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Palestine : Khalid Abu Musa, jeune Autiste de 10 ans, a mémorisé la totalité du Saint Coran
C’est une bonne leçon que nous donne ce petit palestinien autiste. Du haut de ces dix ans, Khalid Abu Musa, est hafidh al Coran ! Il a donc mémorisé la totalité du Saint Coran, soit 60 hizb machaAllah !
Ce jeune musulman a procédé à la mémorisation par le biais de l’écoute répétitive. En effet, le journal Autism Daily Newscast rapporte que les sourates lui ont été lues à maintes reprises mais qu’il les a également longtemps écoutées par des récitateurs. L’apprentissage du Saint Coran lui a également permis d’acquérir d’autres compétences telles que la lecture ou encore l’écriture sobhanAllah.
Malgré son autisme, Khalid Abu Musa est parvenu à apprendre le Coran mais également à s’ouvrir au monde extérieur. Il dépasse donc son handicap puisqu’il réussit aujourd’hui à communiquer et même à jouer avec les autres enfants. Rappelons que l’autisme est une maladie caractérisée notamment par une interaction sociale et une communication restreintes. Ce que réussit à accomplir ce jeune musulman représente donc un véritable exploit, possible par la Grâce Infinie d’Allah.
Ce petit palestinien devient donc une figure d’espoir pour tous les enfants musulmans porteurs de handicap. Khalid Abu Musa nous pousse également à nous remettre en question quant à l’apprentissage du Livre d’Allah. Selon ‘Uthman (qu’Allah l’agrée), le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et qui l’enseigne ensuite ». (Al Boukhari).
Qu’Allah nous facilite à nous, ainsi qu’à nos enfants l’apprentissage du Saint Coran. Qu’Il fasse de Sa Parole le printemps de nos cœurs et le guide de notre comportement.
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http://www.ajib.fr/wp-content/uploads/2015/03/Je-suis-musulmanquevoulezvoussavoir.jpg
Un allemand à ses concitoyens déclare : « Je suis musulman. Que voudriez-vous savoir ? »
Après les attentats au siège de Charlie Hebdo, puis ceux de Copenhague, un citoyen allemand, de confession musulmane a décidé d’agir à son échelle pour lutter contre les préjugés grandissants sur l’islam. Sadique al-Mousllie, dentiste d’origine syrienne vivant à Braunschweig, dans l’Ouest allemand sait que le dialogue est primordial pour lutter contre l’islamophobie, et que beaucoup de ces concitoyens non musulmans se posent des questions sur l’islam mais n’osent pas forcément aller chercher les personnes qui pourraient y répondre. Alors, Sadique va tout simplement aller à eux. Muni d’une pancarte, sur laquelle est marquée : « Je suis musulman. Que voudriez-vous savoir ? », l’homme attend que des passants viennent le questionner. Le dentiste espère poursuivre cette initiative une matinée toutes les deux semaines.
A l’occasion de sa première sortie, quelques fidèles de sa mosquée, son épouse, Camilla, danoise convertie à l’islam, ainsi que sa fille de 17 ans étaient présents pour l’aider.
Beaucoup n’osent pas aborder Sadique et ses proches, mais d’autres franchissent le pas et vont poser leurs questions. Parfois les questions, paraissent bien étranges. La question la plus étrange selon sa fille Sarah est celle de savoir si elle prenait sa douche avec son hijab. Pour la jeune fille, cela lui est égal de devoir répondre à d’étranges questions tant que cela pouvait aider à briser des préjugés sur les musulmans et ouvrir le dialogue avec les non musulmans, rapporte la WTF Radio.
Pour l’épouse de Sadique, Camilla, c’est plutôt sa conversion qui intrigue les non musulmans. « Certains sont confus et demandent : Les Danois sont-ils musulmans ? » rapporte Camilla à la Radio.
Lorsque des passants n’osent pas aborder Sadique et ses proches, ce sont eux qui vont à leur rencontre en leur parlant du Prophète (saLalahou walayi wa sallam) tout en les invitant à déguster du chocolat.
Cette initiative est simple, touchante, et utile à l’heure où le dialogue est souvent brisé, où l’on n’ose plus aller vers l’autre. La communication reste la clé pour lutter contre l’ignorance, fille de l’intolérance.
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Les 10 secrets d’un mariage heureux
Conseiller selon son expérience ne signifie pas prétendre avoir la recette miracle d’un mariage réussi. Seulement, quand certains principes fonctionnent, et qu’en plus ils sont inspirés de l’exemple du Prophète Muhammad – paix et bénédiction de Dieu sur lui – il paraît naturel et important de ne pas les garder pour soi et d’espérer qu’ils feront le bonheur d’autres croyants, si telle est la volonté du Tout Puissant.
Cette liste est certainement incomplète et elle ne prémunit pas contre les troubles que peut ponctuellement traverser un couple, mais elle est un rappel des qualités et habitudes à acquérir dans l’espoir qu’Allah – Élevé et exalté soit-Il – bénisse et comble Ses serviteurs s’unissant avec l’intention de Le satisfaire. Car avant toute chose, la condition primordiale à la réussite d’un mariage est la crainte de Son Jugement. Viennent ensuite :
La confiance : sans elle, difficile d’envisager une relation durable avec quiconque. Que ce soit au travail, entre amis ou en couple, les croyants doivent pouvoir avoir confiance les uns en les autres. La vie conjugale peut vite se transformer en cauchemar si les époux imaginent les pires scénarios et tromperies dès que le téléphone ou la boîte mail sonnent… Elle s’acquiert et se cultive au fil du temps, car dans ce domaine rien n’est acquis.
L’estime mutuelle : la femme et le mari sont un miroir l’un pour l’autre. Ils se construisent et évoluent principalement en fonction du regard que leur partenaire porte sur eux. Tenir sa moitié en haute estime constitue un rempart contre l’irrespect, les rumeurs, et peut l’encourager à mener ses projets à bien. Attention toutefois à l’excès : veillez, pour son bien, à ne pas gonfler outre-mesure l’ego de votre époux(se).
Le soutien inébranlable : bienveillance et efforts de compréhension sont les fondements de ce principe sans lequel l’union est fortement mise à mal. Étroitement lié aux points précédents, cet aspect essentiel du couple peut s’avérer salvateur en cas de troubles. Face aux tracas et aux épreuves, qu’ils soient familiaux ou professionnels, l’épaule de celui qui partage votre vie doit être un pilier solide vous procurant équilibre, courage et sérénité.
Le pardon : parce que nul n’est parfait ici-bas, qu’il serait illusoire d’idéaliser son partenaire et que notre Créateur associe ceux qui pardonnent aux gens de bien, il va de soi qu’il faille avant tout appliquer ce principe dans son foyer, se montrer compréhensif envers l’autre et ne pas exagérer dans les reproches et la rancune. Et quels merveilleux traits de caractère que la patience et le pardon.
L’encouragement dans le bien : comme toute attitude souhaitable en tant que musulman, le fait d’encourager et soutenir son époux(se) dans le bien, le pousser à accomplir des actions salutaires et lui rappeler leurs mérites auprès d’Allah – exalté soit-Il – est un moyen et un signe de bénédiction divine du mariage. Il peut simplement s’agir de partager un repas avec vos voisins, de délaisser toute médisance, se rappeler la grandeur de Notre Seigneur…
L’écoute, le dialogue, l’attention : ces trois points forment un tout nécessaire au bon fonctionnement du couple. De lui découle l’entente. Bien qu’hommes et femmes ne soient pas égaux en terme de bavardages, il est toujours agréable de se sentir écouté(e) et pris en considération. Mais nul besoin de grands discours, l’attention la plus précieuse se manifeste bien souvent au travers de petits actes et de compliments.
L’entraide : Messieurs, Mesdames, votre partenaire n’étant normalement pas surhumain, n’hésitez pas à lui venir en aide dans ses tâches quotidiennes. Alors, évidemment, certains domaines ne sont pas accessibles à tous et mieux vaut connaître ses limites, mais le couple étant une équipe, si possible efficace et motivée, il ne pourrait lui être que profitable de s’entraider. Et si vous ne le faites pas, valorisez au moins les efforts de votre moitié.
La définition d’objectifs communs : le jour de leur rencontre, les futurs époux ne sont pas forcément tout à fait sur la même longueur d’onde, surtout concernant leur avenir, il est donc essentiel de s’accorder sur une vision réaliste et satisfaisante de celui-ci. L’on évite ainsi certaines déconvenues du style devoir faire ses valises pour le Groenland un mois après l’aménagement dans le nid douillet dont rêvait Madame.
Les rituels : ciment du couple, et à ne pas confondre avec routine, ils apparaissent d’une importance capitale lorsque les obligations des mariés les contraignent à s’éloigner. Ainsi, s’imposer l’habitude de dîner dans le même plat, de se retrouver autour d’un thé lorsque des tensions ou des incompréhensions apparaissent, ou bien simplement prévoir un rendez-vous romantique hebdomadaire, sont de bons moyens de rester unis.
Le respect : autant dans le comportement que dans le langage, il est la base de toute relation et doit être mutuel. Il consiste en l’acceptation des choix et préférence de sa moitié, la tolérance et la bienveillance à l’égard de sa famille, le respect des engagements pris avant et pendant le mariage, des divergences possibles aussi, notamment dans le domaine religieux…
Le secret, en réalité, ne réside pas tant dans le fait de patienter une fois mariés, mais plutôt avant le mariage, et prendre le temps de trouver celui ou celle qui vous conviendra réellement et saura vous combler, avec la permission d’Allah. Et non, l’amour ne figure pas dans la liste, car il est le fruit de l’application quotidienne de ces principes, et en résulte logiquement.
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Les responsables d’un Institut Islamique adoptent une attitude exemplaire qui bouleversera un islamophobe
Le vendredi 13 février vers 5 heures du matin, un incendie a ravagé l’Institut Islamique de Quba de la ville américaine de Houston, au Texas. Les pompiers de la ville ont affirmé que l’incendie était d’origine criminelle en évoquant la présence d’essence à proximité de ce bâtiment dans lequel se trouve aussi une mosquée.
Peu de temps après les faits, un sans-abri a été arrêté par la police. Suspecté d’être à l’origine de l’incendie qui a détruit une partie de l’institut, Darryl Ferguson a nié le caractère volontaire de ce qu’il a présenté comme un accident.
Dans une vidéo publiée sur la page Facebook du Quba Islamic Institute, Ahsan Zahid, le fils de l’Imam, accepte volontiers de croire la version de Darryl Ferguson tout en espérant que la vie du sans-domicile « ne soit pas troublée par ce qu’il qualifie d’accident ».
Malgré ce pardon surprenant et inattendu, des insultes et des réactions islamophobes sont tout de même apparues sur cette même page Facebook.
Dans les commentaires, les responsables de la mosquée font une nouvelle fois preuve d’une attitude exemplaire. D’après clique.tv, ils ont répondu à un conducteur de camion qui les traitait de terroristes en le conviant à venir les visiter. Cette invitation bouleversera l’islamophobe.
Passant justement dans la région, l’internaute a accepté de se déplacer et a finalement passé cinq heures à l’Institut Islamique de Quba. L’homme, qui n’avait encore jamais rencontré de Musulman, en est sorti transformé et a déclaré « avoir changé d’avis sur de nombreuses choses ».
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La mère musulmane qu’une juge a refusé d’entendre a reçu un joli cadeau de la part d’inconnus
Rania El-Alloul, la mère musulmane qu’une juge a refusé d’entendre parce qu’elle portait un hijab, a reçu un joli cadeau de la part d’inconnus.
Rappelez-vous, Rania voulait simplement récupérer sa voiture saisie par la Société d’assurance automobile du Québec mais la magistrate Eliana Marengo lui avait interdit de s’exprimer à cause de son voile.
Une collecte de fonds a permis de collecter plus de 38 000 $
Un immense élan de générosité a saisi spontanément deux hommes qui n’ont aucun lien avec Mme El-Alloul. Nouman Ahmad et Rayan Rafay ont lancé une campagne de sociofinancement sur Internet « Buy a Car for Rania El-Allaoul » qui a permis de collecter plus de 38 000 $ en très peu de temps pour cette maman de trois enfants.
Lancée vendredi soir, la collecte de fonds en ligne avait pour objectif de récolter 20 000 $ pour acheter une voiture à cette la Montréalaise qui a été traitée injustement par la juge. En moins d’une journée, l’objectif de départ a été largement dépassé.
«Nous l’avons fait! Nous avons atteint notre objectif», ont écrit les auteurs de la page Buy a Car for Rania El-Alloul.
«En un peu plus d’une journée, des Canadiens d’un peu partout se sont unis pour démontrer leur appui et pour livrer un message. Nous nous tenons ensemble pour protéger nos droits et pour soutenir les plus vulnérables parmi nous.» ajoutent Nouman et Rayan.
Rania El-Alloul a exprimé sa surprise et sa reconnaissance envers cet élan de solidarité, lors d’une entrevue avec La Presse Canadienne.
« Des encouragements me proviennent de partout, parce que je sais que je dis la vérité, a dit Mme El-Alloul en entrevue téléphonique. Mon foulard est mon choix et ma foi. »
Mme El-Alloul discute actuellement avec des avocats et prévoit déposer une plainte contre la juge Eliana Marengo.

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