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Sur Katibin.fr, rien de neuf.

Sur journal du musulman.fr, rien de neuf.

Sur islam et info.fr, rien de neuf.

Sur saphirnews.com, voici les titres.

Amena Khan, la nouvelle égérie voilée de L’Oréal Paris qui fait sensation. (vidéo).
Amena Khan est la nouvelle égérie voilée de L’Oréal Paris qui fait sensation. © Instagram / Amena Khan
L’Oréal Paris veut casser les codes en améliorant sa politique d’inclusion. Rien de mieux pour cela que de choisir Amena Khan dans le cadre de sa nouvelle campagne. Cette blogueuse beauté britannique est en effet la première femme voilée mise en valeur dans une publicité… pour un shampoing.
Créatrice d’une marque de cosmétiques, la bloggueuse et mannequin, suivie par près de 400 000 personnes sur YouTube et 600 000 personnes sur Instagram, apparaît dans une publicité de la célèbre marque de beauté aux côtés d’autres femmes pour vanter les mérites d’un shampoing en Grande-Bretagne.
« Peu importe si vos cheveux sont exposés ou non, cela ne reflète pas à quel point vous vous en occupez », dit-elle dans la vidéo. Une évidence à noter, quoi qu’en disent les détracteurs du voile.
« Pourquoi est-il généralement présumé que les femmes qui ne montrent pas leurs cheveux ne s’en occupent pas ? », s’est intérrogée Amena Kahn dans une interview accordée à Vogue. « Cela voudrait dire que les personnes qui montrent leurs cheveux le font seulement car ils sont visibles aux yeux des autres. Prendre soin de ses cheveux, c’est prendre soin de soi ! » Parce que toutes les femmes, dans leur diversité, le valent bien.
reportage a voir sur saphirnews.com.
Yusuf Al-Qaradawi condamné en Egypte à la prison à vie.
Yusuf Al-Qaradawi a été condamné, mercredi 17 janvier, à la prison à perpétuité par un tribunal militaire égyptien qui accuse le prédicateur d’être impliqué dans l’assassinat d’un officier de police au Caire en 2015. Il a été reconnu coupable, selon une source judiciaire citée par Anadolu, des chefs d’« incitation au meurtre », « diffusion de fausses nouvelles » et « vandalisation de biens publics ».
Le président de l’Union internationale des savants musulmans, exilé au Qatar qui subit un boycott de l’Egypte, a été condamné par contumace.
Avec lui, 16 personnes ont été condamnées à la prison à vie, huit autres à la peine capitale pour divers actes de violences. 26 accusés ont été acquittés.

Sur oumma.com, voici les titres.

Muslim Girl, une blogueuse américaine, refuse un prix de Revlon, à cause de son égérie : l’israélienne Gal Gadot.
Refuser le prix décerné aux femmes considérées comme des « actrices du changement » par la célèbre marque de cosmétiques Revlon, c’est faire acte de résistance contre la normalisation de l’image d’Israël pour Amani Al-Khatahtbeh, 26 ans, une influente blogueuse américaine voilée.
Une normalisation, aussi perverse que pernicieuse, qui a les traits de l’ex-soldate et Miss Israël Gal Gadot, la nouvelle Wonder Woman starisée par Hollywood et l’ambassadrice de charme de la colonisation israélienne dont elle se fait une fervente porte-parole sous les feux des projecteurs, s’exhibant tout sourire dans ses robes de soirée scintillantes.
Pas question pour Amani Al-Khatahtbeh, alias Muslim Girl, cette infatigable militante en faveur de la réduction des préjugés et de l’autonomisation des femmes musulmanes, d’accepter la récompense honorifique octroyée par Revlon, car sa nouvelle égérie n’est autre que l’actrice missionnée pour entretenir l’illusion d’Israël « seule démocratie du Proche-Orient » sur des tapis rouges très complaisants…
« C’est contre ma morale et mes valeurs ! Je ne peux pas décemment accepter ce prix de Revlon avec Gal Gadot comme ambassadrice », s’est-elle indignée sur les réseaux sociaux à l’annonce de sa distinction, en rappelant opportunément que celle qui a troqué son treillis de l’armée d’occupation pour ses habits de lumière exhortait en 2014, alors que Gaza subissait une énième offensive israélienne sanglante, à soutenir Israël, l’oppresseur impitoyable. « Nous devons vaincre !! », écrivait alors Gal Gadot, en trempant sa plume dans l’encre noire de l’ultrasionisme guerrier.
« Je ne peux pas, en toute conscience, accepter ce prix de la marque Revlon, car cela reviendrait à tolérer que Gal Gadot soit son nouveau visage, et ça, c’est impossible, d’autant plus que le mois dernier, une jeune fille de 16 ans nommée Ahed Tamimi, une militante palestinienne, a été arrêtée et incarcérée par l’armée israélienne », s’est justifiée Amani Al-Khatahtbeh sur Instagram, en espérant que son refus clair et net jettera un gros pavé dans la mare du cynisme made in USA.
La foi en Dieu est une libre adhésion et non une contrainte extérieure.
« On vous trompe et vous vous trompez. L’Islam est une religion de laquelle on ne peut sortir sous peine de sanction. » m’a-t-on dit un jour au sujet de la contrainte en islam. N’étant ni théologienne, ni savante, ni même arabophone, mais simplement une croyante ayant embrassé l’islam, j’ai souhaité répondre modestement au niveau où je place ma foi, celui du cœur et de la réflexion.
Bien plus important que toutes les connaissances que l’on pourra brandir pour argumenter telle ou telle thèse, bien plus certain, est le fait que l’on ne peut ni être trompé, ni se tromper, lorsque l’on sent avec son cœur que l’on chemine vers ce qui met en paix.
Le cheminement vers la paix est le fondement même de l’Islam. Les voies qui nous sont montrées dans le Coran, les règles qui y sont édictées, ont pour finalité de fournir à l’Homme les moyens d’accomplir l’état « d’âme apaisée ».
L’Homme se saisit ou pas de « ces outils », et s’en saisit au niveau de conscience qui est le sien. C’est son choix, sa liberté.
Le Coran dit : « Nous t’avons fait descendre le Livre, pour les hommes, en toute vérité. Quiconque se guide [le fait] pour son propre bien ; et quiconque s’égare, s’égare à son détriment. Tu n’es nullement responsable [de leurs propres affaires]. » [39:41] Les groupes (Az-Zumar).
L’Homme est donc de façon absolument individuelle, responsable de ses actes, actes qui n’ont de valeur que par l’intention qui les anime :
« Dieu ne vous sanctionne pas pour la frivolité dans vos serments, mais Il vous sanctionne pour les serments que vous avez l’intention d’exécuter. »[5:89] La table servie (Al-Maidah).
En ce sens, la foi en Dieu ne peut être que le fruit de la libre adhésion et non d’une contrainte extérieure à l’Homme par la société, par son entourage. En effet, quel sens auraient des actes contraints et dépourvus d’intention personnelle dans une perspective d’apaisement et d’élévation de l’âme ?
« Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru. Est- ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » [10:99] Jonas (Yunus)
« Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. Donc, quiconque mécroit au rebelle tandis qu’il croit en Dieu saisit l’anse la plus solide.. » [2:256] La vache (Al-Baqarah).
Alors, si nous sommes religieusement libres de croire ou de ne pas croire, comment comprendre le sens des « obligations » religieuses ? Et comment surtout, comprendre la notion de châtiment pour celui qui n’aurait pas cru ?
De mon modeste point de vue, il n’existe de contrainte en premier lieu, que vis-à-vis de soi. Est–on contraint vis-à-vis de Dieu ? Il est dit clairement dans le Coran :
« Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Dieu » [3:144] La famille d’Imran (Al-Imran).
De quelle nature est donc cette contrainte ? Serait –elle une restriction volontaire de notre propre liberté, un formatage à penser et à se comporter d’une seule façon, qui serait la bonne ?
La nature de la contrainte religieuse est plutôt celle d’un engagement vis-à-vis de soi même. L’engagement de cheminer vers cet état libérateur de « paix de l’âme » par un profond et rigoureux travail sur soi.
Dans cette perspective, les prescriptions Coraniques (la prière, le jeûne, la zakat..) agissent comme « des outils pour avancer sans s’égarer, un rappel renouvelé de notre place dans la création, de notre but : la purification de l’âme.
Un cheminement qui ne peut être figé vu que tout en nous et autour de nous est en perpétuel mouvement. Un cheminement qui est donc tout le contraire d’une obéissance aveugle aux règles mais un exercice de compréhension du sens de notre vie qui prend appui précisément sur ces contraintes, ces obligations rituelles.
Investie de cette façon, l’obligation apparente agit comme une « clé » : cette clé qui ouvre (fatiha) c’est le discernement. Le discernement du droit chemin d’entre les autres. C’est cela qui nous guide et nous mène vers Dieu dans un état de Paix avec soi et les autres, en harmonie avec l’ensemble de la création et non en contradiction ou en opposition. C’est un état de béatitude. C’est le sens que je donne à la Fatiha.
Mais cette clé doit être constamment en lien avec notre intime conviction de l’Unicité de Dieu et de sa Magnificence, de sa miséricorde…de tous les attributs qualifiants Dieu. C’est ce qui nous permet de modifier notre approche de l’existence. Elle engendre un regard à la fois humble et constructif sur nos expériences de vie, qui, dans cette perspective, ne sont plus « subies » mais deviennent au contraire source d’apprentissage et d’évolution par la réflexion qu’elles suscitent quant à leur sens profond.
Pour autant, si l’engagement religieux est un engagement vis-à-vis de soi, il ne peut absolument pas être individualiste. Notre parcours de foi n’a de sens que dans la relation qui nous lie à nos semblables et aimer Dieu ne peut passer que par l’amour et la compassion pour son prochain.
C’est pourquoi les obligations religieuses comportent aussi une dimension « horizontale », sociale. Ainsi la souffrance de notre prochain, dont nous sommes tenus d’être solidaires, est aussi un don de Dieu qui nous permet de nous purifier. Comme l’exprime si bien Reza Shah Kazemi « les limites qui nous séparent de tous les autres êtres sont rendues transparentes à la lumière de l’unité intrinsèque de l’humanité », unité de l’humanité qui, elle-même, est le reflet de l’unité de Dieu.
C’est donc dans cette dimension de solidarité égalitaire, de non jugement et d’amour que notre foi nous engage envers autrui. Une spiritualité qui n’est pas détachée du monde mais qui prend racine en lui pour le transcender :
« Où que vous vous tourniez, là est la face de Dieu. »[2:115] La vache (Al-Baqarah).
Comme pour tout engagement, le renier est lourd de conséquences. N’est ce pas dans ce sens qu’il faut comprendre par :
« Et ceux parmi vous qui adjureront leur religion et mourront infidèles, vaines seront pour eux leurs actions dans la vie immédiate et la vie future. Voilà les gens du Feu : ils y demeureront éternellement » [2:217] La vache (Al-Baqarah).
La sanction, le châtiment contre lequel nous sommes durement mis en garde est donc à l’exacte mesure de notre responsabilité dans ce que nous oeuvrons pour nous-mêmes.
Pour autant, le rappel de notre responsabilité et la menace du châtiment ne sont pas source d’accablement pour l’Homme. Le perpétuel équilibre entre le châtiment et la Miséricorde Divine dans le Coran permet de créer en l’Homme une dynamique d’évolution par laquelle il est constamment appelé à mesurer la portée de ses actes, les rectifier et les parfaire.
Une « pédagogie » de l’évolution adaptée à chaque Homme, quelles que soient ses aptitudes et ses particularités :
« Dieu n’impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. » [2:286] La vache (Al-Baqarah).
C’est ainsi que ce qui, en superficie peut être pris comme une contrainte, devient en profondeur, un puissant levier de liberté. Ceci n’est que le modeste effort de réflexion d’une personne qui puise dans son expérience de croyante et il doit être pris comme tel. Qu’Allah pardonne mon ignorance, Lui Seul Est Savant.
France : Le maire de Gennevilliers prend un arrété municipal pour reconnaître l’Etat de Palestine.
Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers et membre du Réseau Barghouthi, a décidé de reconnaître l’Etat de Palestine. Un arrêté du maire stipulera la
reconnaissance de l’Etat dans les prochains jours.
D’autres villes du réseau Barghouthi s’engagent dans cette démarche.
Communiqué :
Le contexte actuel en Palestine et en Israël n’est pas à l’apaisement quand le Président Trump décide de faire de Jérusalem la capitale d’Israël et quand le gouvernement Netanyahu poursuit sans relâche sa politique de colonisation des Territoires occupés et de Jérusalem-Est,
en toute violation du droit international.
La France, par la voix de son précédent ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius, avait déclaré la possibilité d’une reconnaissance de la Palestine en cas de blocage du processus à la fin de l’année 2016. Or, rien n’a été fait après l’échec de la Conférence de Paris.
Aujourd’hui, le Président Macron refuse de reconnaître l’Etat de Palestine, alors qu’il s’agirait d’un pas significatif vers la paix dans cette région.
Patrice Leclerc propose à toutes les villes de France de prendre un arrêté de reconnaissance de l’Etat de Palestine. Si le Président Macron refuse d’engager la France dans cette voie, mais si des milliers de parcelles de la France prennent cet arrêté officiel, cette prise de position des communes françaises conduira de fait à une reconnaissance. Il s’agit bien de réaffirmer la volonté de la France d’amener Israéliens et Palestiniens vers la paix. Celle-ci ne viendra qu’avec la création d’un Etat palestinien, comme prévu par les résolutions de l’ONU depuis 1947.”
Source: Patrice Leclerc.
EuroPalestine.
Qui est Latifa Ibn Ziaten, candidate au prix Nobel de la paix ?
La mère d’Imad, première victime de Mohammed Merah en 2012 a porté sa candidature au prix Nobel de la paix 2018. Portrait.
reportage a voir sur oumma.com.

Sur Mizane.info, rien de neuf.

Sur des domes et des minarets.fr, rien de neuf.

Sur tribune lecteurs.com, le journal d’algérie, voici les titres.

Rencontre d’orientation nationale des présidents des Assemblées populaires communales et de wilayas (APC-APW) : Les maîtres-mots du président.
La lutte contre la bureaucratie, le népotisme, le clientélisme et les pratiques illégales « , sont les maitres mots de l’important message que le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a adressé, jeudi à Alger aux présidents des Assemblées populaires communales et de wilayas, à l’occasion de la 51e journée nationale de la commune. Ce sont également les principales orientations que doivent prendre en considération les responsables locaux dans l’exercice de leur fonction. D’autre part, le premier magistrat du pays a saisi cette occasion pour rappeler que « l’enjeu à venir est l’élargissement du champ de la modernisation aux prestations du Service public de proximité et l’adoption des principes du développement durable dans leur gestion ». Le message du président de la république, a été lu en son nom par le secrétaire général à la présidence de la République, Habba El Okbi devant un parterre composé des responsables locaux du pays. Le président Bouteflika a indiqué que « la modernisation est le principal vecteur de la décentralisation des services publics », ajoutant à l’adresse des élus locaux que « l’ensemble des systèmes en cours de développement devant être domiciliés au niveau de la commune, vous avez la responsabilité de former la ressource humaine en prévision de cette profonde mutation ». Pour relever ces défis, les présidents d’APC doivent « s’entraider et coopérer dans le cadre d’une approche solidaire locale pour surmonter les difficultés et les entraves au niveau local. Par votre solidarité, vous parviendrez à accélérer le rythme du développement dans vos villes et villages », a-t-il préconisé, les appelant à élargir leur vision « et à passer rapidement de l’organisation des affaires internes au niveau de vos assemblées aux questions essentielles ». Et pour leur permettre de coordonner leurs efforts et de communiquer, périodiquement, avec les services de l’Etat, le président Bouteflika a fait part de sa décision d’instituer la tradition « des assises nationales de la Commune », le 18 janvier de chaque année et consacrer cette date « Journée nationale de la Commune ».
L’Association de musique andalouse à Alger : Célébration du 88e anniversaire.
L’Association de musique andalouse « El Djazairia El Mossiliya », dirigée par Nasreddine Benmerabet, a animé jeudi soir à Alger un concert en célébration de son 88e anniversaire, devant un public nombreux. Le Palais de la Culture Moufdi- Zakaria, n’aura pas suffit à contenir le nombreux public qui a dû occuper les allées réservées aux déplacements pour assister au concert, marquant la pérennité de l’institution, conduit dans un ton relevé aux allures de fête, par la trentaine de musiciens de l’association qui ont étalé, pendant une heure et demie de temps, de grands classiques de la musique andalouse, dans un programme présenté en trois parties. Accueillis sous les youyous et les applaudissements du public, les douze musiciennes et les vingt instrumentistes représentant l’ensemble andalou, ont, dans le sillage des grandes écoles, mis en valeur le travail de formation, entrepris en amont des années durant, à travers un répertoire riche, empreint de variations modales et de cadences rythmiques composées, brillamment rendu dans le respect de la rigueur académique.
Elle a fait dix morts depuis le début de l’hiver : Cette grippe saisonnière qui tue !
Les épidémies de grippe saisonnière surviennent chaque année en Algérie au cours de l’automne et de l’hiver en raison de la grande contagiosité de cette infection virale. Souvent considérée comme bénigne, la grippe peut entraîner des complications graves, voire des décès, chez les personnes fragiles. Dans ce sens, Le Directeur de la prévention et de la promotion de la santé au ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Dr. Djamel Fourar a annoncé que dix personnes sont décédées à cause de la grippe saisonnière à travers le territoire national depuis le début de l’hiver et jusqu’au 15 janvier 2018, ajoutant que 57 autres personnes présentaient des complications. « Les dix personnes décédées étaient soit deux femmes enceintes et trois personnes ne souffrant d’aucune pathologie), deux autres dans la wilaya de Blida (un insuffisant rénal et une personne obèse), et trois autres dans les wilayas de Tipaza, Oran et Souk Ahras, a précise hier la même source. Le même responsable a affirmé que 57 autres personnes présentant des « complications sévères » de la grippe saisonnière avaient dû être hospitalisées, précisant que le dernier cas a été enregistré jeudi dans la wilaya de Bordj Bou Arreridj.Il s’agit d’un quadragénaire diabétique qui a été admis à l’Etablissement public hospitalier de Medjana (Bordj Bou Arreridj), avant d’être transféré au service de réanimation du CHU de Sétif pour des soins intensifs. Par ailleurs, le ministère de la Santé a réaffirmé qu’aucun cas de grippe porcine n’a été enregistré.
Grève des paramédicaux : Le ministère fait marche-arrière.
Le Secrétaire général du Syndicat algérien des paramédicaux (SAP), Lounes Ghachi a annoncé avant-hier à Alger, que le ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière s’est dit disposé à prendre en charge les revendications des paramédicaux, notamment celles relatives à la carrière professionnelle et à l’activité syndicale. Au terme de la rencontre entre le SAP et le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, M. Ghachi a précisé que ce dernier « s’est dit disposé à régler la question du recrutement, dans le corps paramédical, des diplômés L.M.D (Licence-master-doctorat), qui est restée tributaire d’un décret du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique ». » Le syndicat doit solliciter le ministère de la Santé tous les quatre ou cinq ans pour le renouvellement des contrats de travail des paramédicaux bien que les postes d’emploi soient garantis par les pouvoirs publics « , a-t-il ajouté. Déplorant les pressions que subissent certains syndicalistes au niveau régional, notamment à Djelfa et Bejaia, M. Ghachi a souligné que le SAP a reçu des promesses quant au règlement de cette question avant la réunion, samedi, de son conseil national, habilité à se prononcer sur la grève. Le corps paramédical qui a observé, la semaine dernière, trois jours de grève, a soumis à la tutelle plusieurs revendications socioprofessionnelles ayant notamment trait à la carrière professionnelle, aux primes d’encadrement et de documentation, à la sécurité dans les hôpitaux et à la formation.
Transition énergétique 2030 : L’Algérie résolument tournée vers l’avenir.
« Le programme national de développement des énergies, prévoit une production, à l’horizon 2030, l’équivalent de 22.000 MW d’électricité de source renouvelable, ce qui correspond à 27% de la production nationale, ce qui réduirait la consommation d’énergie fossiles de 9% et permettrait la réalisation d’une économie de prés de 240 milliards de m3 de gaz naturel, qui pourront être orientés vers l’exportation ». Ce qui a été annoncé hier, lors de la clôture de la Conférence-exposition sur la stratégie de transition énergétique 2030, organisé conjointement avec le FCE (Forum des chefs d’entreprises) et la Sonatrach et la Sonelgaz, la Ministère de l’Environnement et des Energies Renouvelables Mme Zerouati Fatma Zohra. Par ailleurs, elle précise que « le programme de développement des énergies renouvelables repose sur le développement du solaire photovoltaïque, de l’éolien, de la cogénération, de la géothermie et de la biomasse, ainsi que l’intégration de mesures d’efficacité énergétique dans les secteurs de l’agriculture, l’habitat, le transport, l’industrie et le tourisme, mais aussi l’encouragement à la création d’une industrie locale spécialisée (tels que : la production de lampes solaires et des appareils chauffe-eau solaire) ». Pour la ministre, relever le défit de développement des énergies renouvelables se base sur le développement de la production dans deux domaines. Le premier est basé sur la production raccordée au réseau, et qui représente la grande partie, et le deuxième volé et celui de la prise en charge du département de l’environnement à travers le développement, la promotion de ce domaine et la mise en place de mécanismes d’accompagnement, de soutien et d’incitation de partenariat de tous types.
Ahmed Ouyahia à propos des récentes décisions du chef de l’Etat sur Tamazight : » Réconcilier les Algériens avec eux-mêmes « .
Les travaux de la 4ème session ordinaire du Conseil national du Rassemblement national démocratique, (RND), ont été clôturés, hier, par le Secrétaire général du parti, Ahmed Ouyahia. Le Conseil national a remanié la composition du bureau national du parti par l’élection de Fouad Ben Mourabet et Saliha Mekhref en tant que membres du bureau national, en remplacement de Abdesalam Bouchouareb et de Fouzia Ben Sahnoune Le Conseil national du RND s’est félicité des mesures prises par le gouvernement pour réduire le volume des importations au profit de la production nationale et l’attribution des transactions publiques aux entreprises locales plutôt qu’aux entreprises étrangères Il a appelé, dans ce sens, les militants et les membres des deux chambres parlementaires et ses électeurs à s’engager pour continuer à soutenir le président Abdelaziz Bouteflika et à sensibiliser les citoyens de la situation actuelle. Dans un discours prononcé, lors de l’ouverture des travaux du CN, Ouyahia a évoqué la situation économique et politique du pays mais aussi la situation interne et le bilan de sa formation politique lors des dernières échéances électorales; législatives et locales. En vertu des derniers développements dans la scène politique dans le pays, en particulier, les instructions du Président de la République adressées au Premier ministre, sur l’ouverture du capital des entreprises publiques, le discours du SG de la deuxième force politique était très attendu, pour la presse nationale et les observateurs, mais Ouyahia a parlé de tous, sans prononcé un mot sur ce dossier.
Hamel reçoit Manuel Augusto Magina Da Silva de la police portugaise : Un partenariat fructueux.
Le Directeur Général de la sûreté nationale, général major Abdelghani Hamel a reçu jeudi une délégation composée de hauts cadres de la police portugaise, a leur tête le sous-directeur général Manuel Augusto Magina Da Silva. Lors de cette rencontre, il a été question de mettre en relief la nécessité de renforcer la coopération entre la police algérienne et celle du Portugal qui a réalisé des progrès énormes en matière de formation, d’entrainement, la lutte contre la criminalité transfrontalière le trafic de drogue et la cybercriminalité. Dans ce même contexte, le premier responsable de la police algérienne a réitéré l engagement de la police algérienne à lutter contre la criminalité de toutes ses formes avec toute la technologie dont elle dispose, à travers le renforcement du partenariat, entre la police des deux pays. De son côte, Manuel Augusto Magina Da Silva a souligné les progrès réalisés par la police algérienne en termes de développement de ses capacités humaines et techniques. L’hôte a affirmé que le partenariat entre les deux pays a connu un grand essor dans différents domaines en termes de formation et d échange d’expériences. Après avoir visité des structures de la police Algérienne, à l’instar du centre de commandement et de contrôle, l école de police Ali Tounsi , l’ invité a reçu des explications et à travers des présentations concernant les caractéristiques, les missions, l’organisation et le fonctionnement de ces trois structures. Il a relevé le niveau atteint par la police algérienne en matière de formation et de qualification, ainsi que la modernisation des moyens et capacités lui permettant d’être au diapason avec les standards internationaux. Il a tenu, par la même occasion, à saluer le rôle de la police algérienne dans le renforcement de la coopération entre les différentes polices, aux niveaux régional, continental et international, notamment dans le cadre de l’Interpol et de l’Afripol. Ainsi, la délégation portugaise s’est enquise de l’organisation de la police algérienne et son expérience en matière de modernisation des moyens dans l’accomplissement de ses missions dans la lutte contre les différentes formes de criminalité, notamment le crime organisé, le terrorisme, le crime transfrontalier et la cybercriminalité.
Des milliers d’entre eux moisissent dans des geôles anonymes : Destin tragique des harraga.
Le dernier bilan fourni par les ONG des droits de l’homme fait état de 17.000 algériens détenus dans les prisons européennes. Ces immigrés clandestins ont été recensés en France, Italie, Espagne et la Belgique. C’est un véritable drame que vivent les » harragas » algériens depuis des années. Ils sont pour la plupart détenus dans les prisons des pays d’Europe. Selon les statistiques fournies par la ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le plus grand nombre de détenus avoisine les 7500 algériens en France et 3500 en Espagne alors que l’Italie en détient 2500 et la Belgique dénombre plus de 3000. Les autres clandestins sont répartis dans d’autres pays européens avec une moyenne de 500. Cette situation résulte selon les ONG des droits de l’homme d’un pic d’arrestations des immigrés clandestins entre 2010 et 2016 qui a fait que le nombre a décuplé durant ces années. Ces chiffres qui sont rendus publics reflètent une situation de désarroi de ces prisonniers qui n’ont pas de statut légal de réfugiés ou d’exilés politiques. Selon le SG de la LADDH Houari Kaddour » le gouvernement algérien est maintenant informé de ce nombre de détenus pour prendre plus tard des dispositions de leur rapatriement « . Il est à noter que 668 immigrés clandestins ont été rapatriés durant l’année 2017 de l’Espagne selon une procédure d’expulsions qui a été approuvé par les autorités espagnoles.

Sur le muslim post.com, rien de neuf.

Sur agence media palestine.fr, voici les titres.

Fauda : Une série israélienne sur Netflix qui rend l’oppression sexy.
Les séries télé bien faites sont addictives et « Fauda » ne fait pas exception. Mais nous ferions tous bien de nous souvenir qu’elle fait partie de la machine bien huilée des relations publiques d’Israël, qui sait comment transformer la brutalité israélienne en images sexy et héroïques.
JERUSALEM (Opinion) — La résistance palestinienne est légitime et appuyée par le droit inaliénable qu’ont tous les opprimés de résister à leurs oppresseurs et à leurs occupants, même par les armes. La violence israélienne est une brutalité crue et incontrôlée destinée à empêcher les Palestiniens de relever la tête. Mais la pensée conventionnelle est que la résistance palestinienne est du terrorisme et la violence israélienne du contre-terrorisme.
De temps en temps, les deux sont mis en équivalence, en soulignant que les deux côtés sont « humains ». Si cela peut être considéré à tort comme un « progrès », c’est de fait une insulte à la cause de la justice parce qu’il n’y pas d’équivalence entre oppresseurs ou occupants et ceux qui luttent pour leur liberté.
Au début de 2017, un ami m’a demandé si j’avais regardé la série sur Netflix « Fauda. » J’ai dit que non, et cela a été le début de plusieurs semaines d’une campagne de persuasion, au bout desquelles j’ai succombé. « Fauda » est une série, produite en Israël, à propos d’une unité paramilitaire appelée en hébreu « Mista’arvim ». Le mot « Mista’arvim » est un croisement entre le mot hébreu pour camouflage et le mot pour Arabes.
Si les soldats réguliers sur le terrain portent des uniformes et sont camouflés de manière à ne pas être repérés par les forces ennemies, ceux-là sont des membres d’unités armées infiltrées qui portent des vêtements civils, mais sont habillés et parlent comme des Arabes.
Le « Mista’arvim ».
Bien que des unités similaires aient été opérationnelles dès les années 1950, l’unité « Mista’arvim » est sortie du cerveau d’un des tueurs les plus connus d’Israël —un homme dont la douteuse distinction est d’être le soldat le plus décoré d’Israël et qui détient aussi le record du plus court mandat comme premier ministre d’Israël : Ehud Barak.
À la fin des années 1980, pendant son mandat comme chef du commandement central des forces armées israéliennes, Barak, alors général, qui venait lui-même des rangs des fameuses unités spéciales d’Israël et qui avait pris part à d’innombrables assassinats de Palestiniens —pensa qu’il serait utile d’avoir une unité militaire dans laquelle les soldats auraient l’air d’Arabes et parleraient comme eux. Ceci leur permettrait d’infiltrer des communautés palestiniennes et de récolter des informations, d’arrêter et de tuer sans être détecté.
Puisque la plupart des Israéliens ont en fait des antécédents arabes, ce n’était pas trop dur à réaliser. L’unité fut bizarrement nommée « Duvdevan »— « cerise » en hébreu. De nos jours, les forces de défense israéliennes ; la police des frontières (connue comme le Magav) ; la Shabbak, ou police secrète ; et même le système des prisons, ont tous leurs unités « Mista’arvim ».
Assez bizarrement, et bien que leur travail soit classifié, ils sont connus pour être actifs dans les manifestations.
Les amis palestiniens les identifient souvent quand ils y apparaissent, même s’ils sont habillés comme des locaux. À un moment, ils enlèveront leurs cagoules, sortiront leurs armes et arrêteront de jeunes Palestiniens qui participent aux manifestations. Ils sont aussi connus pour faire de la provocation à la violence, qui est ensuite utilisée pour justifier la violence perpétrée par les forces israéliennes contre les manifestants palestiniens. Dans « Fauda » qui en arabe veut dire chaos, ils sont présentés comme combattant de grands terroristes.
Une vision déformée à la recherche d’un bon score à l’audimat.
Dans une interview accordée lors de la première de la seconde saison de la série à Los Angeles, Lior Raz (qui joue le personnage de Doron), la star de l’émission et l’un de ses créateurs, a affirmé que l’émission dépeint les Israéliens d’une façon « réaliste ». Puis il a continué, d’une manière qu’on ne peut décrire que comme condescendante, en expliquant que l’émission « humanise » l’autre côté — l’ « autre côté » étant celui des terroristes et des auteurs d’attentats suicides, mais eux aussi ont des familles et des sentiments.
Eh bien, il vaut la peine de noter qu’aujourd’hui les kamikazes palestiniens n’existent que comme entités fictionnelles dans des émissions comme « Fauda », où la violence israélienne est inévitable et la résistance palestinienne est du terrorisme. Les attentats-suicides par des Palestiniens se sont arrêtés il y a plus de dix ans, bien que le préjugé populaire, tel qu’il est représenté dans l’émission et exprimé dans l’interview avec Raz, voudrait nous faire croire qu’ils arrivent encore quotidiennement et posent une menace imminente aux Israéliens.
Les attentats-suicides ont été un chapitre tragique de la vie en Palestine. Il est désolant que dans « Fauda » ils soient utilisés pour diaboliser les Palestiniens comme des tueurs irrationnels. Ayant ressenti de première main l’impact des missions suicides avec la mort de ma nièce de 13 ans, je trouve cela au mieux irresponsable et au pire tristement cynique de s’en servir pour marquer des points politiques.
Quand les historiens regarderont cette période de l’histoire de la Palestine, une période qui a commencé après le massacre de 1994 à la mosquée Ibrahimi Mosque à Hébron, s’ils sont honnêtes, ils la décriront comme un moment où un peuple opprimé a utilisé tous les moyens à sa disposition, tous les moyens nécessaires pour lutter contre ses oppresseurs. Ils se souviendront aussi, en ce qui concerne les cibles civiles, qu’à plusieurs occasions des leaders palestiniens comme Ahmed Yassin ont offert aux autorités israéliennes un accord dans lequel les deux côtés s’engageraient à empêcher cela. Les Israéliens n’ont pas répondu à ces offres.
Les super-terroristes palestiniens sont peut-être bons pour l’audimat, mais eux non plus ne sont qu’un fruit de l’imagination. La résistance palestinienne a été et continue à être intensément engagée et pourtant la plupart du temps sans armes.
Pendant des décennies, des écrivains prolifiques comme le célèbre romancier Ibrahim Nasrallah et de jeunes écrivains moins connus de Gaza qui publient en ligne ou s’arrangent pour avoir leurs livres imprimés — des poètes comme Samih al-Qasim et Fadwa Tuqan, des auteurs de théâtre comme Dalia Taha, des figures politiques et intellectuelles comme les dessinateurs Naji Al-Ali et Mohammad Sabaaneh — ont utilisé leurs stylos et leurs voix pour inspirer leur peuple à se lever et à réclamer justice.
Depuis plus d’une décennie, l’appel palestinien pour imposer un boycott, un désinvestissement et des sanctions (BDS) à Israël a été actif et la résistance populaire, qui opère au moyen de manifestations et de campagnes pacifiques dans les villes et les villages de toute la Palestine, a gagné de l’importance et du respect. Tous ont montré leur engagement dans une lutte sans compromis comme sans armes.
Reflétant l’adoration générale dont les groupes militaires et paramilitaires israéliens jouissent aux USA, ces « combattants » dans « Fauda », si on peut les appeler ainsi, sont représentés comme des héros rudes et attirants, et pourtant étrangement « humains ». Dans le premier épisode de la saison 1 un parallèle est tracé entre l’archi-ennemi Abu Hassan, un Palestinien qui, nous dit-on, « a le sang de 116 Israéliens sur les mains », et Doron, un commandant de l’unité à la retraite qui reprend du service pour le tuer. À un moment, ils sont tous deux montrés en train de se préparer pour une rencontre possible. On les voit colorer leurs barbes et porter des Kuffiyas pour cacher leurs identités.
Ils sont tous deux montrés aux prises avec les complexes réalités de leurs vies personnelles — des complications qui sont le résultat de leurs vies de combattants obsédés par leurs causes. Pourtant, il n’y a pas de symétrie là. Doron est obsédé par le fait de tuer ; Abu-Hassan est obsédé par la lutte pour la libération de son peuple.
Une autre scène où la similarité entre les deux côtés est plus que suggérée, est lorsque Doron retourne au QG et est accueilli par son équipe. Ils se saluent en parlant arabe ; ils s’embrassent sur les joues comme les hommes arabes le font ; et quand ils ont un moment de repos, ils écoutent de la musique arabe et dansent des danses arabes.
Il y a un étrange phénomène ici qui est répandu et caractéristique de la société israélienne : presque tout ce qui est « cool » est d’une manière ou d’une autre arabe. Quand les Israéliens utilisent de l’argot, ils se servent de mots arabes ; quand ils écoutent de la musique, c’est principalement de la musique arabe ou de la musique israélienne avec de fortes connotations arabes ; la nourriture la plus populaire est « orientale » et les restaurants les plus populaires sont « orientaux », un mot couramment utilisé pour remplacer le mot moins positif d’ « Arabe ».
Une autre touche intéressante est que les créateurs de l’émission ont décidé de la promouvoir en affichant en Israël des panneaux avec de l’écriture arabe. C’est du jamais vu en Israël, la plupart des Israéliens ne lisent pas l’arabe et ce langage est associé avec le terrorisme. Les panneaux ont effrayé les Israéliens qui se sont plaints à diverses autorités urbaines, et dans quelques cas les panneaux ont été effectivement retirés.
Pour le mettre en perspective.
Les séries dramatiques télévisées bien faites sont addictives et « Fauda » ne fait pas exception. Mais nous ferions tous bien de nous souvenir qu’elle fait partie de la machine bien huilée des relations publiques d’Israël, qui sait comment transformer la brutalité israélienne en images sexy et héroïques. Comme la page Facebook Femmes des forces de défense israéliennes et les salutations « Shabbat Shalom » et “Bonne année” des troupes des forces de défense israéliennes que le porte-parole des forces de défense poste régulièrement sur Twitter. D’une façon pas très différente de « Fauda », ce sont des tentatives pour couvrir le fait que ces soldats oeuvrent avec diligence pour maintenir un violent régime raciste et brutaliser le peuple de Palestine.
Dans un article de The New Yoker, « Fauda » est comparé à d’autres séries dramatiques israéliennes qui affirment représenter les Palestiniens comme des « êtres humains » ou la saga palestinienne d’un point de vue quelque peu palestinien. L’article remonte jusqu’à une pièce ancienne, Khirbet Khizeh, qui décrit l’évacuation forcée par les forces sionistes (pré-étatiques) d’un village palestinien en 1948. Plusieurs décennies plus tard, elle a été transformée en film que je me souviens avoir regardé quand j’étais au lycée. Il y avait pas mal de colère parce que les forces sionistes étaient montrées sous un jour négatif.
Pourtant, même dans cette pièce, l’évacuation forcée était représentée comme un incident isolé, dû à des « pommes pourries » si vous voulez, et jamais comme la campagne de nettoyage ethnique, bien planifiée et méthodiquement exécutée qu’elle était réellement. De la même manière, « Fauda » affirme montrer les « terroristes » comme des êtres humains mais perpétue néanmoins l’idée que la résistance palestinienne est du terrorisme et la violence israélienne du contre-terrorisme.
Même si le super-terroriste palestinien fictionnel de Fauda « Abu-Ahmad » a pris les vies de 116 Israéliens, l’état d’Israël a tué milliers sur milliers de Palestiniens sans armes et sans défenses sur une période de soixante-dix ans — et il ne semble y avoir aucune fin en vue. Qu’on soit ou non d’accord avec les méthodes de la résistance palestinienne, elle est le résultat du brutal colonialisme d’occupation qu’est Israël et une réaction à lui. Aucun volume de sexe ou de violence ou de qualité dramatique ne peut couvrir le fait que « Fauda » est simplement un autre moyen de glorifier la brutalité et le terrorisme israéliens.
Miko Peled est un militant israélo-américain, écrivain et enseignant de karaté. Il est l’auteur de The General’s Son : Journey of an Israeli in Palestine, et parle dans le monde entier.
Source: Mintpress.

####### Aujourd’hui en Palestine #######

Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

L’Autorité Palestinienne dépose une plainte à la CPI contre Israël
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Samedi, l’Autorité palestinienne (AP) a porté une plainte à la Cour pénale internationale (CPI) contre les crimes continuels commis par les autorités d’occupation israéliennes contre les enfants palestiniens.
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Une mairie française reconnaît l’Etat de Palestine
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Mike Pence se rendra au Proche-Orient malgré le risque de « shutdown » (Médias)
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Chef de l’UNRWA: Le gel de l’aide américaine à l’UNRWA résulte de calculs politiques
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Washington gèle un versement de 45 millions d’euros promis à l’UNRWA
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Lieberman prétend connaitre l’identité des meurtriers du rabbin et leurs commanditeurs
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Mechaal: Notre peuple ne fléchira pas et s’accroche à la libération et au retour
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La délégation du Hamas conclut une visite en Algérie
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La Russie critique la décision américaine de réduire le financement de l’UNRWA
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L’occupation arrête 6 fidèles turcs à Jérusalem
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8 blessés par balles de l’occupation à l’est de la bande de Gaza
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Un colon blessé par des pierres à Hizma, au nord de Jérusalem
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Le Congrès d’Al-Azhar appelle à déclarer Jérusalem comme capitale de la Palestine
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Washington suspend l’aide alimentaire fournie à l’UNRWA
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Israël a confisqué 3000 livres aux prisonniers palestiniens
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Les forces d’occupation israéliennes attaquent Hizma à Jérusalem occupée
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Retrouvez l’intégralité de tout ces articles sur http:// french pal info.com
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Le Centre Palestinien D'Information
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