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Flash info du 11 Joumada At-Thani 1439.

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Sur Ajib.fr, voici les titres.

Le 24 février 1971, Boumediene nationalise les hydrocarbures et sonne le glas des sociétés françaises.
Le 24 février 1971, , le président du Conseil de la Révolution Houari Boumediene annonce, à l’occasion du 15e anniversaire de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) que l’Algérie reprend le contrôle de ses richesses naturelles. Face au refus des compagnies pétrolières françaises de renégocier les prix, le président Boumediene décide de nationaliser les hydrocarbures algériens.
« Il serait plus équitable, pour les investissements dans la recherche pétrolière, que les profits réalisés dans notre pays soient au moins dépensés sur place ! » déclare-t-il dans
Une main mise aussi soudaine qu’inattendue qui sonne le glas des français qui détiennent la majorité des sociétés opérant sur le sol algérien.
L’ère de la colonisation politique, géographique et enfin économique prend définitivement fin.
Une décision qui implique le même traitement pour les gisements de gaz, de pétrole, les mines ainsi que leurs infrastructures, qui désormais reviennent au peuple algérien.
Sur cette lancée, une ordonnance signée le 11 avril 1971 sur les hydrocarbures allait définir le cadre dans lequel devrait s’exercer l’activité des sociétés étrangères en matière de recherche et d’exploration des hydrocarbures.
Ce pan de l’histoire algérienne est un des événements les plus déterminants pour son avenir économique. L’Algérie a ainsi retrouvé sa pleine souveraineté nationale.
M. Lounis Ammar, ancien membre de la Fédération nationale des travailleurs du pétrole, du gaz et de la chimie dit se souvenir de la réaction du personnel étranger à l’annonce de la décision de feu Boumediene.
« Ils ont immédiatement quitté les sites de production, croyant que les torches ne brûleront plus après leur départ », se remémore-t-il.
Cependant, a-t-il poursuivi, « c’était sans compter sur la détermination et l’abnégation du personnel algérien qui s’est mobilisé pour relever le défi et permettre à l’industrie algérienne d’hydrocarbures de continuer à tourner ».
Les Algériens de l’époque ne sont peu ou pas qualifiés pour travailler dans ce genre d’industrie. Mais, « la volonté de pouvoir disposer nous-mêmes de nos richesses naturelles était si grande que nous avons réussi à poursuivre la production », a affirmé M. Lounis.
L’Algérie ouvre la voie à d’autres pays comme l’Irak en 1972 et la Libye en 1973, qui à leur tour nationalisent des compagnies anglo-américaines de pétrole.
Tunisie : Choc : Un parti tunisien présente un candidat juif aux élections municipales.
Le porte-parole du parti ultra-conservateur tunisien Ennahda (Mouvement de la renaissance islamique) présidé par Rached Ghannouchi a fait une déclaration qui en a étonné plus d’un le 20 février dernier. Imed Khemiri a déclaré qu’un juif tunisien représentera le parti aux municipales de Monastir en mai prochain. Autant dire que cette annonce a fait l’effet d’une bombe dans le pays.
Pourtant le député Imed Khemiri se veut tout-à-fait serain et sûr de son choix, selon lui c’est un signe d’ouverture.
« Pourquoi pas ! Nous ne voyons pas de problèmes. Ennahda est un parti ouvert aux candidats indépendants. Nous pensons que Simon Slama pourra être un élu utile et actif dans cette municipalité » a-t-il déclaré sur Al-Jazeera.
Le parti Ennahda inspiré des Frères musulmans a émergé suite au printemps arabe tunisien aux côtés de formations politiques progressistes, ce qui explique en grande partie l’étonnement de ses opposants et des tunisiens en général après l’annonce de cette décision.
Pour certains, le parti veut faire du buzz dans l’espoir de booster le vote des électeurs dans une région où ses scores sont habituellement bas, pour d’autres, cette nomination insolite s’inscrit dans une volonté stratégique de rassurer ses partenaires politiques tunisiens, voire les chancelleries occidentales.
Redorer son blason et donner l’image d’un parti ouvert « contraire à l’idéologie islamique de base du parti » comme le souligne le site d’information qatari.
Simon Slama est présenté comme un « candidat juif indépendant », distinct d’Ennahda qui a annoncé au dixième congrès en 2016 vouloir séparer ses activités religieuses, des programmes politiques du parti dans une volonté de « respecter et défendre les valeurs de la République ».
Le principal intéressé se dit fier de représenter le parti car selon lui, « Il n’y a aucune différence entre un arabe et un chrétien. La religion doit être mise de côté parce que l’amour de la patrie est plus important », a-t-il dit au journal Al Qods avant d’ajouter : « J’ai choisi ce parti parce que ses membres ont peur d’Allah »
1 500 Juifs vivent en Tunisie principalement sur l’île de Djerba, autour de la vieille synagogue de la Ghriba.
Un cadeau de trump de 39 Milliards.
Dans sa très attendue lettre annuelle aux actionnaires, Warren Buffett, 87 ans, l’un des trois hommes les plus riches du monde, indique que le gain net des participations de sa société était de 65,3 milliards de dollars en 2017. Oui 65,3 milliards de dollars.
Pour remettre les choses en perspective, le chiffre d’affaires annuel de sa société est pratiquement l’équivalent du PIB de l’Algérie ou du Qatar et donc plus que le PIB de près de 150 pays sur Terre…Quant au bénéfice de 65,3 milliards de dollars, il suffirait à changer la vie d’une bonne partie des pauvres sur Terre s’il était complètement distribué aujourd’hui.
Dans l’insanité de ces chiffres, il y a deux éléments qui valent la peine d’être cités. La première, de l’aveu du concerné lui-même :
« Une grande partie de cette portion ne vient pas de ce que nous avons accompli à Berkshire », explique Warren Buffett,. « Seulement 36 milliards viennent de nos opérations. Le reste des 29 milliards nous a été donné en décembre quand le Congrès a réécrit le code fiscal ».
Le deuxième élément c’est qu’à 87 ans (94 ans pour son associé) il n’a toujours pas lâché le contrôle de sa société et Buffett, malgré sa richesse, est connu pour vivre la même vie qu’il y a plus ou moins 50 ans. Même voiture, même appartement, mêmes habitudes, même train de vie. Tout comme Gérard Mulliez par exemple, le fondateur d’Auchan, également milliardaire, ou avant lui Sam Walton, le fondateur du géant américain Wal-Mart, Ingvar Kamprad le fondateur d’Ikea récemment décédé ou encore Amancio Ortega, le créateur et patron de Zara (Inditex).
Bref un rappel pour nous musulmans, que la richesse est vraiment une chose secondaire dans cette vie.
D’après Abou Dhar (qu’Allah l’agrée), le Prophète (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) a dit: « Ô Abou Dhar, penses-tu que le riche est celui qui possède beaucoup d’argent? Certes la richesse est la richesse du coeur et la pauvreté est la pauvreté du coeur. Celui qui a la richesse dans le coeur ce qu’il va rencontrer dans la vie d’ici-bas ne lui nuira pas, et celui qui a la pauvreté dans son coeur tout ce qu’il amassera dans cette vie ne le rendra pas riche et certes son avarice va lui nuire ».
(Rapporté par Nasai et authentifié par cheikh Albani dans Sahih Al Jami n°7816).
Arabie Saoudite: chute de grelons spectaculaires.
L’événement spectaculaire a eu lieu le 24 Février dans le nord ouest de l’Arabie Saoudite.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Palestine : Jérusalem : les églises, en colère contre Israël, ont fermé le Saint-Sépulcre.
La fermeture du Saint-Sépulcre, qui abrite le site du tombeau du Christ selon la tradition chrétienne, est loin d’être passée inaperçue. Et pour cause : elle est exceptionnelle.
La décision a été prise par les trois Eglises gérant ce lieu saint à Jérusalem-Est, qui a fermé ses portes dimanche 25 février à l’issue des liturgies dominicales. Il restera fermé pour une durée indéterminée aussi bien pour les touristes que pour les pèlerins.
Le chefs des Églises grecque orthodoxe, arménienne et catholique entendent dénoncer « la campagne systématique contre les Eglises et les communautés chrétiennes de Terre sainte » menée par Israël.
Parmi les mesures dénoncées, la récente décision de la Ville de Jérusalem d’appliquer la taxe municipale d’habitation sur les biens commerciaux des Eglises alors qu’elles bénéficiaient jusque-là d’une exemption fiscale depuis l’époque ottomane. L’ardoise s’élèverait alors pour les Eglises à 152 millions d’euros. La municipalité a décidé, pour récupérer l’argent, de geler les comptes bancaires de plusieurs Eglises et parfois d’y saisir de l’argent.
« L’approche brutale et cynique de la municipalité n’est pas acceptable », a fait savoir Fareed Jubran, conseiller juridique de la Custodie de Terre sainte, gardien des lieux saints pour l’Eglise catholique, citée par Le Monde, estimant que la mairie devrait plutôt « remercier » les Eglises, qui génèrent des revenus grâce au tourisme de pèlerinage et qui soutiennent au quotidien les chrétiens palestiniens.
Les Eglises redoutent également « l’expropriation des terres de l’Eglise » si la Knesset adopte un projet de loi qui octroierait à l’Etat un pouvoir d’expropriation sur tout bien foncier ecclésial situé à Jérusalem, et qui aurait été vendu à des sociétés privées depuis 2010.
Birmanie : plus de 50 villages de Rohingyas rasés par les autorités. vidéo.
Des dizaines de villages rohingyas ont été rasés au bulldozer par les autorités birmanes afin d’effacer les traces de la présence de cette minorité dans l’Arakan. © HRW
Des images satellite ont révélé que le gouvernement birman a rasé depuis la fin de l’année 2017 au bulldozer au moins 55 villages rohingyas dépeuplés dans le nord de l’Etat d’Arakan (Rakhine), déplore Human Rights Watch (HRW), informant que la plupart des villages faisaient partie des 362 qui ont complètement ou partiellement été détruits par des incendies depuis août 2017 lors de la dernière campagne de répression contre les Rohingyas.
« Nombre de ces villages ont été la scène d’atrocités contre les Rohingyas et devraient être préservés afin que les experts désignés par l’ONU puissent enquêter sur ces abus, évaluer de manière adéquate les éléments de preuve et contribuer à l’identification des responsables », estime Brad Adams, directeur de la division Asie de HRW.
« Le Conseil de sécurité des Nations Unies, diverses agences de l’ONU et les bailleurs de fonds internationaux devraient exiger la cessation immédiate de cette tentative d’effacer les traces de villages rohingyas détruits », indique l’ONG des droits humains. « Il s’agit de lieux de crimes qui devraient être préservés afin de pouvoir être examinés par la mission d’enquête de l’ONU, que le gouvernement birman devrait autoriser à accéder aux zones concernées. »
reportage a voir sur saphirnews.com.

Sur oumma.com, voici les titres.

Arabie Saoudite : Des centaines de Saoudiens ont assisté au premier Festival de Jazz du royaume.
Il y avait du groove dans l’air à Riyad, jeudi soir dernier, alors que le tout premier Festival de Jazz du royaume wahhabite donnait le « la » à une ouverture culturelle et artistique sans précédent, s’inscrivant, en rythme, dans le vaste plan de réformes « Vision 2030 ».
Plus de 2 000 personnes, dont des centaines de Saoudiens, se sont pressées vers la scène musicale dressée à l’extérieur de l’hôtel Intercontinental pour assister, voire même vibrer au son du Groovz Jazz Festival, l’événement du week-end en Arabie saoudite qui a déjà fait date.
Comblés au-delà de leurs espérances, les organisateurs de la première édition d’un Festival réussi, qui a trouvé son public et sera le prélude à une longue série d’autres, ont observé avec satisfaction que leurs concitoyens, femmes et hommes, écoutaient avec un plaisir manifeste les prestations de groupes venus du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Moyen-Orient.
Il n’était pas rare de les voir se balancer en cadence et ils furent nombreux à entonner en chœur le refrain de « Hôtel California » des Eagles, encouragés en cela par le chanteur libanais Chady Nashef.
« Je suis tellement heureux de me lever ce matin pour me produire devant mes compatriotes !», s’est exclamé le local de l’étape, le musicien Saleh Zaid, membre du groupe Min Riyadh, qui attendait le grand jour avec impatience.
Son enthousiasme était partagé par d’éminentes personnalités saoudiennes qui, sans l’ombre d’une note discordante, ont approuvé à l’unisson la tenue de ce Festival unique en son genre dont certains espèrent qu’il fera des petits.
« C’est une chance rare de se rencontrer », s’est félicitée la femme d’affaires très en vue, Rana Al-Mohammed, tandis qu’un habitant de Riyad, visiblement enchanté de sa soirée, louait la volonté réformatrice affichée par le tout-puissant prince héritier Mohammed bin Salman, qui se concrétise chaque jour davantage. « Ce festival montre que nos dirigeants veulent que l’Arabie saoudite s’ouvre à la modernité et à d’autres cultures », s’est réjoui Salem al-Ahmed.
Et ce n’est que le début des réjouissances, puisque les autorités saoudiennes prévoient de consacrer 64 milliards de dollars au développement des activités culturelles et de divertissements dans tout le royaume, mais aussi d’investir dans de nouvelles installations impressionnantes, à la pointe de la technologie, telles qu’un opéra majestueux.
« Nous construisons déjà l’infrastructure », a confié au Guardian le chef de l’Autorité générale de l’audiovisuel, Ahmad bin Aqeel al-Khatib, en indiquant avec une pointe de fierté : « Si Dieu le veut, vous verrez un véritable changement d’ici à 2020 ».
Palestine : La détention administrative de Salah Hamouri est renouvelée !
La France est humiliée mais le combat continue.
Avidgor Liberman, ministre israélien de la Défense, a signé le renouvellement de la détention de Salah Hamouri, avocat franco-palestinien, arbitrairement incarcéré par Israël depuis le 23 août 2017. Cette détention est prolongée de 4 mois, renouvelables. L’arbitraire et l’injustice les plus absolus continuent.
À l’arbitraire de l’Etat israélien s’ajoute les responsabilités de la France qui, au-delà de ses affirmations, n’a pas mis en œuvre des moyens conséquents dont elle dispose pour faire libérer un Français, victime d’un arbitraire politique qui lui vaut une détention totalement injuste à l’étranger.
Cette absence de résolution de notre pays, malgré les paroles, aboutit à cette situation où elle n’a pas permis de garantir que l’injustice ne se répète pas et que Salah soit libéré le 28 février comme nous n’avons cessé de le demander avec force.
Tout cela est politique. Et côté israélien et côté français. La justice, le droit ne sont, dans cette relation entre nos deux pays, que des variables d’ajustements et non, côté français, des principes intangibles et universels à défendre farouchement en tout lieu et en tout temps.
Puisque les responsabilités de cette situation sont ainsi clairement établies, que nous savons tous que l’Etat d’Israël piétine sans la moindre réaction le droit et fait de l’arbitraire un principe, nous appelons à manifester vers la présidence française notre mécontentement légitime et notre volonté d’action à la hauteur de l’enjeu : il en va du destin d’un homme, du droit mais aussi de celui de notre pays.
Nous demandons, dans cette situation extrême, que le Président de la République reçoive enfin sa femme Elsa Lefort dans les plus brefs délais, afin de lui faire part de ses intentions.
L’arbitraire continue. Notre action continuera en conséquence. Plus déterminée et résolue que jamais. Ceux qui croient que nous nous lasseront se trompent. Nous puisons des forces nouvelles dans cette décision.
Le comité de soutien à Salah Hamouri.
Paris, lundi 26 février 2018.
Le porte-parole en exil des Rohingyas n’ira pas en Europe pour dénoncer le génocide de son peuple.
Privé de visa, Habiburahman, une éminente figure en exil des Rohingyas, la minorité musulmane martyre de Birmanie, risque fort d’être privé de parole, alors que la perspective de monter à la tribune du Parlement européen pour dénoncer le génocide subi par son peuple s’est éloignée au fil des jours.
Apatride au Myanmar qu’il a fui en 2000, à l’âge de 19 ans, pour échapper aux terribles persécutions qui le frappaient, il reste, aujourd’hui encore, un éternel apatride en Australie où il trouva refuge en 2009, après un long périple périlleux qui le mena en Thaïlande, puis en Malaisie.
Marqué au fer rouge de l’apatridie, Habiburahman, ce réfugié politique qui redoute plus que tout d’être muselé du fait de l’impossibilité de quitter Melbourne, sa terre d’asile, au risque d’être refoulé à son retour, a plaidé sa cause avec force auprès des autorités australiennes. Mais, jusqu’à présent, ce fut un prêche dans le désert.
« Je suis apatride en Australie depuis de nombreuses années. Ma punition est maintenue vivante pour toujours », a-t-il vivement déploré dans un entretien accordé au quotidien britannique The Guardian, à l’approche d’une tournée imminente en Belgique et en France (respectivement les 26 et 28 février, puis du 1er au 8 mars) pour promouvoir son ouvrage intitulé « D’abord, ils ont effacé notre nom » (Éd. La Martinière).
Un livre auto-biographique dans lequel il relate son parcours personnel douloureux, avec en toile de fond l’effroyable extermination ethnique des Rohingyas, planifiée et mise en œuvre par la junte militaire birmane et les moines bouddhistes ultra-nationalistes, sous le regard complice de Aung San Suu Kyi, qu’il a co-écrit avec la journaliste, auteure et réalisatrice française Sophie Ansel, que nous avons reçue dans l’Esprit d’Actu en septembre 2017.
Désireux de parler au nom de son peuple réduit au silence, après avoir été diabolisé, pourchassé, supplicié et massacré en silence pendant des années, Habiburahman, qui a fondé à Melbourne une association afin de défendre les droits piétinés de sa communauté, ne se résout pas à voir « cette chance de parler pour mon peuple qui continue de souffrir et reste sans voix » se briser sur le récif d’une privation de visa.
Invité à s’exprimer dans l’enceinte du Parlement européen par l’eurodéputée belge Marie Arena, le meilleur porte-parole des Rohingyas, ainsi cruellement bâillonné, ne pourra pas non plus s’entretenir avec des représentants d’Amnesty International. Des lettres de soutien ont été envoyées au président français, Emmanuel Macron.
« Nous sommes l’indicible », se désole Habiburahman. « En Birmanie, nous ne sommes pas autorisés à dire que nous sommes Rohingya, et on ne peut pas dénoncer ce que nous subissons. On ne peut pas signaler à la police le sort qui nous est infligé. C’est comme si notre bouche était fermée, nos yeux fermés. Nous sommes réduits au rang d’esclaves », s’insurge-t-il.
Interviewée également par The Guardian, Sophie Ansel a insisté sur l’importance capitale que revêt son témoignage : « Il n’est pas seulement nécessaire qu’il soit là, c’est une urgence. C’est un devoir pour ceux qui ont le pouvoir d’autoriser ce voyage en Europe de le faire, parce qu’il n’y a guère d’occasions pour les Rohingyas d’élever la voix et parce que chaque jour qui passe, sans que la communauté internationale agisse, est un jour de plus où les villages sont brûlés, où des familles entières sont forcées de fuir, où des Rohingyas sont violés et tués ».
France : Avis de recherche.
L’imam Chalghoumi a disparu des écrans radars et de télé. Je prie toutes les personnes qui auraient des nouvelles rassurantes à son sujet de bien vouloir m’en faire part. Je me console pour l’instant en pensant qu’être homme de foi et proche de Dieu, ne vous met pas pour autant à l’abri des petits ennuis de santé, pour peu qu’on quitte sa blanche calotte aux premiers frimas ou qu’on attrape un chaud et froid entre la mosquée mal chauffée et les salons feutrés. Je prie par conséquent si tel était le cas, pour que notre imam-ami se rétablisse très rapidement, car sa voix nous manque terriblement par ces temps de fack news, de mœurs en roue libre et de laïcité débridée et douteuse.
J’ai commencé à m’inquiéter devant son absence de réaction à l’occasion de la prise de Jérusalem par le Président Donald Trump et ses sbires. J’ai attribué ce silence à son faible niveau d’Anglais et à sa retenue habituelle qui le fait toujours passer pour ignare. Je pense que s’il n’a pas réagi, c’est plus par timidité que par inféodation à on ne sait quels groupes d’influence imaginaires.
J’ai continué à m’inquiéter de son silence à la suite des insinuations malveillantes relatives au comportement prétendument immoral de monsieur Wenstein, personnalité de premier plan à qui le cinéma, l’art et la culture doivent tant, victime de sa séduction légendaire et de la jalousie des femmes. En revanche je dois avouer que j’ai compris son silence lors des révélations au sujet des frasques supposées de son collègue Ramadan, parce qu’il paraît qu’il lui reprocherait de ne pas partager et de jouer perso et ma foi, on peut comprendre.
Je m’attendais à le voir voler au secours du journaliste Frédéric Haziza, victime lui aussi d’une scandaleuse cabale et accusé à tort, bien évidemment, d’avoir eu des comportements inappropriés avec ses collègues féminines, comme si le charme et la virilité constituaient un délit alors qu’ils sont des attributs éminemment et indiscutablement masculins. Dieu, que c’est moche la jalousie a dû penser l’imam-ami mal aimé !
J’avais pensé aussi qu’il était parti en Birmanie avec BHL, pour convaincre Madame Aung san suu kyi dirigeante de ce pays, de réserver un traitement plus humain à ses concitoyens Rohingyas. Mais on m’a dit que BHL n’avait pas eu le temps.
J’étais même convaincu, dans un moment de bête béatitude, qu’il était parti au moment des fêtes et des cadeaux de Noël avec son ami Malek Halter, rendre visite aux petits enfants de Gaza, dont les maisons n’ont toujours pas été reconstruites depuis la dernière visite des chars israéliens.
J’étais encore plus inquiet de ne pas l’avoir vu le jour de la commémoration de la mort de son ami Charlie, qu’il avait connu personnellement, comme il nous l’avait appris.
J’ai questionné partout autour de moi. Sans succès hélas.
On m’a conseillé de contacter des amis proches, comme Marek Halter, Eric Zemmour ou Elizabeth Lévy. Je n’ai pas osé.
J’ai interrogé certaines rédactions, fait le gué devant les sièges des télévisions ; aucune avancée là non plus.
J’ai même pensé interroger Manuel Valls mais j’ai dû renoncer de peur de me faire chapitrer et d’être éconduit pour avoir eu l’outrecuidance d’interroger un laïc pur sucre au sujet d’un imam, qui plus est.
Reste tout compte fait à espérer l’aide de tous, afin de ne pas ajouter l’inquiétude au désarroi de ses coreligionnaires et de tous les démocrates qui désespèrent à l’idée d’être privés plus longtemps d’une voix aussi respectée, d’un homme aussi dévoué, et d’une sommité religieuse aussi considérable.

Sur des domes et des minarets.fr, voici les titres.

Un chrétien fait un don à la mosquée.
Dans un océan d’intolérance, cette lettre pleine d’amour redonne l’espoir. Les mots de ce chrétien venu rencontrer la communauté musulmane à Mulhouse le 26 novembre dernier, sont la preuve qu’en France en 2018, le bon vivre ensemble peut fonctionner. Nous partageons avec vous cette lettre reçue par l’association en charge de la construction de la Grande Mosquée de Metz, à qui Jean-Marie a fait un don. D’ailleurs, ce n’est pas la première fois qu’il accomplit un tel geste.
lettre a lire sur des domes et des minarets.fr.
Le Japon et les musulmans.
Si la première mention d’”al-Yâban” dans les sources islamiques remonte à 1430, on peut marquer le début des relations islamo-japonaises à la somptueuse ambassade envoyée par le sultan ottoman Abdülhamid II à son homologue l’empereur Meiji, en 1889.
Sur le navire Ertugrül, pas moins de 600 marins et diplomates, ainsi que de nombreux cadeaux pour le souverain nippon : accueilli avec une rare hospitalité par les Japonais, l’équipage subit malheureusement un typhon sur le chemin du retour, dont personne ne réchappe. Aussitôt, un jeune journaliste, Yamada Torajiro, lance une récolte de fonds pour les familles des disparus et parvient à lever l’équivalent de 100 millions de dollars aujourd’hui. Il se rend en personne à Istanbul, en 1892, pour remettre la somme au sultan Abdülhamid, et tombe amoureux de la ville : il y restera vingt ans, ne manquant aucune occasion de resserrer les liens entre la Ummah et le pays du soleil levant, et se convertira à l’islâm sous le nom de ‘Abd al-Halîm, devenant ainsi le premier musulman de son peuple.
Car au-delà du respect mutuel qui animent ces deux civilisations qui se considèrent l’une et l’autre comme de haute valeur morale, le Japon de l’ère Meiji – première nation non européenne de l’époque moderne à parvenir à un tel niveau de puissance et de développement – exerce surtout une véritable fascination sur les musulmans “éveillés” qui travaillent au renouveau islamique. Quand, en 1905, l’armée japonaise parvient à vaincre les troupes russes – une première historique -, une véritable frénésie s’empare des musulmans, notamment ceux d’Asie centrale, qui subissent de plein fouet la domination des tsars. Les poèmes vantant la gloire de Meiji se multiplient, au point qu’un savant de Boukhara propagera même la rumeur que l’empereur nippon descendrait d’une tribu yéménite et se serait secrètement converti à l’islâm…
Plus sérieusement, la guerre de 1905 amène surtout la construction de la première mosquée du Japon, construite par des prisonniers de guerre tatars de l’armée russe : le Japon devient également un refuge pour les activistes musulmans pourchassés par les tsars. Ainsi, en 1909, ‘Abd al-Rashid Ibrahim, un imâm tatar, s’y installe et y développe la da’wa, amenant de nombreux Japonais à l’islâm, tandis qu’une première traduction du Qur’ân dans la langue du pays est publiée en 1920 par un prêtre bouddhiste. Le flot de réfugiés tatars ne tarit pas avec l’avènement de l’URSS, au point que la communauté musulmane, désormais bien implantée à Tokyo, y construit sa Grande Mosquée, ainsi qu’une école islamique, en 1938, publiant plus d’une centaine d’ouvrages.
Désormais grand imâm de la capitale de l’empire du Japon, ‘Abd al-Rashid Ibrahim intercédera par la suite fréquemment en faveur des musulmans d’Asie passés sous domination japonaise lors de la Seconde Guerre Mondiale, et les appellera à une alliance stratégique contre les puissances occidentales, à la manière du mufti al-Husseini avec l’Allemagne… Mais ceci est une autre histoire!

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Elle a ordonné le licenciement de 3000 enseignants grévistes : Benghebrit passe à l’acte.
Arrêt de travail des enseignants et des médecins résidents : Ould Abbes met en garde.
L’ARBITRAGE FAIT ENCORE DES SIENNES DANS LE FOOT NATIONAL : LE TEMPS DES RIPOUX.
2,5 millions d’Algériens s’y sont rendus en 2017 : La Tunisie face à son tourisme.
Conférence de presse du comité de solidarité avec Ahmed Badaoui : Halte au » déni de justice » !.
Violence urbaine à Oran : Une couverture sécuritaire renforcée.
600 000 dossiers de souscripteurs passés au crible par les pouvoirs publics / AADL : échec aux fraudeurs.

Sur le muslim post.com, voici les titres.

En deux ans, 27 000 vies sauvées en Méditerranée grâce à l’Aquarius.
En 2017, plus de 3 000 migrants ont trouvé la mort en Méditerranée en fuyant leur pays en guerre, dans des embarcations de fortune. Au total, 10 000 personnes sont décédées en mer depuis 2014. Mais depuis plusieurs années, des ONG se mobilisent pour leur venir en aide, en affrétant des bateaux.
L’Aquarius est l’un d’eux, parti il y a deux ans du port de Marseille. Financé majoritairement par des dons privés, il été affrété par l’ONG SOS Méditerranée. Long de 77 mètres, il reste en permanence dans les zones de sauvetage et peut accueillir à son bord plus de 1 000 personnes.
Auparavant utilisé pour la surveillance de la pêche, le bateau est désormais surnommé « l’ambulance des mers ». En effet, avec l’aide du personnel médical de Médecins sans Frontières, l’Aquarius a contribué à sauver 27.000 vies depuis deux ans, selon l’AFP.
En deux ans, cinq naissances à bord de l’Aquarius.
Cinq bébés ont également poussé leur premier cri sur l’Aquarius. Mercy, une petite fille nigériane a d’ailleurs inspiré le duo Madame Monsieur, à l’Eurovision 2018.
« Je suis née ce matin, Je m’appelle Mercy. Au milieu de la mer, entre deux pays, Mercy. C’était un long chemin et Maman l’a pris. Elle m’avait dans la peau, huit mois et demi. Oh oui, huit mois et demi », ont chanté Emilie Satt et Jean-Karl Lucas, évoquant l’histoire de ce bébé miraculé, né à bord du bateau.
« Les bénévoles de MSF sont tombés dans les bras les uns des autres, tout le monde a applaudi. On a même chanté One Love, de Bob Marley, sur le pont du bateau. C’était un moment unique », a raconté à France Info Grégory Leclerc, journaliste présent à bord.
En mai 2016, une Camerounaise de 21 ans secourue au large de la Libye, avait elle aussi accouché à bord de L’Aquarius. Les parents avaient appelé leur enfant Destiné Alex, en hommage au capitaine biélorusse du bateau, Alexander Moroz.
Mais si l’équipage de l’Aquarius a de belles histoires à raconter, il a également dû faire face à quelques échecs et critiques, comme les autres missions de sauvetage en Méditerranée.
L’Aquarius et les autres bateau de sauvetage soupçonnés de complicité avec les passeurs.
« À la fin du mois de juillet, on est arrivé trop tard pour huit personnes, qui sont mortes étouffées dans le fond du canot. C’était une atmosphère différente à bord du navire parce que même si on avait réussi à sauver 115 personnes, il y avait toujours ces huit personnes pour lesquelles on était arrivés trop tard. On a vraiment eu l’impression qu’on n’a pas fait notre travail à fond. Et ça nous met en colère », explique à France Info Alice Gautreau, sage-femme à bord de l’Aquarius.
Au printemps 2017, les ONG ont subi aussi de nombreuses attaques de la part du gouvernement italien, les accusant de connivence avec les réseaux de passeurs. Les garde-côtes libyens, formés par l’UE, ont récupéré au printemps des vedettes fournies par l’Italie et repoussé les ONG plus loin de leurs côtes, en élargissant leur zone de recherche et de secours.
Les humanitaires à bord des bateaux sont également l’objet de critiques par les responsables européens, les accusant de créer « un appel d’air » pour les migrants. Des tensions qui ont poussé plusieurs ONG à retirer leurs navires, d’autant que des opérations de contre-sauvetage ont aussi été lancées par des groupes identitaires.
« Ces gens ne partent pas en quête d’un eldorado, ils fuient un enfer. La majorité des migrants sont sauvés par des navires militaires » rappelle Francis Vallat, le président de SOS Méditerranée.
Selon les gardes-côtes italiens, les migrants secourus par des ONG ont représenté 1% du total en 2014, 13 % en 2015, 26 % en 2016 et 46 % en 2017.
reportage a voir sur le muslim post.com.
France : A Marseille, bientôt une place ou une rue en mémoire d’Ibrahim Ali ?
Marseille a comme chaque année, commémoré la mort d’Ibrahim Ali, rassemblant une centaine de personnes sur les lieux de l’assassinat. Ce jeune d’origine comorienne, a été abattu à 17 ans le 21 février 1995, d’une balle dans le dos par des colleurs d’affiches du Front national. Il alors sortait d’une répétition avec son groupe de musique B-Vice.
Déjà à l’époque, ce drame avait secoué la cité phocéenne et la communauté comorienne était descendue dans la rue. Entre 10 000 et 15 000 personnes avaient défilé pour lui rendre hommage, s’indignant de cet acte raciste. Le père d’Ibrahim, lui, demandait « la justice, la clarté (…) la dignité pour la mémoire de (son) fils. »
Lors du procès, en juin 1998, plusieurs témoignages démontrent le racisme et de la violence de Robert Lagier, l’un des trois accusés. Il écope de quinze ans de prison et décède en détention. Les deux autres accusés, Mario d’Ambrosio, également armé ce soir-là, a été condamné à dix ans et Pierre Giglio à deux ans, dont un avec sursis.
« Un jour viendra, une rue, un lieu culturel portera ton nom Ibrahim, je m’y engage »
Si justice a été rendue, l’émotion suscitée par cette affaire est toujours importante. Récemment, le député LREM, Saïd Ahmada, a demandé au maire de Marseille, que la rue où Ibrahim Ali a été abattu, soit « rebaptisée en son nom ». Il explique même que cet assassinat a marqué « le début de son engagement politique », dans sa lettre adressée à Jean-Claude Gaudin.
« Un jour viendra, une rue, un lieu culturel portera ton nom Ibrahim, je m’y engage », a également posté sur Facebook la sénatrice PS Samia Ghali, rappelant aussi la promesse de Jean-Claude Gaudin, trois jours après la mort du jeune homme, de baptiser une place en son nom.
« Depuis 10 ans, je demande au Maire de Marseille, que le nom d’Ibrahim Ali soit donné à une rue. Demande qu’il a toujours balayé d’un revers de main. Chaque année en séance du conseil, je parle d’Ibrahim Ali et je continuerai à porter cette demande car ce refus est pour moi plus qu’un mépris, c’est un déni. La mémoire collective a besoin de symboles, d’images et de traces », ajoute t-elle.
Pour attribuer le nom d’une rue à quelqu’un, la personne doit être décédée depuis au moins 5 ans, avoir un lien avec la ville, son nom ne doit pas être déjà attribué dans la même ville et l’accord de la famille doit également être demandé.
Ibrahim Ali remplit les principaux critères, seulement, comme l’explique La Provence, un rond-point porte déjà son nom dans le 15e arrondissement à Marseille. Une plaque commémorative a également été affiché sur les lieux du drame, ce qui empêcherait donc la création d’une plaque.
Ses proches espèrent cependant qu’une école ou un autre établissement porte un jour son nom.
Caroline de Haas : pourquoi elle a décidé de quitter les réseaux sociaux.
Dans un texte intitulé « J’arrête » et publié aujourd’hui sur Médiapart, Caroline de Haas a annoncé sa ‘déconnexion’ des réseaux sociaux.
Je suis fatiguée de ces violences. Je suis fatiguée de savoir que mes ami.e.s, ma famille et mes collègues voient des messages haineux à mon encontre. Je suis fatiguée de ces espaces sur lesquels des agresseurs, par milliers, me harcèlement et m’insultent en toute impunité. J’arrête. Je quitte les réseaux sociaux pour un temps indéterminé », écrit-elle.
Récemment, la cofondatrice du mouvement Osez le féminisme a en effet été associée à un article dans l’Obs, intitulé « Un homme sur deux ou trois est un agresseur ». Une interview datant du 14 février, qui lui a valu « une vague de haine et de harcèlement sur les réseaux sociaux ».
Elle avait pourtant tenu dès le 15 février à préciser sur Facebook que ses propos n’avaient pas été correctement rendus, regrettant également le choix du titre : « Si une femme sur deux est victime, combien d’agresseurs nous entourent ? Est-ce un homme sur deux ? Un homme sur trois ? Je n’en sais rien. Je sais juste que c’est beaucoup. »
Puis, suite à l’article de Libération enquêtant sur les abus sexuels contre des militantes syndicales de l’UNEF, la militante a été accusée de complicité passive, alors qu’elle était à l’époque des faits la secrétaire générale de l’organisation (entre 2007 et 2015).
Un reproche venant directement du chroniqueur Eric Naulleau sur Twitter et ce à quoi elle répond : « Parce qu’à l’époque je n’avais pas vu ces violences, c’est que j’étais complice. (…) Non, il a décidé de se payer une militante féministe », accuse-t-elle.
Caroline de Haas se retire donc de la toile, bien qu’habituée à de nombreuses réactions hostiles à son égard sur les réseaux sociaux, de part son engagement. Mais cette fois-ci, elle semble estimer que ces deux dernières polémiques sont celles de trop.
Pour autant, la militante est bien décidée à poursuivre ses actions en faveur des droits des femmes. « La bonne nouvelle ? On peut changer le monde sans être sur les réseaux sociaux. Je me dis même qu’on le change sans doute mieux sans eux », conclut-elle.
La LICRA accusée de racisme après le partage d’un dessin sur l’affaire Mennel.
Elle s’appelle la Ligue Internationale contre le racisme et l’antisémitisme, et pourtant c’est bien de racisme qu’est accusée la LICRA.
Vendredi, 23 février, l’association a publié sur son fil Twitter une caricature du dessinateur Ranson.
On y voit une femme voilée indiquant à un terroriste vouloir retourner en France car elle « est sélectionnée pour le prochain casting du Loft ». « T’as pensé à effacer tous tes tweets en faveur de Daesh ? », lui répond un terroriste.
Un dessin qui fait directement référence à l’affaire Mennel, ex-candidate à The Voice, dont la participation à l’émission à été remise en cause pour ses publications sur les réseaux sociaux.
Mais avec ce post, la LICRA fait non seulement un amalgame entre islam et terrorisme, mais aussi stigmatise la chanteuse, associant une musulmane voilée à une terroriste.
« Votre mission est de combattre les préjugés racistes. Tous. Pensez-vous vraiment que c’est ce que vous faites avec ce genre de dessin ? Reprenez vous », a réagi le député LREM, Aurélien Taché.
Ce dessin est en effet loin de la mission de lutte contre le racisme, portée par l’association. Des internautes ont d’ailleurs relevé plusieurs autres « dessins de la semaine » plutôt controversés postés par la LICRA.
Le 24 février, Mario Stasi, le président de la Licra, a finalement annoncé le retrait du dessin, qui «prêtait à une double lecture».
Ce n’est pas la première fois que la LICRA se retrouve au coeur de polémiques. Récemment l’association a fait pression pour annuler une séance de cinéma en non-mixité, mais s’est également opposée à la tenue d’un colloque sur l’islamophobie et à l’organisation d’un festival afro-féministe.
Palestine : Alstom, Systra et Manitou, complices de crimes de guerre ?
La liste noire des entreprises œuvrant en territoires occupés palestiniens de l’ONU fait grand bruit depuis que l’organisation internationale a annoncé sa publication. On le sait déjà, Coca-Cola, TripAdvisor, Airbnb, Priceline ou encore Caterpillar devraient être présents sur cette base de données réalisée par le Conseil des droits de l’Homme. Des sociétés qui ont, « directement ou indirectement, permis la construction et la croissance des colonies de peuplement, les ont facilitées et en ont profité. »
Si certains voient dans cette opération de la délation et un risque de boycott, le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU espère surtout faire de la pédagogie en conseillant ces sociétés et en les obligeant à rendre des comptes pour leurs activités qui favoriseraient les violations du droit international.
En mars 2017, l’organisation internationale a adopté une résolution qui demande aux différents Etats membres de « ne fournir à Israël aucune assistance qui serait utilisée spécifiquement pour les colonies de peuplement dans ces territoires, notamment en réglementant les relations commerciales avec les colonies de peuplement, conformément aux obligations de diligence qui leur incombent en vertu du droit international. »
En attendant la publication de cette liste, l’organisation Who Profits publie de son côté la liste de plusieurs entreprises françaises qui auraient des activités dans les colonies israéliennes. Parmi elles, Alstom, qui détient 80 % de l’entreprise qui a mené le projet de construction du tramway qui relie Jérusalem-Ouest à plusieurs colonies de Jérusalem-Est. Systra est également dans le collimateur de l’ONG. Une entreprise qui elle aussi travaille sur les projets de tramway dans les colonies. Enfin, Manitou, une entreprise d’engins et d’outils de construction industrielle, aurait fourni des grues à Israël, qui auraient servi à construire le mur de séparation avec la Cisjordanie.
Un phénomène qui n’est pas nouveau, selon Amnesty International, qui indique que, « depuis des années, le gouvernement israélien favorise l’installation de colonies illégales dans les territoires palestiniens occupés. » Comment ? En accordant « des subventions importantes, ainsi que des incitations financières et fiscales. »
L’ONG ajoute : « Selon le droit international humanitaire, Israël a des responsabilités, en tant que puissance occupante. Le transfert de sa propre population dans les territoires occupés est donc illégal, tout comme l’utilisation des ressources naturelles de ces territoires qui peut être caractérisé de pillage, et donc de crimes de guerre. »

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Un nouveau quartier colonial sera construit près de Bethléem
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Le gouvernement israélien a approuvé dimanche la construction d’un nouveau quartier dans le bloc de colonies de Gush Etzion au sud de Bethléem.
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Les entreprises de nettoyage décident de suspendre leur grève dans les hôpitaux de Gaza
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L’épouse d’un membre du Congrès incite à occuper la mosquée Aqsa et à construire le temple
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L’occupation empêche deux ministres d’inaugurer une école à Jérusalem
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Le prisonnier Ammar al-Qawasmeh enfin libéré
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Des affrontements éclatent lorsqu’un colon tente d’établir un avant-poste près de Tubas
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Al-Awqaf appelle au retour de la mosquée Ibrahimi à sa souveraineté
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100 Palestiniennes dont le sort est inconnu en Syrie
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Les Palestiniens en Syrie face aux promesses et aux contraintes
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L’occupation cherche un nouvel ambassadeur auprès de l’UNESCO, malgré son retrait
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Israël construit une nouvelle colonie, Amichai, en Cisjordanie occupée
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16 palestiniens arrêtés lors d’affrontements nocturnes en Cisjordanie
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Le Hamas appelle à renforcer l’Intifada en réponse aux taxes imposées par l’occupation aux églises de Jérusalem
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La délégation sécuritaire égyptienne arrive à Gaza
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Un pêcheur palestinien tué et deux autres blessés par les tirs des forces israéliennes
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La Jordanie exprime sa solidarité avec les églises de Jérusalem et rejette les actions d’Israël
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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