le camp de transit, ils ont été envoyés chez des membres de leur famille dans d’autres villages que ceux qu’ils habitaient.
Mais les rohingyas n’ont pas confiance.
Les Rohingyas ne croient pas à un réel retour à la paix. Ils n’ont pas confiance dans les promesses birmanes et, pour ne pas aider, un enfant rohingya qui jouait dans la zone frontière a été blessé par les tirs des gardes-frontières birmans jeudi dernier.
L’annonce même du retour des 150 réfugiés est contesté par le Bangladesh. Le commissaire aux réfugiés du Bangladesh assurant que « le processus de rapatriement n’a pas commencé et qu’aucun Rohingya n’a encore été rapatrié du Bangladesh »,
D’autre part, il a été décidé que les personnes qui retourneront en Birmanie se verront attribuer des papiers d’identité sur lesquels ils seront identifiés comme bangladais et non rohingyas. Une mesure que la majorité des Rohingyas refusent.
Après les exactions commis par l’armée Birmane, il n’est pas difficile de comprendre que les Rohingyas ne soient pas enthousiastes quant à un retour auprès de leurs bourreaux.

Sur oumma.com, voici les titres.

Amérique : Trump, ou le syndrome de la balle dans le pied.
Les Etats-Unis qui jettent le « multilatéralisme » aux orties, le retrait américain de l’accord sur le nucléaire iranien, la guerre commerciale qui pointe à l’horizon, le G7 qui tourne à la foire d’empoigne, l’Union européenne réduite à l’impuissance : ce qui pourrait passer superficiellement pour une série de mini-crises est révélateur de tendances profondes. C’est comme un foisonnement de signes cliniques. Il y a ce que l’on voit – de simples péripéties, dirait-on -, et puis, sous cette apparence, comme un délitement souterrain des structures.
Pour brosser le portrait d’un monde occidental à la dérive, il faut naturellement partir d’une analyse de ce qui se joue aux USA. D’abord parce que le poisson pourrit toujours par la tête, et ensuite parce que Trump contribue à ce pourrissement en s’ingéniant précisément à le conjurer. Le système politique américain étant ce qu’il est, la nouvelle administration, en effet, a les mêmes objectifs que les précédentes. Héritière d’un empire surdimensionné, elle s’efforce d’en maintenir l’hégémonie en pratiquant le déni de réalité.
Son premier cheval de bataille, celui sur lequel Trump joue sa crédibilité, c’est la lutte contre le déclin industriel. Il doit son succès électoral du 8 novembre 2016 au ralliement des cols bleus ruinés par le libre-échange. La guerre commerciale entamée avec la Chine, l’UE et le Canada n’est pas une lubie : elle accomplit une promesse de campagne. Les USA sont le premier importateur mondial, et leur déficit avec la Chine dépassait en 2017 les 345 milliards de dollars. Il faut donc enrayer l’effondrement progressif des capacités productives américaines.
Mais pour y parvenir, l’administration Trump est confrontée à un choix de méthode. Les USA ont connu une prospérité sans précédent en misant sur une mondialisation dont ils tiraient profit. Ce règne des multinationales est loin d’être achevé, mais elles produisent de moins en moins sur le sol américain. Pour conserver sa position dominante, le capitalisme américain, en réalité, a sacrifié sa propre classe ouvrière. Remplacée par des Chinois ou des robots, elle vient grossir les rangs des miséreux qui campent dans les faubourgs des grandes villes.
A l’autre bout de l’échelle sociale, en revanche, tout va pour le mieux. Tandis que les pauvres sont de plus en plus nombreux, les riches sont de plus en plus riches. Contrairement aux emplois, qui sont délocalisés, les bénéfices réalisés à l’étranger sont rapatriés. Aggravée par une financiarisation débridée, cette distorsion entre la richesse et l’emploi ruine le consensus social américain. L’intelligence de Trump est de l’avoir compris et d’en avoir fait un argument électoral. La limite de cette intelligence, c’est qu’il s’y prend très mal pour résoudre le problème.
Lorsque les règles du jeu deviennent défavorables à celui qui les a inventées, il a la tentation de vouloir les changer. Manifestement, c’est ce que fait Trump. Le libre-échange réduisant au chômage les ouvriers de la « Rust Belt », il veut instaurer des protections qui font fi des accords commerciaux internationaux. Or cette démarche représente la quadrature du cercle pour un pays comme les Etats-Unis. Ayant mondialisé son économie sous la pression des multinationales, il leur fera payer cher le moindre retour en arrière. En clair, le protectionnisme est à double tranchant, et c’est ce qu’ont montré les réactions chinoises, européennes et canadiennes.
A supposer qu’elle ait lieu – ce qui n’est pas sûr – , la guerre commerciale sera au pire un désastre, au mieux un jeu à somme nulle. Trump le sait, et c’est pourquoi sa politique néo-impériale se contentera sans doute dans ce domaine de proclamations inoffensives. Il n’entend pas passer à la postérité comme celui qui a ruiné les fondements de la puissance américaine. Il préfère nettement ouvrir d’autres fronts où il pense pouvoir obtenir l’avantage. Et l’incohérence – ou l’imprévisibilité – qu’on lui prête souvent ici n’est probablement qu’apparente.
Le meilleur exemple est celui de sa politique en matière nucléaire. En pratiquant le grand écart entre l’Iran et la Corée du Nord, Trump montre que le nucléaire, précisément, n’a aucune importance. D’abord parce que la nucléarisation de la Corée du Nord est un fait accompli – et irréversible – et qu’il n’y a rien d’autre à obtenir de ce pays – du point de vue américain – qu’un réchauffement diplomatique destiné à rassurer Séoul dans le but d’alléger la charge du parapluie militaire US. Ensuite, parce que l’Iran au contraire, bien qu’il n’ait aucune arme nucléaire, est un adversaire systémique des Etats-Unis et qu’il s’agit bel et bien de l’affaiblir par tous les moyens.
De la Syrie au Yémen en passant par l’Irak, le Liban et la Palestine, Téhéran est une épine colossale dans le pied de Washington. Chef de file de l’axe de la résistance, il est la bête noire d’Israël, Etat-colon expansionniste auquel Trump s’est empressé de faire allégeance en remerciement de la neutralisation du lobby pro-israélien durant la campagne présidentielle. En isolant l’Iran, Trump fait coup double : il satisfait Tel Aviv – et Ryiad – tout en provoquant l’étranglement économique dont il attend un « regime change » par inanition, à défaut d’un soulèvement armé piloté de l’étranger sur le modèle syrien.
Mais la partie n’est pas gagnée. Car en coupant ce grand pays des circuits économiques et financiers occidentaux, il l’ouvre à d’autres influences. Ce n’est pas un hasard si l’Iran vient d’adhérer à l’Organisation de coopération de Shangaï au côté de la Russie, de l’Inde et de la Chine, cette organisation représentant désormais 40 % de la population et 25 % du PIB mondial. Le retrait américain de l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien, de plus, génère une série de dommages collatéraux. Il provoquera le départ de ce pays de nombreuses entreprises européennes, et notamment de Total, première capitalisation boursière du CAC40.
Entreprise multinationale dont 30% du capital est détenu par des actionnaires américains, Total devait participer à l’exploitation du gisement gazier offshore « South Pars », le plus grand au monde, situé dans le golfe Persique et les eaux territoriales iraniennes. C’est fini. Le projet passe dans d’autres mains, et pas n’importe lesquelles. Poussé au départ par Washington, Total cédera la place au géant chinois des hydrocarbures CNPC, ravi d’emporter le morceau. En voulant punir Téhéran, Trump a fait un cadeau de choix à la Chine, principal concurrent des USA à la tête de l’économie mondiale et premier responsable du déficit commercial américain. C’est un comble.
A l’entendre, Trump rêve de restaurer « la grandeur de l’Amérique ». Il a porté le budget militaire US à des sommets inégalés (700 milliards de dollars) et poursuivi une confrontation avec la Russie dont le seul intérêt – à courte vue – est de couper la Russie de ses partenaires européens, ce qui explique le rôle actif du Royaume-Uni, voltigeur de l’empire US, dans la diabolisation de Moscou. Il n’est pas néoconservateur à la façon de George W. Bush ni interventionniste à la sauce humanitaire comme l’étaient les démocrates. Mais comme il s’est fait élire pour conjurer les affres du déclin, il entretient le mythe d’une Amérique renaissante qui croit qu’il suffit d’aligner des porte-avions pour dominer le monde.
Heureusement, cette ambition démesurée rencontre le principe de réalité sur tous les fronts. Le Moyen-Orient est l’épicentre d’une confrontation où Moscou s’est placé au centre du jeu, condamnant Washington à faire tapisserie pendant que les Russes mènent la danse. En dents de scie, la politique américaine en Syrie est vouée à l’échec. L’armée syrienne reconquiert le territoire national, et le dernier carré des supplétifs lobotomisés va rendre les armes. Tandis que Moscou et Damas célébreront les 50 ans d’une alliance désormais adossée au géant chinois, le mariage de Washington avec Riyad et Tel Aviv apparaîtra peut-être un jour comme une erreur de casting.
En matière géopolitique, les apparences sont trompeuses. L’excès de puissance ne transfuse pas nécessairement en intelligence stratégique. Les Américains dépensent 2187 dollars par an et par habitant pour leur défense, contre 154 dollars pour les Chinois. On n’observe pas la même proportion dans les résultats. Les menaces proférées simultanément contre Moscou et Pékin sont à l’opposé de la stratégie – payante à l’époque de Kissinger – qui consistait à trianguler la Russie et la Chine afin de diviser les puissances continentales. Trump, lui, semble vouloir en découdre avec tout le monde (Chine, Russie, Iran, Syrie, Corée du Nord, Cuba, Vénézuéla) et – fort heureusement – il n’affronte personne pour de bon.
L’Amérique de Trump croit qu’elle peut pratiquer la politique de celui qui retire l’échelle après l’avoir utilisée pour grimper au sommet. Mais la réalité, c’est qu’elle n’est plus vraiment au sommet. La politique néo-impériale de Donald Trump enrichira comme jamais les marchands d’armes et les magnats de la finance. Le paradoxe, c’est qu’elle contribuera aussi à l’hégémonie mondiale de ceux qui, loin des Etats-Unis, investissent dans les infrastructures et non dans les industries de l’armement, et qui combattent la pauvreté au lieu de l’entretenir. Inutile de préciser qui détient les clés du futur. La politique de Trump, pour l’Amérique, c’est le syndrome de la balle dans le pied.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Propager, agiter, convaincre… : Quand les partis politiques se mettent aux TIC’s.
Presque tous les partis politiques algériens se sont mis à l’heure des TIC’s dans l’objectif d’asseoir une certaine efficacité dans le travail de sensibilisation et de propagation de leurs programmes et les grandes lignes de leur politique partisane. La tendance est, donc, à l’exploitation du monde virtuel..
Une loi d’orientation sera présentée au gouvernement : Le réfèrent religieux national codifié.
La lutte contre le discours fanatique est d’ores et déjà enclenchée par le ministère des affaires religieuses et des waqfs. Cela commence par le contrôle des prêches du vendredi, le contrôle des programmes télévisés et les conseils religieux(fetwa), le contrôle des mouvements des fidèles à l’intérieur et aux alentours des mosquées.
Attentat terroriste contre le QG du G5 Sahel au Mali : Cinq morts enregistrés.
Le quartier général de la force antiterroriste du G5 Sahel à Sévaré, dans le centre du Mali, a été frappé par un attentat qui a fait trois morts, outre deux de ses auteurs, dont un kamikaze à bord d’une voiture piégée.
Ouverture du 31ème sommet de l’Union africaine à Nouakchott(Mauritanie) : Plusieurs dossiers « brûlants » à traiter.
C’est aujourd’hui que s’ouvrira le 31ème sommet de l’Union africaine, prévu les 1er et 2 juillet à Nouakchott (Mauritanie), en présence des dirigeants du continent. Cette édition traitera principalement des voies et moyens qui devront être mis en oeuvre pour tenter de remporter la lutte contre la corruption qui demeure une voie durable pour la transformation de l’Afrique.
Forum du FCE sur la problématique de la logistique : Il reste beaucoup à faire.
Le Forum des chefs d’entreprise a organisé hier en collaboration avec le ministère des Travaux Publics et des Transports, une journée d’information sur la Logistique. En effet, la journée d’information a été l’occasion d’aborder et de débattre autour des thèmes suivants : la problématique de la logistique en Algérie, l’état d’avancement des travaux de la route transsaharienne, l’état des lieux et perspectives de développement.
Gaïd Salah en visite à l’Académie militaire de Cherchell : Les cadets de la nation, un acquis considérable.
Monsieur le Général de Corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, Vice-Ministre de la Défense Nationale, Chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire a effectué, hier une visite à l’Académie Militaire de Cherchell » Le Défunt Président Houari Boumediene.
Le Rif, théâtre d’affrontements entre police et manifestants : Drastique férule.
« La marche du million » à Al-Hoceïma dans le Rif au Maroc a été émaillée de heurts, jeudi. Les forces de l’ordre ont tenté d’empêcher tout rassemblement, en vain. Les manifestants ont investi la ville dans un climat de répression et de violence. La situation s’est de nouveau tendue jeudi 20 juillet à Al-Hoceïma, dans le nord .

Sur le muslim post.com, voici les titres.

France : Halal : à vendre, Isla Délice n’entrera pas dans le giron de Bigard.
« Pour tout ce qui est halal, je n’hésiterais pas à dire que c’est un joli bordel. » L’an dernier, Jean-Paul Bigard parlait de l’abattage rituel devant la Commission d’enquête sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie dans les abattoirs français au parlement. Malgré ce « joli bordel », pas question pour l’industriel français de passer à côté d’un si juteux marché. « La demande de viande halal est relativement forte et se développe beaucoup plus que le marché de la viande non halal, qui stagne, voire régresse », indiquait à l’époque le capitaine d’industrie, citant Isla Délice.
Des polémiques liées à la VSM et l’électronarcose.
Un an plus tard, le géant de la viande aurait négocié le rachat de la marque… Isla Délice. Selon une information du site Al-Kanz, l’opération aurait été proche d’aboutir avant que Bigard ne fasse machine arrière. En cause, explique Al-Kanz, le prix demandé par Zaphir, propriétaire de la marque. L’entreprise, qui a enregistré un chiffre d’affaires de 65 millions d’euros en 2017, avait chargé en avril dernier la banque d’affaires Transaction R de « piloter une opération devant lui permettre de réorganiser son actionnariat. » Depuis 2015, Zaphir cherche de nouveaux partenaires financiers pour anticiper la sortie de Tikehau Capital de son actionnariat, qui a été officialisée en juillet 2017.
Côté qualité, depuis plusieurs années, Isla Délice est au cœur de plusieurs polémiques. Fin 2012, le leader de la certification halal, AVS, avait décidé d’arrêter de labelliser les produits Isla Délice, la société Zaphir faisant appel à des abattoirs pratiquant l’électronarcose, une pratique qui consiste à électrocuter les bêtes avant le sacrifice, mais qui ne garantit par qu’elles soient encore vivantes comme l’exigent les textes. Plus récemment, l’ONG Foodwatch avait reproché à Isla Délice de ne pas indiquer la présence de VSM (viande séparée mécaniquement), d’additifs ou d’eau à l’avant des emballages de ses produits. Ce qui n’empêche pas Isla Délice de rester le leader de la charcuterie halal, avec 40 % de parts de marché, bien loin devant Fleury Michon.
Opacité dans les comptes.
Après une ouverture de capital en 2015, le dirigeant-fondateur de Zaphir, Jean-Daniel Hertzog, serait donc prêt à passer la main. L’homme d’affaires, qui serait mandataire d’une douzaine de sociétés, se serait rapproché de Bigard avec qui il a quelques points communs, dont un don certain pour l’opacité : depuis dix-sept ans, Zaphir ne dépose plus ses comptes, indique L’Express, tout comme la société Bigard qui préfère payer des amendes que de dévoiler les prix dérisoires auquel elle achète la viande aux éleveurs. Depuis juin, la rumeur concernant la vente d’Isla Délice par Jean-Daniel Hertzog a enflé. Outre Bigard, Fleury Michon se serait également montré intéressé par l’entreprise « fièrement halal ».
France : Assises territoriales de l’Islam de France : de quoi parle-t-on ?
Il l’avait annoncé lors de l’iftar du Conseil français du culte musulman (CFCM) le 12 juin dernier. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb va lancer des « assises territoriales de l’Islam de France. » Dans une circulaire adressée aux préfets le 25 juin, le ministre d’Etat dessine un peu plus les contours de cette initiative qui s’inscrira, dit-il, « dans la continuité des instances de dialogue organisées depuis 2015 » et initiées à l’époque par Bernard Cazeneuve, qui avaient débouché sur la création de la Fondation de l’Islam de France.
« Ouverture » et « diversité ».
Cette fois, Gérard Collomb propose que tout ne soit pas décidé à Paris et veut que soient organisées « des réunions décentralisées dans chaque département. » Date limite ? Le 15 septembre. Les préfets sont chargés de la mise en place de ces rendez-vous et doivent rendre, avant le 15 juillet, leurs « lignes directrices » au ministère de l’Intérieur. « Il vous appartiendra d’associer tous ceux avec qui un dialogue républicain et citoyen est possible », écrit Gérard Collomb aux préfets. Le ministre demande une « ouverture » et une « diversité ».
Mais qui participera donc à ces assises départementales ? « L’organisation de ces assises devra permettre de représenter l’Islam de France dans toute sa diversité », écrit le ministre à ses préfets. Il demande aux préfets de « faire connaître et de valoriser les initiatives locales prises » dans les départements et de « recueillir l’expression des attentes et des propositions des acteurs locaux du culte musulman et de ceux qui s’y intéressent. » Des préfets qui devront « identifier les interlocuteurs qui pourront participer » aux réunions.
Une façon de tester la mise en place d’un Grand imamat ?
Gérard Collomb compte bien entendu sur la présence des « représentants institutionnels », mais également sur « celles et ceux qui, issus de la société civile de la communauté musulmane sont dans (les) départements des exemples de réussite. » Libre aux préfets de choisir le format que prendront ces assises : tables rondes, réunions de travail fermées, débats ou ateliers. Avec un seul interlocuteur imposé : les CRCM (Conseils régionaux du culte musulman), qui devront être associés « autant que possible » à cette initiative. Voilà pour la forme.
Sur le fond, le ministre de l’Intérieur semble accorder une place importante à la mise en place d’un Grand imamat, sans nommer les choses. Gérard Collomb estime en effet que « la structure collégiale ou représentative des ministres du culte pourra (…) être légitimement posée. » Le ministre a identifié d’autres thèmes à aborder : « la gouvernance des lieux de culte », « le financement du culte » et « la formation des acteurs cultuels. » « Ces thèmes de travail ont aujourd’hui une importance nationale, mais ils ne doivent pas constituer un parcours obligé », nuance le ministre de l’Intérieur, qui assure vouloir « que soit davantage entendue la voix de la grande majorité des musulmans de France qui ne souhaitent pas voir leur culte dévoyé par une minorité. »
Suisse : Entre religion et politique, l’imam saoudien de La Mecque crée la polémique en Suisse.
La mosquée du Petit-Saconnex, à Genève, fut l’une des toutes premières mosquées financées en Europe par la Ligue islamique mondiale, une organisation saoudienne. En 1978, lors de son inauguration, le roi d’Arabie Saoudite d’alors, Khaled ben Abdelaziz Al Saoud, était alors venu jusqu’en Suisse. Accusée de gérer de façon trop rigoriste ce lieu, les Saoudiens ont remplacé, en mars dernier, le directeur de la Fondation culturelle islamique, qui chapeautait la Grande mosquée de Genève, par un ancien ambassadeur saoudien.
Malgré ce changement de direction, les polémiques se suivent et se ressemblent. La nouvelle controverse a fait beaucoup de bruit : en accueillant l’imam Abdul Rahman Ibn Abdul Aziz Al-Sudais, le directeur du lieu de culte suisse ne s’attendait pas à provoquer un tel tollé. Connu pour ses talents de récitateur, l’imam en chef du Masjid al-Haram de La Mecque, la mosquée la plus sacrée pour les musulmans, est également connu pour ses prises de position politiques : il déclarait par exemple en fin d’année dernière que « l’Arabie Saoudite et les USA mènent l’humanité vers un havre de paix, de sécurité et de stabilité. »
« L’imam de tous les musulmans ».
Mercredi dernier, l’imam a donné une conférence à la Fondation culturelle islamique de Genève (FCIG). Ce qui n’a pas plu à l’Association des musulmans de Fribourg dont le président, Ridha Ajmi, ancien de la FCIG a dénoncé d’autres propos du religieux. « Cet imam a un point de vue politique. Il a déclaré croire que son Roi Salmane et le président américain Trump sont les élus de Dieu sur terre. Qu’il représente l’Etat saoudien au niveau religieux, c’est sa mission et son droit. Mais, je ne veux pas qu’il s’immisce dans les affaires religieuses de la communauté musulmane suisse », a-t-il indiqué.
Un musulman algérien, présent lors de la conférence, s’est emporté et a demandé à l’imam : « Comment osez-vous parler de sécurité alors que votre Etat sème la terreur au Yémen et étrangle son voisin le Qatar et la Turquie ? » La fondation genevoise a tenté de calmer le jeu en rappelant qu’Abdul Rahman Ibn Abdul Aziz Al-Sudais était « l’imam de deux lieux saints » et qu’il est donc « l’imam de tous les musulmans. » Avant d’assurer qu’« il n’y a pas de message politique. » La FCIG a décidé de déposer une plainte contre « les perturbateurs. »
L’ambassadeur de France en Hongrie parle d’« antisémitisme musulman ».
Mise à jour, le 1er juillet : Dans un décret publié au Journal officiel de la République française (JORF) le 28 juin 2018, Emmanuel Macron indique qu’il remplace l’ambassadeur Eric Fournier, qui a été « appelé à d’autres fonctions », par Pascale Andreani, ministre plénipotentiaire hors-classe.
L’ambassadeur de France à Budapest depuis 2015, Eric Fournier, semble être un fan de Viktor Orbán. Dans une note diplomatique à la direction de l’Union européenne du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, également adressée à la présidence de la République le 18 juin, le diplomate estime que la presse européenne a une vision fantasmée de la politique du Premier ministre hongrois. Et alors que certains critiquent un regain d’antisémitisme en Hongrie, Eric Fournier estime qu’il s’agit en fait d’une façon de détourner l’attention de l’antisémitisme « des musulmans de France et d’Allemagne. » Un « antisémitisme moderne », indique l’ambassadeur, reprenant ainsi la formule consacrée par les 300 dans un manifeste qui avait fait polémique.
Qu’en pense Emmanuel Macron, le président de la République ? Actuellement au sommet européen, le chef de l’Etat a été interrogé par Mediapart sur cette note. Après avoir dénoncé les propos du diplomate — Emmanuel Macron indique qu’il « ne partage en rien » ces derniers —, le président français a voulu nuancer en indiquant qu’il « s’agit d’une note dont la nature est confidentielle, et ce n’est pas l’expression de la position politique française. » Si l’ambassadeur avait publiquement tenu ces propos, « il aurait été révoqué sur-le-champ », a assuré Macron. Mais la note n’ayant pas vocation à être publiée, le diplomate gardera sa place. Ouf !

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Le prisonnier Hassan Shoka poursuit sa grève pour le 29ème jour
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Hassan Shoka, âgé de 30 ans, originaire de Bethléem dans le sud de la Cisjordanie occupée, continue sa grève de la faim pour la 29ème journée consécutive, refusant sa détention administrative.
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Des dizaines de colons prennent d’assaut la mosquée Al-Aqsa
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La Campagne « Lever les sanctions »: Ceux qui rejettent l’accord du siècle n’accepteront pas la punition de Gaza
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Les forces palestiniennes à Jérusalem exigent le boycott des élections municipales
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Un Centre de Jérusalem: 355 prisonniers en juin, dont 15 enfants et 13 femmes
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« The Guardian » interdit une caricature critiquant les crimes israéliens
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Les Palestiniens manifestent contre le plan de déplacement de la communauté de Khan al-Ahmar
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Haniyeh rencontre l’homme d’affaires palestinien Adnan Majali
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Quatre palestiniens enlevés par l’occupation pendant la nuit
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Des colons agressent des citoyens palestiniens à Hébron
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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Flash info pour le 18 Ramadan 1439.

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####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Amnesty International appelle l’occupation à arrêter la démolition du village Khan al-Ahmar
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Amnesty International a appelé les autorités d’occupation à annuler immédiatement les plans de démolition du village d’Al-Khan Al-Ahmar et à expulser les bédouins palestiniens.
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Des foules de palestiniens participent aux funérailles de Razan Najjar
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Le député Tafesh appelle à tenir l’occupation responsable du meurtre d’innocents
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Les services de l’Autorité Palestinienne en Cisjordanie arrêtent trois citoyens, dont deux prisonniers libérés
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Al-Batch au monde: « Que dites-vous de l’assassinat d’une secouriste ? »
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Le Koweït envisage de transférer la décision de protéger les Palestiniens à l’Assemblée générale de l’ONU
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Un palestinien tué par un colon près de la mosquée Al Ibrahimi à Hébron
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Zahalka appelle à intensifier la lutte et ne pas donner l’opportunité d’attaquer Gaza
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Un enfant blessé par l’occupation à l’est de Khan Younis
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Les États-Unis bloquent une résolution à l’ONU visant à protéger les Palestiniens
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Cinq incendies éclatent dans les champs agricoles de la périphérie de Gaza
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La Santé : l’occupation a délibérément tué une infirmière
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L’occupation mène une campagne de raids et d’arrestation en Cisjordanie
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Manifestation au nord de la Palestine par solidarité avec Gaza
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La France condamne la décision d’Israël de construire de nouvelles habitations en Cisjordanie et à Jérusalem
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Le Conseil de sécurité reporte le vote d’un projet de résolution sur la Palestine
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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