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Flash info du 29 Sha'ban 1437.

Flash info du 29 Sha’ban 1437.

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Inde: « La diversité pour un monde moderne ».

Dans un discours donné à l’Université Mohamed V de Rabat lors de sa récente visite au Maroc, le vice président de l’Inde, Hamid Ansari, prend en exemple les musulmans d’Inde pour donner une petite leçon de modernité au monde d’aujourd’hui.

Le vice-président rappelle que les musulmans d’Inde vivent dans une société à confessions plurielles, et, ce, depuis plus de 1000 ans. Pour lui, cette coexistence a forcément eu un impact positif sur le l’Inde moderne. Cette réalité a conduit à mettre en place une société plurielle sur la base de laquelle une politique démocratique et un état laïque ont été construits.

«L’expérience des musulmans en Inde prouve que les citoyens pratiquant leur foi islamique sont des citoyens qui se considèrent comme tels, et sont bénéficiaires de droits garantis pour eux par la Constitution», affirme Hamid Ansari.

Et de rappeler à l’audience que « de part le monde et à travers les âges, les musulmans ont contribué à la civilisation de manière évidente(…)Pourtant, les musulmans en très grand nombre étaient des non-arabes, venus de sociétés non-arabes».

L’Inde compte la seconde plus grande population de musulmans du monde avec ses 180 millions de fidèles. Pour le vice-président, le monde devrait prendre en considération le modèle indien, et «accepter que la diversité pourrait être une vertu civique».

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La tolérance, respect de tous les Hommes !

La tolérance, cette vertu sans laquelle n’existe pas de bons rapports entre les êtres humains, est une caractéristique du croyant musulman ignorée des détracteurs de l’islam mais aussi bien souvent oubliée par les croyants eux-mêmes. Enjointe par Allah ta’ala dans le Coran et enseignée par notre prophète Mohamed, paix et salut sur lui, elle est primordiale pour le bon vivre ensemble en société. Dans cet article, nous verrons que veut réellement dire «être tolérant en islam» et comment cela se traduit.

Le croyant musulman est tenu de suivre les prescriptions de son Créateur, et encouragé à prendre pour exemple son Bien-Aimé, paix et salut sur lui. Alors pourquoi la tolérance est un précepte bafoué par les fidèles ? Souvent par ignorance de ce qu’elle représente mais également par confusion entre les notions. Pourtant, les versets coraniques où La Parole d’Allah nous demande d’être tolérant ne manquent pas. La Sira, biographie du Prophète salla Allah ‘alayhi wa salam, nous révèle aussi un modèle concret pour qui veut adopter le bon comportement et se rapprocher du meilleur.

« En effet vous avez dans le Prophète un excellent modèle, pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment. », Sourate Al Ahzâb, verset 21.

Définition de la tolérance.

La tolérance par définition est l’expression du respect des manières de penser et d’agir des autres. C’est une attitude à adopter, une indulgence à avoir à l’encontre des personnes différentes de nous. Selon le Larousse c’est aussi une « une ouverture d’esprit et le respect de la liberté de conscience à l’égard de ceux qui professent une religion différente ». Quoi de plus explicite que ces versets tirés de la Parole d’Allah pour démontrer cette définition mondaine :

«Lakoum dinakoum, Wa liya dini».

« A vous votre religion Et à moi ma religion», Sourate 109 verset 06.

Ils sont la preuve de la différence à faire entre respect et cautionnement des actes d’autrui. La tolérance, en islam, est le fait d’accepter qu’une personne puisse ne pas faire les mêmes choix que soi, qu’elle puisse ne pas croire. Cela n’a rien à voir avec le fait de cautionner, d’approuver et d’encourager quelqu’un dans ce sens.

«Aucune contrainte en religion» en est une autre preuve tirée de la tradition de notre Bien-Aimé.

En islam, cette tolérance est plutôt la manifestation de respect vis à vis de l’être humain en général sans faire de distinction entre les musulmans et les autres. Ce respect se traduit par un bon comportement à adopter vis à vis de toute personne sans exception, empreint de bienveillance, bienfaisance et de bonté.

La raison en est que l’être humain au même titre que sa vie sont sacrés, sauf celui qui est injuste.

« Allah ne vous défend pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Certes, Allah aime les équitables. ».

Sourate 60 verset 08.

Allah ta’ala, n’est-il pas, «Le Seigneur des Hommes, Le Roi des Hommes, et le Dieu des Hommes», Sourate 114 ?

Pas seulement Le Seigneur des musulmans.

Le Prophète Mohamed, salla Allah ‘alayhi wa salam, un exemple de tolérance à suivre.

Nombre de ahadiths, tradition de notre Prophète Mohamed sont une source d’exemples formidables de bonté à l’égard des parents, voisins et autres personnes de notre entourage qui ne seraient pas musulmans. Chrétiens, juifs ou polythéistes vivaient près de notre Bien Aimé, paix et salut sur lui et ses Compagnons, qu’Allah les agrée tous, ou étaient même des membres de leur famille. Leur histoire et leur comportement sont pour nous des exemples à suivre. Ils rendaient visite au malade, leur donner l’aumône, étaient généreux envers eux malgré leur pratique d’une religion différente de la leur.

Un tel comportement tolérant est le fruit de la compréhension que l’on a de nos devoirs en tant que musulman. Être tolérant c’est respecter la vie qu’Allah a mis en chacun, respecter le libre arbitre dont Allah nous a doté, mais cela a aussi pour effet de montrer à notre tour l’exemple. Nous sommes en quelque sorte des représentants de la Parole d’Allah sur Terre. Ne pas être tolérant dans notre quotidien reviendrait à donner une image erronée de la Parole d’Allah, déformer son message aux Hommes, qu’Allah nous en préserve.

Être tolérant c’est donc prendre conscience de l’impact qu’ont nos paroles et nos actes sur autrui. En témoigne ce hadith.

L’imam Boukhari rapporte d’après Anas que le Prophète Mohamed, paix et salut sur lui, se rendit au chevet d’un juifà qui il demanda d’embrasser l’islam, ce qu’il accepta. Le prophète sortit de chez lui en disant : Louanges à Allah qui l’a sauvé du Feu par mon entremise».

Puissions nous tous être de bons intermédiaires et des semeurs d’espoirs sur cette Terre. Amine.

Et vous que pensez-vous des effets de la tolérance au quotidien ?

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Mohamed Ali est mort !

{C’est à Allah que nous appartenons et c’est vers Lui que nous retournerons}, (Sourate 2 : Verset 156).

Mohamed Ali légende de la boxe, triple champion du monde des lourds, est décédé Vendredi 3 Juin à Phoenix (Arizona). Il avait 74 ans. Il était atteint de la maladie de Parkinson depuis plus de 30 ans. Son enterrement aura lieu dans sa ville natale de Louisville, dans le Kentucky.

Né Cassius Clay, mort Mohamed Ali !

Né Cassius Clay, le 17 janvier 1942 à Louisville dans le Kentucky, il obtient le titre de de champion olympique à Rome en 1960, à l’âge de 18 ans. A 22 ans, il devient champion du monde et change de nom le lendemain. Il décide de se faire appeler Cassius X tout comme Malcolm X. Un mois plus tard, il embrasse l’Islam et adopte définitivement le nom de Mohamed Ali.

Il refuse une récompense par respect pour le Prophète, que la paix et la bénédiction soit sur lui.

Lorsqu’on propose à Mohamed Ali, la très convoitée étoile du Walk of fame d’Hollywood Boulevard décernée par l’industrie américaine du spectacle, il la refuse! Les étoiles étant incrustées dans le trottoir, il ne peut accepter que le prénom du Prophète, que la paix et la bénédiction soit sur lui, soit piétiné. C’est aujourd’hui la seule étoile fixée sur le mur !

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Palestine : Cette conférence de paix qui ne sert à rien.

Lors des précédentes cérémonies du même genre, les participants faisaient au moins semblant d’y croire. Mais pour la conférence internationale inaugurée le 3 juin à Paris, c’est peine perdue. On se demande comment cette initiative tardive de la France pourrait réussir là où toutes les tentatives antérieures ont fait long feu. Les principaux protagonistes, en effet, récusent la démarche ou s’en désintéressent. Et si cette initiative est promise au fiasco attendu, c’est autant par indifférence qu’en raison d’un désaccord explicite.

Les dirigeants israéliens, on le sait, n’en voulaient pas. Ils préfèrent un face-à-face politique avec les Palestiniens dont ils sont assurés de sortir vainqueurs grâce à leur supériorité militaire. Rejetant cyniquement toute internationalisation de la question palestinienne, ils comptent plus que jamais sur la stratégie du pot de fer contre le pot de terre. La fin de non-recevoir opposée à l’initiative française, de ce point de vue, n’a rien d’un caprice. Elle est la conséquence logique d’un rapport de forces favorable dont Tel-Aviv entend toucher les dividendes.

Or ce refus israélien est conforté par l’immobilisme des Etats-Unis. Implicitement, l’administration Obama est sur la même longueur d’onde que son allié sioniste. La diplomatie US participe complaisamment à la grand-messe parisienne, mais de façon minimaliste, John Kerry ayant annoncé qu’il ne formulerait aucune proposition. Car du côté de Washington, la messe est dite : les USA n’ont pas l’intention d’exercer la moindre pression sur leur protégé. Ils se sont mis hors jeu il y a deux ans déjà, laissant à l’Etat d’Israël le bénéfice d’une hégémonie régionale qu’ils garantissent de surcroît par leur droit de veto onusien.

Pas plus que ses prédécesseurs, le locataire actuel de la Maison blanche n’aura fait bouger les lignes au Proche-Orient. Accordant à l’occupant un blanc-seing dont il aurait tort de se priver, il conforte comme à son habitude la politique d’obstruction israélienne. Ce faisant, il laisse la diplomatie française sur le carreau. Car si la France compte sur ses « alliés » pour l’aider, il est clair qu’elle va faire chou blanc. Avec Israël aux abonnés absents et Washington qui fait tapisserie, les jeux sont faits d’avance. Condamnée à une agitation stérile, la présidence française fera feu de tout bois pour montrer qu’elle fait quelque chose, mais elle va surtout brasser du vent.

Mais l’inertie israélo-américaine n’est pas la principale raison de cet échec annoncé. Du côté palestinien, Mahmoud Abbas exprime son approbation à l’égard d’une démarche qui semble le sortir de l’isolement où il croupit, livré à lui-même à la tête d’une institution fantomatique par ses parrains occidentaux. Le retour de la diplomatie à grand spectacle qui fit jadis son succès offre à l’Autorité palestinienne un sursis supplémentaire. Et avec elle, tous ceux qui ont fait le choix de la collaboration avec l’occupant à l’ombre d’un processus de paix moribond comptent sur cette nouvelle médiation internationale pour se remettre en selle.

La déclaration surréaliste du président palestinien en faveur d’une présence militaire de l’OTAN en Palestine occupée, à cet égard, participe d’une série de manœuvres visant à se concilier les bonnes grâces occidentales. Comme si la substitution de troupes US aux troupes sionistes constituait une garantie pour la souveraineté du futur Etat palestinien, Mahmoud Abbas semble prêt à toutes les compromissions. Condamné à l’impuissance par le système dont il est le bénéficiaire depuis les calamiteux accords d’Oslo, l’appareil bureaucratique d’une OLP fossilisée ne voit son salut, désormais, que dans l’arrivée des GI’s.

La presse occidentale a beau évoquer un « espoir renaissant » chez les Palestiniens, on se doute bien que personne n’est dupe. Les victimes de l’occupation sioniste savent qu’aucune des puissances invitées à cette conférence ne compte modifier le rapport de forces en leur faveur. Ils savent qu’on se réunira sagement autour de la table et que nul n’aura le courage de la renverser. Ils savent surtout que les organisations de la résistance, comme l’a dénoncé le Front populaire pour la libération de la Palestine, seront soigneusement exclues du processus final. Leurs représentants légitimes étant disqualifiés a priori, ils devinent ce que les puissances occidentales attendent de ces négociations. Le moment venu, on sollicitera l’aval grassement monnayé d’une caste dirigeante inféodée à la puissance occupante. Et l’on dira, alors, que les Palestiniens ont consenti avec honneur à de nouvelles concessions pour mettre fin à un douloureux conflit.

Cette nouvelle liturgie internationale, comme les autres, va étaler sa bavarde insignifiance. La politique de gribouille d’une France inféodée accouchera, au mieux, d’une énième mascarade diplomatique. On y exaltera avec emphase les vertus d’une « solution à deux Etats » à laquelle personne ne croit. On fera comme si l’impunité d’Israël n’avait pas définitivement rendu impossible la coexistence entre deux nations souveraines. Que l’occupant ait sciemment tué dans l’oeuf cette solution politique en colonisant à outrance passera inaperçu, tant on se montrera soucieux de ne froisser personne. Une puissante incantation nous demandera, au contraire, de croire aux vertus magiques de la négociation. Et l’on se prêtera au jeu hypocrite d’une diplomatie idéale où les parties en présence, sous la houlette bienveillante des grandes puissances, pavoiseront ensemble le chemin vers la paix.

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Sur les traces des soldats musulmans à Verdun avec Kamel Mouellef.

C’est devant les 592 stèles musulmanes érigées à l’ossuaire de Douaumont, dans la Meuse, en mémoire des tirailleurs nord-africains et africains engagés dans l’armée française et tombés au champ d’honneur à Verdun (21 février-19 décembre 1916), que se tenait Kamel Mouellef, cet inlassable chercheur de stèles dédiées à ces grands oubliés de l’Histoire de France, quelques semaines avant ce qui fut le point d’orgue de la célébration du centenaire de ces 300 jours et 300 nuits de combats effroyables : la commémoration internationale qui a eu lieu dimanche 29 mai, sous l’égide de François Hollande et Angela Merkel.

Nous vous proposons de découvrir ci-dessous le reportage réalisé par France 24, dans lequel l’infatigable éveilleur de consciences qu’est Kamel Mouellef, arrière-petit-fils d’un tirailleur algérien mort au front en 1918 et co-auteur de deux albums BD qui exhument des oubliettes de l’histoire le sacrifice de ces valeureux combattants de l’empire colonial au cours des deux guerres mondiales, ravive la flamme vacillante de la mémoire dans l’intérêt de tous, et particulièrement à l’attention de la jeune génération.

Dans une récente interview accordée au Dauphiné Libéré, alors qu’il sortait visiblement satisfait d’une de ses nombreuses conférences données dans des collèges et lycées tout au long de l’année, Kamel Mouellef a évoqué un projet qui lui tient à cœur : la réalisation d’un film sur Abdelkader Mesli, un imam méconnu de tous, qui aurait mérité de passer à la postérité pour avoir sauvé des milliers de juifs de la déportation.

« Pour moi Abdelkader Mesli est un personnage marquant de l’histoire, auquel on ne rend pas hommage, alors que ce qu’il a fait est formidable. C’est pourquoi j’aimerais créer un film qui raconte son histoire», a-t-il confié, en imaginant déjà les nouveaux personnages qui prendront forme et vie dans une troisième BD, consacrée cette fois-ci au massacre de Sétif, le 8 mai 1945 de bien sinistre mémoire.

Reportage vidéo a voir sur www.muslimradio.info.
w w w . m u s l i m r a d i o . i n f o .

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####### Aujourd’hui en Palestine #######
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Aujourd’hui en Palestine, Voici les principaux titres du site d’information, C P I, Centre Palestinien D’Information.

Hébron: Les colons attaquent la vieille ville sous protection militaire.
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Salfit: les routes coloniales isolent les terres de Deir Estia.
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La sécurité de l’Autorité Palestinienne arrête 11 citoyens et 3 journalistes toujours détenus.
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Lancement de la semaine mondiale pour briser le siège de Gaza.
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Députée Jarrar: les prisonniers veulent la fin de la division et la lumière sur leur cause.
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Danemark: Sit-in de solidarité appelant à briser le siège de Gaza.
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Haniyeh: Nous ne renoncerons pas au port de Gaza pour briser le siège.
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« Israël » déporte 6 Palestiniens aux Etats-Unis.
Le ministère de l’Intérieur israélien et l’administration pénitentiaire israélienne ont déporté, hier à l’aube, six citoyens palestiniens de Jérusalem occupés aux États-Unis.

Kareem Faysal Abu Khdheir (33 ans), qui a été interdit de Jérusalem occupé et expulsé vers les États-Unis, a déclaré qu’il a dit par téléphone de l’aéroport de Lod: «Je fus transféré de la prison du Néguev à l’aéroport jeudi matin. Les autorités d’occupation israéliennes ont affirmé que le vol était prévu le jeudi à dix-sept heures avant qu’il soit retardé de six heures le vendredi. »

« Je suis enfermé dans le centre de détention de l’aéroport avec cinq autres détenus. »,a-t-il ajouté, « chacun de nous a été autorisé à passer un coup de fil pour informer sa famille de l’ordre d’expulsion ».

Kareem, du camp de réfugiés de Shu’fat, a été arrêté par les forces d’occupation israéliennes le 5 Septembre 2015 suite à des affrontements avec les troupes d’occupation.

Juste avant la détention, Kareem a été soumis à des coups violents par les forces israéliennes lui causant des contusions critiques à la poitrine, au visage et aux dents.

Délibérations et audiences tenues par la cour du magistrat israélien au cours des quatre derniers mois ont abouti à un verdict qui a condamné Abu Khdheir, titulaire de la citoyenneté américaine, de la participation à des manifestations à Jérusalem et l’a condamné à neuf mois de prison et d’une amende de 8000 shekels.

Né et élevé aux États-Unis depuis le 2 Octobre 1983, Kareem Abu Khdheir est allé aux territoires palestiniens occupés le 28 Août 2015 pour la première fois pour se marier.

Il avait été détenu pendant neuf mois dans la prison du Néguev sur des allégations de résister à la détention, d’attaquer un garde-frontière israélien et de se joindre à des démonstrations anti-occupation.

« Un jour, je vais revenir à ma patrie, à partir de laquelle je fus banni parce que j’ai assisté à l’enterrement de mon ami », a déclaré Abu Khdheir.

« Un jour, je reviendrai vivre sur le sol de la Palestine pour l’éternité », a souligné Abu Khdheir avant de faire ses adieux à sa famille.
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Khudari: La situation humanitaire à Gaza est « désastreuse ».
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Les funérailles de Nayef auront lieu dans quelques jours et sa famille accuse l’Autorité Palestinienne de tromperie.
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L’occupation inculpe 3 garçons palestiniens d’attaques anti-occupation.
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Des dizaines de blessés dans des attaques sionistes en Cisjordanie et Qalqilya.
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Un soldat grièvement blessé dans une attaque anti-occupation à Jérusalem.
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Heniya téléphone à Larijani et appelle à unir la nation pour libérer al-Quds.
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Une vidéo documente la torture de 20 enfants par l’occupation.
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Les forces d’occupation israéliennes arrêtent un jeune palestinien à Kafr Kaceum, Prétendant qu’il envisage mener une attaque au couteau.

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