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Flash info pour le 17 Joumada At-Thani 1439.

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Sur oumma.com, voici les titres.

islam : Pourquoi je prie.
Une nuit étoilée, le miracle du voyage nocturne, Le Messager d’Allah s’envole dans un galop céleste. Sur le Buraq, Il s’envole vers l’infini. Escale à Jérusalem, puis un voyage au-delà des cieux, au-delà de la terre. L’ange Gabriel et le Bien-aimé d’Allah, côte à côte, jusqu’au moment où Jibril ne pouvait plus avancer, et l’ange abandonna. Le Bien-aimé, quant à lui, n’aurait jamais pu être stoppé par aucune création, il avança. Il avait rendez-vous avec Allah. Pour recevoir l’ordre de prier, le Prophète (Paix et bénédiction sur lui) devait s’envoler jusqu’au sidrat al-muntahâ, tandis que le moment où le serviteur est plus proche de Dieu est lorsqu’il se prosterne. Quel paradoxe !
En général, les ordres de Dieu passent par une révélation, tandis que la Prière fit l’objet d’une rencontre, d’un face à face. Ceci peut s’expliquer si nous tenons compte du fait que salât veut dire prière,et sila signifie lien en arabe. Ces mots viennent tous de la même racine, s.l.y. Ainsi, quand je prie, je suis en lien direct avec Allah, de même que le Prophète (Paix et bénédiction sur lui) devait recevoir l’ordre sans pour autant que Gabriel soit l’intermédiaire.
J’ai besoin de me souvenir d’Allah, alors je prie. Le Créateur n’avait-Il pas dit à Moïse « accomplis la prière afin de te souvenir de Moi » ? Alors, prier c’est faire du dhikr. Dans son ouvrage « L’instant soufi », Éric Geoffroy s’adresse à l’âme humaine en mettant l’accent sur la prière. Il souligne que « La prière est “l’ascension céleste du croyant’’, disait le Prophète. Elle est rappel constant à Dieu, car cinq fois par jour, je me soustrais du temps évanescent pour m’insérer dans le Temps de Dieu : cinq fois par jour, je coupe court aux sollicitations incessantes du monde pour me recentrer. Sans doute, ne suis-je pas assez conscient de la Présence mais j’y tends ; la grâce fait le reste. »
Seul Dieu est là dans tous les moments pour moi. Alors j’ai besoin de Lui parler. Mais comment dialoguer avec Lui ? Frithof Schuon donne la solution. Il écrit que « s’il y a un Dieu et s’il y a des hommes, il y a nécessairement un dialogue ; il est donné par cette confrontation même », par la prière.
Le monde est parfois impur. J’ai besoin de le sacraliser et de le purifier. Alors je prie. Je fais mes ablutions, sacralise mon corps et écoute la musicalité des gouttes d’eau qui tombent, dansent sur les cadences de Lâ ilâha illa Allah, Muhammad Rasûlu Allah. Cinq fois par jour, je prie, sacralise le temps et forme une équipe avec le Cosmos. Cinq fois par jour, je m’oriente vers la Mecque, sacralise l’espace. Mon cœur est voilé, je formule l’intention, et fais dissiper les ténèbres avec la Lumière de la Majesté. Je hurle et crie en faisant danser mes bras et trembler mon cœur : Allah Akbar.
En tant qu’être humain, je suis le khalifa d’Allah sur terre, et je ne vis pas seul. Je dois représenter aussi la nature qui vit avec moi. Alors je prie. Je me mets debout comme un arbre, tel un homme, je m’incline, et comme une pierre, je me prosterne. Ainsi quand je prie, je médite. « Dans la Création d’Allah, il y a des signes pour ceux qui sont doués d’intelligence ».
J’ai besoin de rompre avec ce monde pour le Monde, alors je prie. J’ai besoin de me sentir musulman. Mais qu’est-que l’islam ? « On pourrait répondre d’un seul mot : la prière », disait Éva de Vitray-Méyérovitch. Mais peut-être faudrait-il savoir prier.
L’adhan a retenti. Je m’en vais. Je prie, comme une pierre, je me prosterne. Au-dessus du Burâq, tel un oiseau, je m’envole vers « la Sidrat-ul-Muntaha, près d’elle se trouve le jardin de Maawa ».
Histoire des Prophètes : Noé.
Oui, nous avons envoyé Noé à son peuple : « Avertis ton peuple avant qu’un douloureux châtiment ne l’atteigne ! »
Il dit : « O mon peuple ! Je suis pour vous un avertisseur explicite.
« Adorez Dieu ! Craignez-le ! Obéissez-moi !
« Il vous pardonnera vos péchés ; il vous accordera un délai jusqu’à un terme fixé ; mais quand vient le terme fixé par Dieu, il ne peut être différé. – Si vous saviez ! »
Il dit : « Mon Seigneur ! J’ai appelé mon peuple nuit et jour et mon appel n’a fait qu’augmenter son éloignement. »
(Sourate 71, versets 1-6.).
L’appel à l’adoration.
Le prophète Noé (Saydina Nûh) est l’avertisseur du déluge. Il apporte à son peuple la promesse du pardon de Dieu mais l’avertit de l’imminence d’une catastrophe, avec un terme fixé, s’il ne remplit pas ses devoirs. De même, l’homme qui s’obstine dans une conduite irresponsable le mettant en danger et qui ne revient pas à la direction juste et universelle s’expose à un avenir très douloureux.
Noé et son message sont restés vivants pendant neuf cent cinquante ans, c’est-à-dire une trentaine de générations. Cela signifie que les dernières générations ont été averties directement de l’imminence du châtiment. Hélas ! le peuple s’en est détourné, sourd à l’appel et réfractaire à l’adoration.
Cet appel commence en vérité par un respect mutuel entre les êtres. Quant à la crainte de Dieu, elle n’est pas celle de Son courroux, ni des flammes de l’enfer. Elle est avant tout dans l’appréhension de nuire à l’autre et à la création. Le message de Noé est donc aussi actuel qu’à son époque.
La sourde oreille.
Chaque fois que je les ai appelés pour que tu leur pardonnes, ils ont mis leurs doigts dans leurs oreilles ; ils se sont enveloppés dans leurs vêtements ; ils se sont obstinés ; ils se sont montrés orgueilleux.
je les ai ensuite appelés à haute voix ; j’ai fait des proclamations et je leur ai parlé en secret.
(Sourate 71, versets 7-9.).
Si Noé s’adressait à nous aujourd’hui, il ferait l’inventaire de tous les dangers qui touchent la terre et avec elle l’humanité : la surpopulation, la prolifération chimique et nucléaire, les génocides, le mépris des enfants, la dévastation des forêts, les manipulations génétiques. Il nous appellerait à la raison avant le point de non-retour.
Comme au temps de Noé, les hommes ne veulent pas entendre le message. Les pollueurs savent qu’ils ont tort mais font la sourde oreille pour sauvegarder leurs pouvoirs et leurs intérêts. Ils opposent toute sorte d’arguments pour ne pas entendre le cri d’alarme alors qu’ils connaissent parfaitement la gravité du problème. Si un discours n’est pas vrai, je peux le contester. S’il l’est, le lâche et l’incrédule préfèrent ne pas l’entendre et se boucher les oreilles. Mais notre époque, contrairement à celle de Noé, est tellement médiatisée qu’il est impossible de feindre l’ignorance.
« Ils se sont enveloppés dans leurs vêtements » signifie se réfugier derrière les systèmes économiques, idéologiques ou philosophiques et, pour se déculpabiliser, accuser l’autre ou une autorité supérieure.
« Je leur ai parlé en secret. » S’il était parmi nous, Noé tenterait de sensibiliser les décideurs à la gravité de la situation et à l’urgence d’agir avant qu’il ne soit trop tard.
Un monde meilleur.
J’ai dit : « Implorez le pardon de votre Seigneur ; il est celui qui ne cesse de pardonner ; il vous enverra, du ciel une pluie abondante ; il accroîtra vos richesses et le nombre de vos enfants ; il mettra à votre disposition des jardins et des ruisseaux.
(Sourate 71, versets 10-12.).
Le Coran révèle ensuite comment Noé essaie de convaincre les dirigeants de changer d’attitude. Il les invite à revenir à l’adoration de Dieu, au respect de la nature et à l’amour du prochain en leur promettant un monde meilleur. Les versets 13 et 14 confirment cette idée : « Pourquoi n’attendez-vous pas de Dieu un comportement digne de Lui alors qu’il vous a créés par phases successives ? »
L’homme s’entête à croire en sa puissance et en sa capacité d’améliorer le monde par ses nouvelles découvertes scientifiques et technologiques, alors que Dieu lui rappelle qu’il n’est qu’une infime partie d’un univers créé par étapes successives. C’est un avertissement à son orgueil pour le ramener à plus de sagesse et à un comportement plus digne de la confiance et de l’immense générosité de Dieu qui peut donner toujours plus, car Il est le plus Grand et le plus Savant.
Les deux versets suivants introduisent une nouvelle acception de cette guidance :
« N’avez-vous pas vu comment Dieu a créé sept cieux superposés ? Il y a placé la lune comme une lumière ; il y a placé le soleil comme une lampe ».
(sourate 71, versets 15-16).
Les jours divins correspondent chacun à un ciel et chaque ciel correspond à une étape. Le soleil est la vie et la vérité. Il symbolise le prophète. La lune, signe de sagesse, représente le sage en éveil. Dans l’obscurité, c’est par elle que l’on se guide pour retrouver son chemin. Ainsi, le ciel est toujours éclairé et l’homme n’est jamais laissé sans guidance.
Un maillon de la chaîne.
Dieu vous a fait croître de la terre comme les plantes puis il vous y renverra et vous en fera ensuite surgir soudainement.
Dieu a établi pour vous la terre comme un tapis afin que vous suiviez des voies spacieuses.
(Sourate 71 , versets 17-20.).
Ce passage évoque l’origine commune de l’homme et de la création. Nous avons obéi au même processus car nous ne sommes qu’un maillon de la chaîne et sans doute le plus faible, étant le dernier après les minéraux, les végétaux et les animaux. Mais ce maillon est, en même temps, le plus fort car il porte en lui le principe actif de l’esprit qui le distingue du reste de la création. Même s’il est un animal pensant, il n’en demeure pas moins rattaché, par certains aspects, au minéral, au végétal et à l’animal auquel il n’est supérieur que par cette présence divine (les attributs divins dont Dieu a paré Adam) qui le vivifie en alimentant sa conscience.
Dieu a confié à l’homme la pleine jouissance de la terre qu’Il a déroulée sous ses pieds comme un tapis rouge sous les pas du roi. Il lui a tracé une voie royale et spacieuse faite de tolérance, de fraternité et de partage. Mais l’homme, pensant mieux faire, se perd dans les voies étroites et tortueuses. Se détournant de la voie universelle du partage, il s’enlise dans des systèmes politiques, économiques et idéologiques artificiels, souvent inopérants, voire catastrophiques.
Les nouvelles idoles.
Noé dit : « Mon Seigneur ! Ils mont désobéi ; ils ont suivi celui dont les richesses et les enfants n’ont fait qu’accroître la perte. »
Ils ont tramé une immense ruse et ils ont dit : « N’abandonnez jamais vos divinités : n’abandonnez ni Wadd, ni Souwa ; ni Yaghout, ni Ya ôuq, ni Nasr ! »
(Sourate 71, versets 21-23.).
L’homme attiré par les biens matériels immédiats et éphémères est sourd et récalcitrant à ce message. Il dédaigne les richesses nobles et spirituelles qui sont son capital le plus précieux et qui font de lui l’être d’exception, et s’en éloigne. Là réside toute sa faiblesse ! Comme hier, il s’obstine à adorer les mêmes idoles : pouvoir, honneur, argent, prestige, sexe. Depuis Noé, l’homme a peu changé. Il est capable de prouesses technologiques mais, en esprit, il n’a guère évolué. Il est aveugle et dupe d’un système où l’argent facile et la frénésie de consommation règnent en maîtres. Conditionné par ce miroir aux alouettes, il veut toujours davantage, et tout de suite. Il est prêt à léser l’autre pour arriver à ses fins et assouvir ses passions. S’il ne prend pas conscience de ce mirage, de ces fausses valeurs, tôt ou tard, il en paiera le prix. A moins que, dans un sursaut de sagesse, il ne décide de se mettre à l’écoute du message de tolérance, de patience et des vraies valeurs que ne cesse de lui adresser Noé à travers la Révélation.
Si rien ne semble avoir changé dans la société humaine, et qu’à chaque naissance le scénario adamique se répète et se perpétue, la création et l’homme sont cependant en constante évolution. Toutefois le sort du monde se joue dans ce duel permanent entre ceux qui, porteurs d’espérance, vivent le message de Noé à travers l’épanouissement et l’apaisement de leur intériorité, et ceux qui sont portés par leurs désirs et leur soif inextinguible de jouissance matérielle.
Face à cette profonde contradiction, le discours de Noé continue de s’adresser à tous et à chacun. L’homme social est libre de mener ou non son combat intérieur (son grand jihad) pour refuser un système qu’il juge néfaste et choisir la voie de la sérénité, de la paix, de la tolérance et de la fraternité, dans l’harmonie entre la nature et la satisfaction de ses besoins. Il peut y parvenir par un développement maîtrisé, une technologie mise au service du bien-être de tous et une science non conditionnée par le profit mais fondée sur l’éthique.
Plus que jamais, le Veau d’or est objet d’adoration à travers ses divers symboles et représentations : Palme d’or pour le cinéma, Disque d’or pour la musique. Quant à l’art, il a rompu avec le sacré en devenant objet de spéculation. Le stade aussi a ses idoles qui valent des millions. Cela dit, je ne nie pas la valeur du sport ni son utilité dans l’épanouissement de l’homme. Mais hélas, je crains qu’il ne soit perverti pour devenir l’alibi du pouvoir et de l’argent. Il suffit de voir les milliards consacrés aux jeux olympiques qui symbolisent soit-disant la fraternité entre les peuples alors que les deux tiers de la population mondiale vivent dans la famine. Ces milliards dépensés pour quelques instants de festivité et de spectacle ne seraient-ils pas mieux utilisés s’ils permettaient d’irriguer, de soigner, de planter, d’instruire ? Il ne s’agit pas de révolutionner le monde mais de tenter de revenir à une vision plus juste, à une attitude plus humaine et plus solidaire.
La véritable révolution est d’abord intérieure et silencieuse. C’est à ce prix qu’elle produira ses fruits pour l’ensemble de l’humanité. L’homme a des besoins et tant mieux si le progrès lui apporte une vie meilleure. Mais il lui faut agir pour éradiquer le danger de l’asservissement à la seule consommation qui génère, malheureusement, un malaise profond lié à l’oubli des véritables valeurs comme l’intégrité, la morale, la fraternité, l’entraide et le partage. Seules ces valeurs d’essence divine peuvent nous amener à nous interroger lucidement sur nos actes : « Suis-je en harmonie avec la création ? » Elle est le témoignage vivant de Sa présence et nous interpelle à chaque instant. Si, dans chaque acte ou projet que nous élaborons, nous prenions en considération le Divin, nous nous placerions dans une perspective universelle où personne ne serait lésé. Car Dieu est omniprésent, Il anime aussi bien l’homme que l’animal, la lune, le soleil et toutes les galaxies dans ce merveilleux et harmonieux mouvement qu’est la vie.
Le cri d’alarme.
La sourate de Noé se termine ainsi :
Ceux-ci ont pourtant égaré un grand nombre d’hommes. Tu ne fais qu’accroître l’égarement des injustes.
Ils furent engloutis et introduits dans un Feu, à cause de leurs fautes. Ils ne trouvèrent aucun protecteur en dehors de Dieu.
Noé dit : « Mon Seigneur ! Ne laisse sur la terre aucun habitant qui soit au nombre des incrédules. Si tu les épargnais, ils égareraient tes serviteurs et ils n’engendreraient que des pervers absolument incrédules. Mon Seigneur ! Pardonne moi ainsi qu’à mes parents ; à celui qui entre dans ma maison en tant que croyant ; aux croyants et aux croyantes. Augmente seulement la perdition des injustes ! »
(Sourate 71, versets 24-28.).
Les propos de Noé sont hélas accablants ! Mais la corruption se développa à un degré tel qu’il fallut le sacrifice d’une grande partie de l’humanité pour sauver celle qui pourrait repeupler la terre et vivre une nouvelle aventure humaine plus juste, plus universelle, plus conviviale. Ce fut le déluge.
Aujourd’hui, il suffit qu’un irresponsable appuie sur un bouton pour déclencher le cataclysme nucléaire. Soyons à l’écoute de ce verset, méditons-le car cette prière finale de Noé est d’une actualité brûlante et un cri d’alarme pour l’humanité et la planète.
Cheikh Bentounès, « L’homme intérieur à la lumière du Coran », éditions Albin Michel.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Mennel amalgamée avec Daech sur un tract du Front National.
Les élus du Front National de la région Bourgogne Franche-Comté partent en croisade contre l’”islamisation” de la région selon eux. À la suite de la conférence de presse du vendredi 2 mars, des tracts islamophobes faisant l’amalgame entre islam et terrorisme ont été édités afin d’être distribués dans les différentes villes de la région. Ce samedi matin, ces tracts ont été distribués à Avallon.
Sur l’un de ces tracts, on peut voir des français partis rejoindre l’organisation “État Islamique” en Syrie aux côtés de Mennel Ibtissem, une jeune de Besançon qui avait récemment fait l’objet d’attaques de la fachosphère suite à sa participation à l’émission de TF1 “The Voice”.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

En menaçant de suspendre son accord de pêche avec l’UE : Mohamed VI se tire une balle dans la jambe.
Immigration clandestine : Près de 3.000 disparus en Méditerranée en 2017.
Au moins 30 morts dans des attaques visant son ambassade ainsi que l’état-major des armées : La France « sonnée » au Burkina Faso.
Respect du calendrier de permanence des pharmacies : Gare aux récalcitrants.
Les gros dépôts d’argent exonérés de justificatifs : Le règne de la « Ch’kara ».
Situation sociale et économique en Algérie : Le RND appelle à « la vigilance ».
Délais fermes pour réaliser les LPA : Aucun retard ne sera toléré.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

Yamin Makri : « Tariq Ramadan a le droit de bénéficier d’un traitement équitable ».
Il est le meilleur ami de Tariq Ramadan et pilote son comité de soutien. Yamin Makri est, sans conteste, un des acteurs les plus actifs du tissu associatif musulman français. Avec Tariq Ramadan, il a fondé la dynamique inter-associative Présence Musulmane dans les années 1990. Il est l’un des fondateurs de Résistance & Alternative, un mouvement créé récemment qui rallie les réseaux des différentes régions du monde avec lesquels toute leur dynamique a travaillé depuis vingt ans. Aimé ou détesté pour son franc-parler, il ne laisse personne indifférent. Interview de celui dont la parole est extrêmement rare dans les médias.
LeMuslimPost : Pourquoi soutenez-vous Tariq Ramadan ?
Yamin Makri : Nous soutenons Tariq Ramadan parce que nous pensons que tout le monde a droit à un procès équitable, qu’il n’est pas normal qu’un homme soit jugé avant même qu’un procès ait lieu. C’est donc avant tout une question de droit au Droit. C’est ce qui fonde notre volonté de vivre ensemble. C’est fondamental.
Ensuite, nous connaissons profondément l’homme, le travail qu’il a accompli depuis trente ans, les valeurs qu’il prône et qu’il défend. Et, malgré toutes les accusations qui sont portées contre lui, nous avons une totale confiance en lui, en ses qualités morales et en son honnêteté. C’est notre conviction.
« Nous ne désirons qu’une chose : l’application d’une justice dans le respect strict de ses procédures ».
Mais, vu le matraquage médiatique, il est compréhensible que d’autres personnes pensent différemment.
Aujourd’hui, nous ne désirons qu’une seule chose : l’application d’une justice dans le respect strict de ses procédures, elle doit s’exprimer et rendre ses décisions de manière claire et impartiale.
Tariq Ramadan est respecté aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la communauté musulmane. Le comité apporte un soutien moral à la famille, il rassemble les gens scandalisés par le traitement injuste infligé à Tariq Ramadan.
Ce comité dénonce le deux poids deux mesures qui est fait envers un homme qui est mis en détention provisoire quand d’autres, pour des faits au moins similaires, sont en liberté.
Le soutien que vous appelez à apporter ne risque-t-il pas d’entraver le respect et le droit des plaignantes ? Comprenez-vous que les plaignantes et le public puissent être mal à l’aise vis-à-vis de ce très large soutien ?
Nous respectons totalement le droit des plaignantes. Elles ont le droit d’être entendues. C’est un postulat que nul ne remettra en question.
Aujourd’hui, ce que nous constatons, c’est que les droits de Tariq Ramadan en tant qu’accusé ne sont pas respectés et qu’il est déjà considéré comme coupable.
Les plaignantes, qui ne sont pour l’instant que des « présumés victimes », sont déjà décrites par tous les médias comme des « victimes ».
« Pour les juges, Tariq Ramadan est déjà coupable et il a déjà commencé à purger sa peine sans même être jugé »
Et Tariq Ramadan, le prévenu, qui reste innocent sauf preuve du contraire, c’est-à-dire jusqu’à une décision de justice, est décrit comme un coupable évident.
La dernière déclaration du juge qui justifie sa détention préventive pour des risques « de réitération des faits » est très claire. Pour ces juges, Tariq Ramadan est déjà coupable et il a déjà commencé à purger sa peine sans même être jugé.
C’est très inquiétant mais nous ne baisserons pas les bras.
Pas seulement pour que Tariq Ramadan ait droit à une justice équitable. L’enjeu est bien plus important que cela : il s’agit ici de préserver l’instance judiciaire, que la séparation des pouvoirs soit respectée et que ne persiste pas dans mon pays le sentiment que la justice n’existe plus dès qu’elle concerne un certain type de population.
On a l’impression que les uns attaquent aveuglément Tariq Ramadan pendant que d’autres le défendent sans discernement… N’y a-t-il pas un juste milieu ?
Il est clair que cette affaire suscite trop de passions dans les médias, dans la société, et dans la communauté musulmane.
Mais l’affaire Tariq Ramadan est emblématique. C’est une affaire qui est lourde de sens dans notre société qui a beaucoup de mal à gérer les différences et le vivre-ensemble.
L’affaire Tariq Ramadan a été médiatisée dans le cadre de la campagne mondiale contre les abus sexuels.
Si, pour notre part, on considère que dans le cas de l’affaire Tariq Ramadan, il y a une instrumentalisation et un détournement de cette campagne, cela n’enlève rien à sa légitimité.
On a certes usé de cette campagne pour faire tomber Tariq Ramadan mais nous ne tomberons pas dans le piège tendu : nous apportons notre total soutien à cette campagne. Les mouvements appelant au respect des droits des femmes et ceux qui appellent au droit des minorités discriminées doivent se retrouver avec tous ceux qui défendent une citoyenneté égalitaire.
Tout être humain a droit au Droit. Tout être humain doit être respecté. Il n’y a pas de sous-être Ici, en France, mais aussi en Palestine, au Sahel et dans le monde entier.
« Les procédures et l’impartialité doivent être respectées. C’est notre seule revendication ».
Une vie humaine est une vie humaine quelle que soit sa nationalité, sa religion et au-delà de son sexe et de tous types d’appartenances.
La vie d’un migrant qui se noie en Méditerranée, celle d’un jeune syrien tué lors d’un bombardement, celle d’un Palestinien emprisonné parce qu’il protège sa terre ou celle d’un jeune français sommairement exécuté pendant un concert à Paris, toutes ces vies sont d’égale importance. Elles sont toutes sacrées, à nos yeux.
Toutes réclament notre attention, toutes exigent que justice soit rendue. Toutes ces vies fauchées doivent nous interroger. Elles doivent nous faire prendre conscience qu’il y a un véritable problème dans la manière dont le monde est géré.
Et nous ne trouverons aucune solution en nous dressant les uns contre les autres. Tout au contraire, il faut multiplier les liens, créer des ponts. C’était et c’est toujours tout le combat de Tariq Ramadan.
Il faut préserver notre humanité commune, nos valeurs communes et nous en avons. Le droit au Droit est fondamental, cette idée de croire qu’on peut se retrouver sur la base d’une citoyenneté égalitaire et d’un socle qui nous rassemble est tout autant fondamental.
Les femmes comme les minorités visibles souffrent au quotidien de comportements discriminatoires dans leur vie sociale et professionnelle. Le sexisme et toutes les autres discriminations sont des fléaux qui remettent en cause la notion même d’égalité et de non-discrimination face à une appartenance sexuelle, religieuse ou raciale.
L’affaire Tariq Ramadan est emblématique de tout cela.
La justice devra décider en toute indépendance de la culpabilité ou non de l’accusé. Mais les procédures et l’impartialité doivent être respectées. C’est notre seule revendication.
S’il y a un deux poids deux mesures qui est appliqué sur cette affaire, les conséquences seront profondes et incalculables. Nous transformerons alors Tariq Ramadan en un détenu politique suisse enfermé dans une prison française. Ce sera la porte ouverte à toutes les voies extrêmes.
En tant que citoyen français, je ne laisserai pas mon pays s’engager dans cette voie catastrophique pour nous tous.
« Une simple réservation d’avion n’a jamais été un alibi. Et une absence d’alibi ne fait pas de vous un coupable ».
A propos des révélations de la réservation d’avion, cela fragilise-t-il la défense de Tariq Ramadan ? Cela semble être un argument à charge de poids.
En aucun cas. Tariq Ramadan n’a fait que fournir les éléments qu’il avait en sa possession pour justifier de son emploi du temps de la journée en question. Il est logique qu’un homme qui prend l’avion quatre à cinq fois par semaine ne se rappelle pas de l’heure à laquelle il est arrivé à Lyon neuf années plus tôt. Surtout qu’au gré des invitations à des séminaires ou à des émissions télé, il lui arrivait très souvent de modifier ou d’annuler un déplacement.
Il a fourni tous les éléments en sa possession.
Il s’avère que le travail d’investigation n’avait pas été fait de manière correcte, ni par l’avocat de Tariq Ramadan, ni par les enquêteurs de la police judiciaire. Or, voilà que cette pièce, qui n’était qu’un élément du dossier (une simple réservation et non pas un billet), devient centrale par le fait étrange qu’elle disparaisse du dossier pour réapparaître.
Les responsables de l’Union des Jeunes Musulmans à Lyon ont permis de faire la lumière sur l’emploi du temps de Tariq Ramadan et, effectivement, il était à Lyon à l’heure des faits que la seconde plaignante apporte, mais cela ne signifie en aucune manière que Tariq Ramadan soit coupable pour autant.
Une simple réservation d’avion n’a jamais été un alibi. Et une absence d’alibi ne fait pas de vous un coupable.
Le fait d’avoir concentré les esprits sur cette réservation, qui ne prouve rien même si elle existait, a permis de nous écarter des éléments du dossier beaucoup plus problématiques pour les plaignantes. Et, en particulier, sur des indices manifestes de collusion avec des personnalités reconnues comme des ennemis idéologiques de Tariq Ramadan tels que Caroline Fourest, Gilles Kepel, Antoine Sfeir, le juge Debacq, Jean-Claude Elfassi, Ian Hamel, Alain Soral, Selim Laibi.
Que viennent faire toutes ces personnes très marquées idéologiquement et citées dans le dossier ?
Que viennent-elles faire dans une affaire présentée comme une affaire de mœurs ?
Jusqu’à aujourd’hui, on ne nous a fourni aucune explication crédible.
La justice statuera, nous en sommes convaincus, ce n’est qu’une question de temps.
Quelle est votre relation à Tariq Ramadan ? Votre amitié n’altère-t-elle pas votre jugement?
Je connais Tariq Ramadan depuis la fin des années 80. Nous avons travaillé et voyagé ensemble. Nous sommes proches effectivement. Mais, pour avoir côtoyé l’homme depuis si longtemps, je peux affirmer que des éléments dissonants de l’affaire ne cadrent en rien avec la personne qu’il est. Et je ne parle pas des faits dont on l’accuse. Je parle de tous ces « à côté » qui ne cadrent pas du tout avec l’homme et toutes ses qualités morales connus de tous.
Tariq Ramadan n’est pas un homme qui va imposer le voile, ni juger une femme parce qu’elle ne le porte pas.
« Il nous faut une justice équitable libérée de toute influence médiatique ».
Il n’est pas homme à demander à quiconque de prêter serment à quoi que ce soit.
Le récit des plaignantes est totalement à des années-lumière de ce que Tariq Ramadan est, promeut et défend.
Qu’attendez-vous de la justice aujourd’hui et que pensez-vous du traitement médiatique de l’affaire ?
Il faut rétablir de la sérénité, il nous faut une justice équitable libérée de toute influence médiatique.
Il faut juger des faits, rien que des faits. Pas une pensée.
Est-ce que cette affaire a divisé ou au contraire soudé la communauté musulmane ?
Les gens, musulmans ou non, ne sont pas dupes. Ils voient qu’il existe un deux poids deux mesures.
Cela n’est malheureusement pas nouveau dans notre pays.
Mais de nombreux autres facteurs rendent cette affaire extrêmement sensible aux yeux du grand public : les multiples dénonciations d’abus sexuels à l’encontre de personnalités politiques de haut rang qui se multiplient, la surmédiatisation et le symbole que représente Tariq Ramadan qui concentre toutes les attentions, le contexte difficile au Moyen-Orient qui rajoute à la tension, cette volonté politique de vouloir une nouvelle fois réorganiser l’islam de France dans ce contexte qui interroge.
Mais tout cela n’a pas été un frein à l’expression d’une solidarité impressionnante, des soutiens et des marques d’affection pour lesquels nous sommes très reconnaissants. Il est réconfortant pour la famille et les amis de recevoir toute cette empathie en ces temps de lourde épreuve.
Notre pétition a reçu plus d’une centaine de milliers de signataires, ce qui est remarquable dans le contexte d’une campagne médiatique que nous subissons depuis le début de cette affaire.
L’appel aux dons pour soutenir les frais de justice a reçu un vif succès au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer.
Maintenant, en tant qu’êtres de foi, nous savons que cette épreuve a un sens et que la justice finira par se prononcer. Tariq, sa famille et tous ceux qui les soutiennent vivent des moments très difficiles. Mais, la vérité reprendra sa place, nous en sommes convaincus. Et les Hommes de vérité, les Justes en sortiront grandis.
Car, comprenons-nous bien, avant de défendre un homme que nous aimons, nous défendons des valeurs communes qui nous constituent.
« S’il n’est pas soigné correctement, sa vie peut très vite être mise en danger ».
Que savez-vous de l’état de santé de Tariq Ramadan aujourd’hui ?
Nous sommes inquiets. Nous savons que Tariq va très mal. Il perd la sensibilité de ses membres inférieurs et souffre de douleurs importantes.
Les juges ont décidé que sa maladie ne justifiait pas sa libération. Mais il a été hospitalisé en urgence deux fois en moins de 15 jours. Nous ne comprenons pas la décision des juges.
Qu’est-ce qui motive cet acharnement ?
S’il n’est pas soigné correctement, sa vie peut très vite être mise en danger. Les conséquences en seraient dramatiques pour tout le monde.
S’il y a une chose que vous voudriez que les gens sachent sur cette affaire, quelle serait-elle ?
Nous voulons simplement de l’objectivité, du sens et de la clairvoyance. Ce sont les conditions de la vérité et d’une justice saine.
Quoi qu’on en dise et quoi qu’on en pense, Tariq Ramadan a le droit de bénéficier d’un traitement équitable. Il s’est rendu ce fameux 31 janvier à Paris avec une confiance totale en la justice. Ni lui ni nous n’avons pensé que l’éventualité d’une détention provisoire était possible. C’est un coup dur pour sa famille, pour nous ses proches, et pour l’ensemble des gens qui le soutiennent.
Mais nous sommes confiants, malgré tout. Nous avons un engagement envers les valeurs auxquelles nous croyons, envers la communauté musulmane qui nous fait confiance et envers la société auquelle nous appartenons.
Cet engagement est celui de promouvoir le vivre-ensemble, de défendre la justice, le droit et la vérité en France et dans le monde.
Quelle que soit l’issue de l’affaire de Tariq, nous continuerons avec tous les Justes à œuvrer et à nous exprimer sans relâche pour ne pas laisser notre pays s’abandonner à des déviances d’une autre époque.
C’est notre droit et notre devoir.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Des centaines de personnes célèbrent 13 années de manifestations contre le mur de Bil’in.
Le village qui a réussi à unir le monde dans l’esprit d’une manifestation palestinienne non violente célèbre plus d’une décennie, non seulement de gaz lacrymogènes, de raids nocturnes et de tragédie, mais aussi de co-résistance et de victoires dans la lutte contre les colonies, le mur de séparation et l’occupation.
Les manifestants célèbrent 13 années de lutte populaire à Bil’in. 2 mars 2018. (Activestills.org).
Quelque 500 manifestants ont célébré ce vendredi 13 années de lutte contre le mur de séparation dans le village cisjordanien de Bil’in. Les manifestants — des Palestiniens, des Israéliens et des militants solidaires internationaux — ont marché vers le mur, où la police israélienne des frontières a lancé sur eux des gaz lacrymogènes. Plusieurs militants ont souffert de l’inhalation de ces gaz et un militant international a été arrêté.
Les manifestations à Bil’in ont lieu chaque vendredi depuis février 2005, lorsque les bulldozers israéliens sont arrivés pour la première fois et ont commencé à dégager les oliviers pour faire place au mur. Après la prière hebdomadaire, les manifestants marchent du centre du village vers le mur de séparation, construit sur les terres du village. Les manifestants, dont certains étaient vêtus en personnages du film « Avatar » ou en Amérindiens, ont marché vers le mur à côté d’un tracteur portant un énorme « 13 », et décoré de photos de l’histoire de la lutte à Bil’in. Une fois le mur de séparation atteint, plusieurs militants ont essayé de l’escalader, entraînant l’arrivée de la police des frontières qui a lancé des gaz lacrymogènes directement sur les manifestants. Parmi ceux qui ont été blessés par ce tir de barrage se trouvait aussi un journaliste.
Quand le mur a été construit, il expropriait environ 1 950 dounams (195 hectares) des terres agricoles du village. Après des années de lutte et un jugement de la Cour suprême, le mur a été déplacé en 2011, redonnant environ 600 dounams (60 hectares) de terres au village, mais plus de 100 hectares restent de l’autre côté du mur, près de la colonie ultra-orthodoxe de Modi’in Ilit. Les résidents de Bil’in continuent à réclamer la récupération de la totalité de leurs terres.
Regagner des centaines de dounams de terre a fait de Bil’in, dans le monde entier, un symbole de résistance populaire au mur de séparation, aux colonies et au régime militaire dans les Territoires occupés. Mais le village a aussi souffert de lourdes pertes. Les soldats israéliens ont lancé une cartouche de gaz lacrymogène directement dans la poitrine de Bassem Abu Rahma, le tuant net. Sa soeur Jawaher est morte étouffée par l’inhalation des gaz. Au cours de plus d’une décennie de manifestations, des milliers de manifestants ont dû recevoir des soins médicaux, à la suite des mesures israéliennes de contrôle des foules, et des centaines ont été arrêtés.
La Cour internationale de justice de La Haye a jugé que le mur de séparation israélien est illégal selon le droit international puisqu’il n’est pas construit sur la frontière israélienne, mais sur le territoire palestinien en Cisjordanie occupée.
Traduction: Catherine G. pour l’Agence Média Palestine.
Source : +972.org.
Conférence avec Virginia Tilley à Science-Po le 12 mars à Paris.
Virginia Tilley est professeure de science politique à la Southern Illinois University-Carbondale (Etats-Unis), et la co-auteure, avec Richard Falk, du rapport censuré de l’ONU intitulé « Les Pratiques Israéliennes à l’égard du Peuple Palestinien et la Question de l’Apartheid ».
Commandé par la Commission économique et sociale pour l’Asie occidentale (CESAO) des Nations-Unies et publié en 2017 avant d’être censuré quasi-immédiatement sous pression d’Israël et des Etats-Unis, ce rapport documente de façon méthodique les pratiques et législations israéliennes qui légalisent et renforcent l’occupation, le vol des terres et l’inégalité entre Palestiniens et Israéliens. Comme son titre l’indique, ce rapport conclut que la situation actuelle en Palestine correspond à la définition légale d’apartheid selon le droit international.
A partir de cette conclusion, le rapport propose aux Nations-Unies de soutenir la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions lancée par la société civile palestinienne.
Virginia Tilley nous présentera ce rapport et nous parlera plus largement des enjeux liés à une approche légale de la lutte palestinienne, ses intérêts, avantages et limites. Elle partagera avec nous ses travaux sur l’apartheid et son expérience de la censure.
La conférence aura lieu le lundi 12 mars à 19h15, en salle Erignac, au 13 rue de l’Université, Paris 7ème.
Entrée libre pour les personnes internes à Sciences Po, pour les externes, inscription obligatoire : envoyer mail avec son nom et son prénom à : intersectionsp@gmail.com .

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Des dizaines de colons dirigés par l’ancien chef du Shin Bet prennent d’assaut la mosquée Al Aqsa
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Dimanche 4 Mars, des groupes de colons extrémistes ont renouvelé leurs incursions dans les cours saintes de la mosquée bénie Al-Aqsa, sous haute sécurité de la police spéciale israélienne.
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3 Soldats Israéliens blessés lors d’une attaque à la voiture bélier à Acre
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11 nouveaux projets coloniaux au sud de la vieille ville de Jérusalem occupée
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Netanyahu visite Washington pour rencontrer Trump
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Conférence sur le lobby pro-israélien et la politique américaine à Washington
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Facebook ferme 2 pages de médias palestiniens
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Un officier de l’Autorité Palestinienne: Pas de réconciliation avant le désarmement de la résistance
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Israël se prépare-t-il à contrer un nouvel ennemi venu de l’Est?
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Le Forum des médias exige une enquête sur les ordres israéliens d’attaquer les journalistes
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L’occupation envahit un village à Salfit
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Les détenus administratifs boycottent les tribunaux israéliens pour le 18ème jour
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L’occupation arrête 10 Palestiniens et détient 40 travailleurs en Cisjordanie
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Six Palestiniens blessés, un allemand sauvagement arrêté à Bil’in
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Escalade des violations contre les publications pro palestiniennes sur Facebook
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Affrontements dans le sud de Jénine
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L’occupation a empêché 22 Palestiniens de voyager la semaine dernière
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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